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HÉLÈNE AU SPA

 

Première partie

Avec ma compagne et un ami qui nous avait conseillé cet endroit, nous avons choisi de réserver, pour passer quelques heures de détente, un espace SPA dans un club balnéo parisien.

Notre ami qui est également naturiste comme nous, nous a chaudement recommandé ce lieu où nous pouvons profiter d’un jacuzzi, d’un hammam et d’un sauna totalement nus sans avoir à supporter de désagréables et collants maillots de bain.

Ce projet nous satisfait car ma compagne et moi ne supportons pas de prendre un bain de vapeur ou un bain chaud en partie vêtus, nous voulons du naturel et du traditionnel, en toute simplicité.

Nous partageons cette vision des choses avec notre ami Paul, comme nous partageons le plaisir de se retrouver régulièrement dans divers lieux comme lors des soirées réservées aux naturistes à la piscine municipale.

Paul est un garçon charmant à la quarantaine bien portante et sportive, officiellement célibataire. Il voyage beaucoup pour son travail qui lui laisse peu de loisirs. Ma compagne, Hélène, l’apprécie beaucoup car il est jovial, cultivé et possède un humour décapant. Il parle beaucoup et a un avis souvent avisé sur tout.

Nous nous sommes donnés rendez-vous, ce vendredi midi dans un café avant d’aller au club balnéo car Paul a une nouvelle importante à nous annoncer. Arrivé en retard comme à son habitude il commande l’apéritif pour nous trois et nous annonce qu’il va quitter le pays pour plusieurs mois, pour une mission commerciale au Japon.

Nous trinquons à deux reprises au succès de cette nouvelle aventure et nous nous dirigeons vers l’entrée voisine du club. C’est un bel établissement dont les salons et les salles de la balnéo sont entièrement revêtus de marbre noir. Le cadre est chic et l’accueil est courtois. L’hôtesse nous entraîne vers le vestiaire et nous présente les installations nous expliquant leur fonctionnement. Puis nous montre la partie qui nous est réservée.

Nous entrons par le vestiaire et la salle de douche attenante. La lumière est tamisée et crée une ambiance particulière. Un parfum de fleur exotique flotte autour de nous et une douce musique évoque des contrées lointaines. Il fait très chaud et l’atmosphère est humide. Nous choisissons nos cassiers et nous nous déshabillons entièrement sans aucune gêne car nous avons l’habitude de nous voir nus tous les trois.

Tout en bavardant j’observe les courbes généreuses de ma compagne qui provoquent en moi un certain émoi. Est-ce l’effet du whisky pris en apéritif avec mon ami il y quelques minutes au café d’à côté ? J’observe également que notre ami semble pris du même émoi à la vue d’ Hélène toute nue. Lui qui d’habitude fait preuve d’un certain détachement en ces circonstances et en présence de la gente féminine en tenue de Eve. Je trouve son regard bien insistant sur les formes de ma compagne qu’il semble découvrir pour la première fois.

Je dois préciser qu’ Hélène possède une magnifique poitrine d’ une tenue parfaite dont les seins en forme de poire se terminent par de jolies pointes brunes auréolées à faire pâlir de jalousie de nombreuses jeunes femmes. Mais ce n’est pas tout, ces fesses bien rondes et bien fermes d’une bonne taille attirent de nombreuses convoitises et pas seulement de la part de la gente masculine.

Pas très grande Hélène est bien proportionnée, elle est attentive à son poids et pratique la gymnastique et la natation pour garder la forme.

L’insistance de nos regards sur ses courbes avantageuses provoque un léger malaise dont elle se rend compte rapidement, aussi nous invite t-elle à passer sous la douche.

Nos vêtements pliés et rangés dans nos casiers respectifs nous prenons une grande serviette de bain à la main, la direction de la salle de douche qui forme un carré aux côtés occultés par de petits murets. Naturellement nous nous dirigeons vers les rampes de cette vaste douche collective qui offrent de nombreux et variés types de jets d’eau. L’endroit est peu éclairé et nos yeux doivent s’adapter à cette obscurité

Nous nous répartissons de chaque côté de l’espace et appuyons sur les boutons poussoirs libérant une eau bien chaude qui coule sur nos corps en provoquant de légers frissons. Désinhibé par l’effet de l’alcool je prends dans mes mains le savon liquide du distributeur et l’étale largement sur le cou et le dos de ma compagne. Surprise par ce geste, pratiqué devant notre ami, elle marque sa réprobation par un mouvement de recul. Mais voyant que Paul est absorbé par sa douche et ne prête aucune attention à ce qui se passe ( du moins le croit-elle ? ) , elle finit par accepter ce petit jeu qui lui rappelle sans doute d’autres prémisses érotiques pratiquées dans d’autres lieux.

