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Une découverte

Mes débuts en candaulisme

Mes goûts pour le candaulisme sont apparus assez tôt dans ma sexualité, j’avais à peine 18 ans…

Tout débuta lors de vacances passées entre amis dans le sud de la France.

Nous étions descendus à quatre dans la Var, Steph ma petite amie, Lolo un copain de lycée et D mon cousin. Nous avions loué un appartement en bord de mer pour une semaine, puis un emplacement de camping pour la deuxième où nous avions posé deux tentes.

Rico, un autre pote de notre âge qui passait ses vacances avec ses parents non loin de là vint nous rejoindre un soir pour passer la soirée avec nous.

Ca tombait bien, ce soir-là, comme souvent l’été dans le sud, une fête de village y était organisée. Evidemment, nous avions prévu de nous y rendre afin de passer une bonne soirée. 

Après avoir pris un apéro bien arrosé, nous nous rendions sur la place où la fête battait son plein. Repas à la bonne franquette, l’alcool coulait à flot, l’ambiance était bonne, la chaleur d’un soir d’août finissait de nous rendre euphorique.

Vers minuit, alors que la fête se terminait, ivres et joyeux nous décidions de rentrer au camping afin de boire un dernier verre.

Nous retrouvions des jeunes que nous avions rencontrés quelques jours auparavant et les invitions à nous rejoindre autour de nos deux tentes pour y boire un verre.

Ca rigoles, ça parle fort, ça chambre, bref la soirée se termine dans une ambiance chaleureuse. Fatigués, ma copine et moi décidons d’aller nous coucher les premiers, laissant nos amis de boissons à leurs destinées.

Nous devions partager pour ce soir notre tente avec E, l’autre tente étant trop petite pour y accueillir une troisième personne.

E décide donc de se coucher en même temps que nous afin de ne pas nous déranger quand nous nous serons endormis.

Il fait très sombre à l’intérieur de la tente, nous n’allumons pas de lumière afin de pouvoir nous déshabiller, il fait très chaud, E et moi restons en caleçon, Steph quant à elle, garde sa petite culotte et enfile un t-shirt.

Nous devinons simplement les corps avec quelques ombres.

E a le même âge que nous, je le connais depuis la primaire, il est plutôt beau garçon, il a un corps athlétique et je sais (pour l’avoir déjà vu sous les douches du collège) qu’il a un sexe de belle taille.

Je ne sais si se sont les atouts physiques de E, l’alcool, la chaleur ou les trois réunis, mais Steph me semble « excitée » à ce moment-là.

Elle se couche au milieu sur le dos, E s’allonge à côté d’elle, sur sa gauche, je l’imite sur sa droite.

Nous entendons nos amis dehors converser et continuer leur soirée. E nous adresse un « bonne nuit » de circonstance, nous lui répondons poliment.

A ce moment-là, Steph, dont la présence de E ne semble la gêner, s’allonge sur moi, elle m’embrasse à pleine bouche.

Ses mains me caressent, apparemment dans un état second, elle veut faire l’amour.

Mes mains à mon tour caressent son corps, elle continue de m’embrasser, ses mains descendent vers mon sexe.

Mes mains sous son t-shirt lui caressent les seins, je lui pelote les fesses, elle fait un lent va-et-vient sur moi.

Son comportement indécent m’excite, je bande et je pense à E qui doit être dans le même état physique que moi.

C’est alors que je murmure à ma copine : « Occupe-toi de E », son visage se relève, elle me répond «Ca va pas non ? ».

« Ben quoi, tu ne vas pas le laisser comme ça, non ? » lui réponds-je, « Vas-y, je suis sûr qu’il ne dira pas non… ».

Je la devine me fixant du regard.

Je me concentre sur le peu de clarté et l’observe.

Elle est maintenant assise sur moi, son buste est redressé, je vois son bras droit se diriger vers E, qui est resté sur le dos immobile, la main de Steph se pose sur son ton torse musclé, elle le caresse, sa main descend vers son caleçon, il semble déformé par une bosse, je ne me trompais pas sur son état d’excitation.

