Roman – Editions Cyrille
EDITION CYRILLE
6 Avenue NEIL ARMSTRONG
33692 – MERIGNAC CEDEX
Ce récit est une œuvre de pure fiction.
Toute ressemblance avec des situations réelles ou avec des personnes existantes ou ayant existé ne saurait être que fortuite.
Chapitre 3
Souvenirs
Je regarde le réveil digital posé sur le chevet, il est déjà 09H04.
Mon réveil est dû à la lumière qui entre abondamment dans la chambre ; ou au sentiment de présence étrangère confirmée par l’odeur de pain grillé, qui me donne envie d’un café bien noir.
Avant de descendre l’escalier, pour me protéger de la fraîcheur matinale ; je passe une robe de chambre noire.
Dans la cuisine, Jeremy est en plein préparatif d’un plateau de petit déjeuner. Il n’a pas eu de difficultés pour trouver le nécessaire ; de petites affichettes détaillant le contenu de chaque placard, les deux portes du frigo réservé aux locataires ayant été identifiées du nom évocateur des chambres, chambre de la divine, chambre de la déesse.
Ne sachant pas quel comportement adopter, il me souhaite le bonjour en se mettant à genoux.
Je lui souhaite aussi une bonne journée et le dispense de ses grâces d’autant qu’il a pour mission de servir sa maîtresse.
Sans plus lui prêter d’attention, je prépare une cafetière napolitaine ; que je préfère aux dosettes à la mode, mises à disposition de nos clients.
Mon esclave entre dans la cuisine et me fait un baiser sur la bouche.
Sa désinvolture m’énerve, surtout devant un tiers.
Je n’aime pas qu’il change d’attitude avec une facilité déconcertante ; passant du rôle d’esclave à celui d’amant ou d’homme ordinaire avec l’aisance d’un acteur de théâtre, sans changer de costume ; n’utilisant que les mots et l’attitude corporelle pour montrer son changement de statut.
Mon entrée dans l’univers de la domination et de la suprématie féminine ; je l’ai faite vingt ans plus tôt dans la demi-heure de notre rencontre.
Un incroyable hasard de la vie a voulu que j’accompagne un amant régulier mais peu assidu ; dans un night-club où il ne pouvait pas entrer seul.
Pour me séduire ; le propriétaire du club libertin a fait un strip-tease intégral.
J’ai vu pour la première fois de ma vie ; un anneau en métal autour d’un sexe et deux anneaux en or dans un prépuce.
Ce jour-là, j’avais besoin d’être regardée avec désir.
Quand il m’a confié, vouloir être mon esclave sexuel ; je n’ai pas compris l’extraordinaire importance de l’aveu.
Je n’ai voulu retenir que le fait qu’il me désirait.
Plus tard, je laissais partir seul l’amant connu ; pour suivre l’inconnu aux yeux bleus, au sexe paré de bijoux.
Du quiproquo ; entre mon désir d’être baisée et adulée et son désir d’être mon esclave, allait naître une union cataclysmique. Ensuite j’ai abandonné le statut marital.
Depuis que nous avons emménagé dans le domaine ; il vit nu, dans un statut d’amant-ouvrier-esclave.
Je prends plaisir à être servie et adorée.
Cravaches et fouets me sont indispensables ; mais c’est pour lui que je fais la dominatrice.
Je ne veux avoir aucune obligation envers lui ; je ne veux pas mettre de règles et m’imposer d’en respecter.
Je veux être une reine.
L’amener se faire couper les cheveux ; un collier cadenassé autour du cou et voir son indifférence aux regards dédaigneux des coiffeuses est une récompense pour mon autorité.
Je suis fière qu’il m’ait donnée cette idée.
Les séances sont toujours plus dures ; c’est sûr je progresse…
Patrick allume la petite télévision posée dans un coin du plan de travail.
Un bruit de marteau résonne, provoqué par le choc involontaire du lourd cadenas de chasteté contre le meuble. Mon attention attirée par le bruit ; mon regard se pose sur les fesses à peine marquées de traces de cravache, sur le sexe distendu qui se balance entre les cuisses ; sur la poignée en cuir rivetée sur le large collier noir qui enserre son cou.
Mes yeux se détournent vers Jeremy.
Je dois bien constater que je n’avais pas remarqué qu’il était nu.
Ni collier, ni laisse, ni rien ; pire même pas vraiment nu tant sa toison pubienne est importante !
J‘apostrophe le jeune homme en demandant comment il ose se montrer comme ça.
J’ai envie de dire les couilles à l’air, d’être vulgaire.
J’enrage.
A son air ahuri ; visiblement, il ne comprend rien.
Je prends la poignée du collier de mon serf et je secoue en disant : « ça c’est une tenue »
Jeremy comprend enfin.