Je poursuis donc mes délicates attentions en lui savonnant le cou et la poitrine. Ce qui provoque chez elle de légers frissons. Puis, je me mets derrière elle et la prends dans mes bras en la serrant légèrement. Le peu de lumière dans ce recoin de douche masque à notre ami la réalité de notre jeu amoureux. ( du moins le croyons-nous ? ) . Ainsi je peux continuer à lui savonner et caresser les seins. Gênée par ce savonnage déplacé elle se dégage de mon étreinte et se met à me savonner le dos pour donner le change à notre ami qui se savonne consciencieusement dans son coin en feignant ignorer ce qui se déroule à côté de lui.

La situation me trouble et le désir de caresser l’intimité de ma compagne devant cet homme se fait de plus en plus fort. Nous formons un ballet où nos mains savonneuses glissent sur nos corps. Maintenant Hélène semble baisser la garde, j’en profite pour l’entourer de mes bras en déposant des baisers dans son cou tout en glissant ma main sur son ventre et son pubis soyeux. Elle la repousse une première fois avec un geste de dépit et un grognement, je poursuis ma recherche et glisse une nouvelle fois ma main sur son pubis que je masse doucement.

L’eau coule sur nos corps, j’embrasse amoureusement ma compagne, nos bouches s’unissent et nos langues se lient. Nos respirations se font plus saccadées, plus fortes aussi. Nous oublions totalement Paul qui nous observe à travers l’obscurité. Je poursuis mon savonnage et mes caresses méthodiques en glissant ma main entre les cuisses de ma compagne à la recherche de la naissance de sa fente que je trouve et explore de mes doigts fouisseurs. Rapidement je mets le doigt sur son petit clitoris que je sens immédiatement grossir sous la pression de mes caresses. Le souffle court, Hélène pousse de petits râles de plaisir. à peine perceptibles. Je suis au ange et je sens ma queue prendre du volume.

Afin d’être plus à l’aise je me place devant ma campagne et glisse ma main entre ses cuisses qu’elle écarte légèrement. Je poursuis mon investigation par un savonnage de sa minette légèrement entre-ouverte. Elle pousse maintenant de lents soupirs de contentement que je tente d’étouffer en lui mettant ma langue dans sa bouche. Mais Paul mis en émoi par tant de bruissements suspects se rapproche de notre enlacement. Tout en poursuivant mes caresses savonneuses j’observe dans la peine ombre notre ami qui semble légèrement gêné par la situation. D’un geste discret de la main je l’invite à venir à nous rejoindre et à participer à nos jeux de main. Timidement il prend quelques gouttes de savon au distributeur et vient poser ses deux mains sur les fesses proéminentes de ma compagne qui échappe un petit cri de surprise et de plaisir mêlés.Un petit cri qui peut s’interpréter comme une invitation à la poursuite du savonnage des fesses de madame. Mais cela ne semble pas le cas, Hélène par un geste brusque de recul se dégage de la pression de notre ami. Paul nullement découragé se colle au dos de ma compagne et entre-prend d’un geste sûr et rapide de s’attaquer à son opulente poitrine. Devant autant d’audace je m’attends à une réaction violente et sans doute disproportionnée de la part d celle-ci. Il n’en est rien son absence de réaction semble indiquer avec une certaine curiosité à notre ami l’autorisation de poursuivre sa besogne. Aussi Paul ne se prive pas de savonner, de caresser, de tripoter, de masser les seins lourds de madame pendant que je m’occupe avec assiduité de son minou qui s’entrouvre sous la pression de mes doigts. Sur le corps de madame court maintenant quatre mains savonneuses. Hélène sous l’effet de cette multiplicité de sollicitations pousse de véritables petits cris de jouissance à peine retenus Son corps luisant ondule. Elle est au bord de l’abandon. Je dois avouer que ma compagne apprécie que l’on sollicite ses gros mamelons, sollicitation qui peuvent l’entraîner vers un abîme de plaisir tant cette partie de son anatomie est sensible.