J’ai oublié de préciser que Steph était une jeune brune charmante aux cheveux longs, de jolis seins et de jolies fesses.

E ne bougeait toujours pas, il se laissait faire.

Steph avait posé sa main sur cette bosse, elle descendit le caleçon, pour y faire apparaître ce que je savais déjà, une belle bite.

Mes yeux s’étant habitués à la pénombre, je regardais les gestes de ma copine, assise sur moi, elle prit le sexe de mon pote en main et commença à le masturber.

Je me relevais un peu, et lui susurra «Suce le », elle ne regardait pas E à ce moment-là ; et me répondit « Non, non » tout en continuant de le branler.

Ma main se posa sur son visage, je lui tournais la tête vers E, et lui glissait dans l’oreille « Regarde, il n’attend que ça ». Ses yeux se fixèrent sur mon pote, son regard descendit vers son braquemard et sa main qui continuait son va-et-vient. 

C’est alors qu’elle glissa vers le milieu, elle se mit à genou entre E et moi, directement, elle se pencha sur son sexe, et le prit en bouche.

Là pour la première fois depuis le début de cette scène érotique, E bougea son bras gauche et me serra la main comme pour me remercier de ce « cadeau ».

Je me redressais aussi, à mon tour je me débarrassais de mon caleçon.

Steph que je voyais de dos était toujours penchée sur mon pote qui avait l’air d’apprécier la fellation prodiguée par ma copine.

Je mis mes mains sur la culotte de la jolie brune et la faisait glisser pour lui retirer, elle se laissait faire, puis, je remontais son t-shirt afin de lui faire subir le même sort.

La coquine, en tenue d’Eve, reprit son travail de pompeuse, je la découvrais (et je me découvrais) sous un autre angle.

Toujours à genoux, je décidais de la mettre à quatre pattes, occupée à donner du plaisir à E, elle se laissait manipuler.

Mon sexe bien en érection, je me rapprochais d’elle et de son fessier, mes mains sur ses hanches, ma queue entra dans son vagin humide, ce qui lui déclencha un râle de plaisir.

J’entendis, alors, des petits rires étouffés qui venaient de l’extérieur, nos amis dehors avaient sûrement compris que nous ne dormions pas encore… 

Alors que je prenais en levrette depuis quelques minutes ma copine qui elle avait toujours mon pote en bouche, il me (nous) demanda : « je peux la prendre ? » tel un enfant qui veut jouer avec la poupée de sa camarade.

Je n’eus pas le temps de répondre, que Steph se tourna vers moi en m’adressant un « non, ça je ne veux pas » avec une telle assurance que je ne répondis pas.

E et moi avions compris qu’il ne fallait pas insister.

Et comme si de rien n’était, elle remit la queue de E au fond de sa bouche.

E lui caressait les seins et le dos.

Je continuais de la posséder, même si je voyais pas son visage, j’imaginais ma petite amie, la bouche déformée par ce sexe de belle taille.

Au bout de quelques minutes, j’entendis E gémir de plus en plus fort, il était au bord de l’orgasme, je vis la tête de Steph se redresser, elle avait compris elle aussi.

Sa queue éjacula entre les mains de ma petite amie, j’éjaculais à mon tour entre ses fesses.

Elle s’assit entre nous, s’essuya les mains avec une serviette, je l’embrassait tendrement, E nous remercia, et nous endormîmes quelques minutes plus tard.  

Le lendemain matin, lorsque nous nous sommes réveillés, nous n’avons pas dit un mot, nous sommes sortis tous les trois de la tente, nos amis qui étaient déjà levés (ou pas encore couchés), étaient là autour de la table de camping sur laquelle trônaient de nombreuses bouteilles vides.

Leurs regards et leurs sourires remplaçaient tous les mots possibles et imaginables à ce moment précis….


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