Nous percevons maintenant clairement le plaisir qui l’envahit un peu plus à chaqu’une de nos sollicitations. Aussi je suis ravi de voir notre ami s’appliquer maintenant à savonner le dos et les fesses de ma compagne pendant que je savonne à nouveau ses seins et son entre-cuisse.

L’excitation est à son comble quand Hélène prend l’initiative de savonner les épaules et le dos de Paul en prenant bien garde de pas aller plus bas. D’ailleurs notre ami montre un début d’érection difficilement escamotable au regard, qui exprime, par un membre à demi gonflé de taille très respectable, toute l’excitation éprouvée du moment.

Au fond de moi je me sens soulagé car j’avais peur que mon petit jeu ne soit pas accepté par madame qui m’en aurait fait violemment le reproche ultérieurement.

Aujourd’hui, elle accepte avec gourmandise le jeu de ces quatre mains d’homme qui parcourent son corps luisant de savon, de ses seins à son pubis en passant par le creux de ses cuisses et la rondeur de ses fesses.

Submergée par tant d’attention qui provoque en elle une montée imprescriptible du plaisir elle finit par nous entraîner pour nous calmer hors de la douche vers le bain bouillonnant du jacuzzi.

En revenant vers plus de lumière Hélène réalise en nous observant combien nous sommes excités. Mon sexe, bien moins imposant que celui de Paul, est tendu et gonflé , son gland apparaît décapuchonné et rougis comme autant d’invitation à la fellation. Le sexe imposant de mon ami naturellement gros et long ne montre pas de véritable érection.

Cependant, Hélène sourit, heureuse d’avoir provoquer une telle émotion, une telle excitation, elle qui se trouve certains jours peu désirable.

Installés dans le jacuzzi, assis de chaque côté d’elle, au milieu d’un bain à l’eau chaude bouillonnante Hélène est prise en sandwich. La tension baisse. Ne voulant pas perdre l’avantage de la situation et sentant celle-ci m’échapper je glisse une main entre ses cuisses. Elle la repousse promptement accompagné d’un regard désapprobateur motivé par la peur de perdre à nouveau tout contrôle sur la situation. Ne souhaitant pas brusquer les événements je choisis d’attendre quelques instants profitant des bienfaits de ce bain. Allongée dans le bain, Hélène se repose, la tête posée sur un rebord, les yeux mi-clos dans la lumière tamisée.

Après avoir échangé quelques banalités sur la qualité des installations, je renouvelle ma manœuvre avec plus de délicatesse, ma main glisse le long de l’intérieur de sa cuisse en un léger va et vient remontant vers ses replis intimes.

Ce long et persistant va et vient sensuel entraîne l’écartement sensible de ses cuisses comme une invitation à la découverte des plus secrets désirs. La pression de mes doigts se fait délicate et bientôt je perçois à l’écartement choisi de ses cuisses rondelettes que le but est proche.

Maintenant mes doigts caressent sa fente entre-ouverte et glissent sur ses grandes lèvres charnues. Mais avant d’aller plus loin dans mes recherches ma bouche s’approche de la sienne. Je l’embrasse tendrement.

Un souffle de contentement s’échappe de la bouche d’ Hélène. L’approbation est donnée, je peux poursuivre ma besogne par la recherche de son clitoris que je trouve gonflé à l’envi. Maintenant, doucement je poursuis mes caresses de ses petites lèvres tout en exerçant une pression du bout des doigts sur son clitoris durci.

Nos bouches se rencontrent et nos langues se mêlent en un ballet léger chahuté par le clapotis de l’eau du bain. Je poursuis mes investigations et fouille l’entrée de la grotte des délices avec mon index qui palpe ainsi l’orifice vaginal. Ordinairement, Hélène apprécie avec beaucoup de démonstration cette palpation qui provoque chez-elle un intense et sonore plaisir.

Malgré une retenue pudique à l’encontre de notre ami je perçois à sa respiration saccadée que le plaisir monte inexorablement en elle et qu’il est maintenant trop tard pour le réprimer.

Paul, notre ami est resté discret jusqu’à présent observant mes manœuvres avec curiosité et discrétion. Mais soudain, il reprend l’initiative de caresser les seins plantureux de ma compagne ajoutant un élément de surprise -qui n’en est plus une après l’épisode de la douche- mais un plaisir supplémentaire qu’Hélène accepte avec une forme de déférence.

Nos baisers se font de plus en plus fougueux et passionnés pendant que Paul joue avec beaucoup d’attention avec la pointe durcie de ses seins, les embrassant, les mordillant.

Notre ami s’enhardit un peu plus, sa main glisse sur le ventre de ma compagne et ses doigts vont se perdre dans la forêt pubienne de son mont de Vénus inondée par le ressac de l’eau du bain.

Hélène ne dit rien et laisse ces deux hommes lui prodiguer mille caresses.

Nos bouches et nos langues se mêlent avec fureur en un ballet puissant et sauvage augmentant d’intensité au rythme de mes caresses et maintenant de celles de Paul.

En plein abandon, Hélène embrasse avec fougue Paul puis revient vers moi et me suce les lèvres avec gourmandise, puis retourne vers Paul. Ses mains nous prennent nos visages, elle nous lèche littéralement la bouche. Je suis très excité de la voir ma chérie embrasser ainsi notre ami.

Un sentiment mélangé monte en moi de peur et de culpabilité vite balayé par l’envie impérative de poursuivre l’expérience.

Paul continue avec assiduité la découverte du corps de ma compagne. Je l’invite en dirigeant sa main à caresser l’extrémité de sa fente et à découvrir dans ses replis le clitoris dont il aura implicitement la tache de s’occuper. Ce dont il s’applique à faire rouler délicatement entre ses doigts participant à faire monter d’un cran la tension dans le bassin.

Bloquée contre nous Hélène se laisse totalement aller à l’extase en poussant de sonores cris de jouissance venus du fond de ces entrailles.

Nous poursuivons nos caresses et sous la pression de nos mains entre ses cuises Hélène s’est totalement ouverte. Ses jambes sont enlacées aux nôtres et son minou ouvert totalement offert au bouillonnement de l’eau du bain.

Je poursuis mon investigation et enfonce délicatement mon doigt dans le fond de sa chatte lui arrachant un puissant cri de jouissance. J’accélère le mouvement de va et vient dans la cavité chaude et humide. Pendant que mon doigt ainsi planté s’active en s’enfonçant toujours plus loin dans son vagin, Paul glisses les siens le long de ses petites lèvres ourlées.

A son tour il pénètre un doigt inquisiteur dans l’orifice provoquant un second cri animal de ma compagne.

Hélène est en transe, son corps ondule sous la pression du va et vient de nos doigts qui occupent tout l’espace de son vagin dilaté. Elle pousse d’amples cris qui raisonnent dans l’espace comme autant de sonores suppliques que répercutent les murs couverts de marbre.

C’est au cours de ce ballet que je sens une main empoigner mon sexe toujours tendu C’est Hélène qui prend l’initiative de branler nos hampes fermement en mesure. Je vois sur le visage de Paul l’extase et le plaisir s’installer. Quant à moi ne pouvant plus me contrôler après autant d’agréables tourments j’explose littéralement, éructant comme un ours, éjaculant longuement dans l’eau du bain.

C’est à ce moment précis que Hélène saisie d’une violente et irrépressible contraction qui secoue tout son corps ressert violemment ses cuisses sur nos mains, emprisonnant nos doigts dans son vagin contracté, tout en poussant un long et puissant cri de plaisir. La jouissance est sans réserve, l’orgasme est total. La pression est si forte que nos doigts semblent brisés.

Hélène reste sans réaction comme tétanisée par le plaisir, elle reste inerte, penchée en arrière, la tête totalement renversée, les yeux clos, la bouche ouverte. Ses cuisses tiennent fermement nos mains prisonnières. Elle savoure avec extase ce moment de total abandon.

Un sentiment intime de satisfaction m’envahit.

Pendant de longues minutes le silence règne, pesant, Hélène semble avoir perdu connaissance. Puis elle relâche l’étreinte libérant nos mains torturées.

Nous restons ainsi de longs moments, silencieux, les yeux clos, à demi-conscients, le corps détendu profitant du bien fait du bain à bulles. Ce n’est que bien plus tard, remis de nos émotions que nous décidons de quitter le jacuzzi pour entrer dans les vapeurs du hammam.

A suivre……

 

La suite de cette histoire  ici

DOLBACH 


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