Il demande mon pardon, car il n’a pas l’habitude.
Je n’ai pas envie de faire preuve de mansuétude ; d’autant que je n’ai pas encore bu mon café.
J’ordonne au nudiste de terminer le plateau pour sa dominante et de sortir de ma vue en vitesse ; promettant de réclamer une punition auprès de sa dame.
Je ne suis pas une adepte des punitions quantifiées à l’avance.
Je préfère le dressage ; qui ne tient compte que de mon pouvoir absolu, mais il ne s’applique pas à un objet qui n’est pas le mien.
Enfin tranquille ; je bois mon café.
Mon serf prépare son repas ; suffisant pour la journée.
Ensuite, il doit nettoyer la piscine et les abords ; sortir la charrette de la grange pour l’amener au parking avant de s’enquérir de mes ordres.
Pour le dîner, je prépare une mousse au chocolat et un gratin de pommes de terre ; pour accompagner les confits de canards prévus au menu des dames.
Vers dix heures, je n’ai pas fini les préparatifs.
Françoise entre dans la cuisine, pour savoir où se trouve le supermarché le plus proche.
Je lui donne le nom du village et l’itinéraire le plus facile.
Nous papotons ; elle trouve sympa la formule chambres-résidence.
Je ne peux dire mon réel ressenti.
Dès ce matin, je suis gênée par les allées et venues à l’intérieur de ma maison.
J’espère que l’été prochain, nous aurons installées des kitchenettes dans les studios dévolus aux hôtes.
Mon intimité me manque.
Cela n’a rien à voir avec le fait que mon corps soit observé dans ses moindres détails.
Sans être dénuée de sens responsable, ni de l’indispensable retenue vis à vis de personnes fragiles ; je ne ressens aucune gêne à porter des tenues provocantes ou à être dans la plus absolue nudité en public.
Mais je ne suis pas amorale.
Je prends un plaisir narcissique à être regardée et peu m’importe d’être impudique.
Mon esclave est dénué de pudeur à l’égard d’adultes.
Il ne cherche pas la provocation, mais refuse (si possible) de plier aux règles de bienséance.
Son exhibitionnisme est revendicatif.
Être vu ; paré de bijoux de servitude, est un refus des diktats religieux et de l’hypocrisie liée à la sexualité.
Sa religion, c’est le sexe libre et consenti.
Ses tatouages proclament cette liberté de décider d’être esclave.
Pour lui, l’obscénité ; c’est l’injustice et elle provoque moins de réaction de la part des bien-pensants.
En été, nous aimons séjourner, quelques jours dans des hôtels.
Il a fait l’acquisition de maillots une-pièce minimalistes ; qui couvrent la fente de mon sexe et le tiers de mes seins côté face, sur l’arrière une ficelle de tissu sépare les fesses.
Pour lui, il a choisi des strings cache-sexe minuscules ; qui permettent d’éviter avec un peu de tolérance, d’être poursuivi pour attentat à la pudeur publique.
Ne voulant pas concilier plus à la morale ; les modèles choisis laissent ses fesses nues et ne masquent pas le tatouage sur son pubis.
J’affectionne ces body-strings en vinyle brillant ; noir, rouge, doré ou argenté qui soulignent mes formes et cachent si peu. Être admirée est un besoin impérieux et tous les moyens sont bons pour y parvenir.
Si nos motifs d’exhibitionnisme sont différents ; nous avons en commun le plaisir de la nudité interdite.
Mon seul complexe vient de mes seins déformés par une chirurgie imposée par ma santé.
Si la piscine est utilisée par des adultes, aux regards complaisants pour nos « maillots » ; j’autorise parfois la nudité bijoutée à mon esclave, même si le naturisme n’est pas explicitement autorisé.
Quelques fois je l’accompagne en exposant mon intimité épilée.
J’ai vérifié de nombreuses fois son obéissance et je me souviens de quelques-unes.
A la fin de l’été 2005, dans un hôtel prés de MONTAUBAN, face à la bâtisse en pierres ; la piscine est absolument déserte.
Quand il est de l’autre côté du bassin, je l’appelle tout en mimant les gestes pour enlever son mini string.
Il comprend ; le sens à donner à mon mime.
J’ai loisir de le voir sortir de l’eau à la force des bras, prenant appui sur la margelle. Sans hésiter ; il me fait face et détache les clips de ceinture du string en vinyle rouge.
Le morceau de tissu choit sur les dalles de béton.
Je lui fais signe de venir jusqu’à moi. Son obéissance est un divin plaisir. D’un geste, j’exige qu’il marche lentement.
A mesure qu’il approche je vois nettement les anneaux ; l’un doré, l’autre argenté, qui compriment la base de sa verge et ses testicules.
Le lourd cadenas qui ferme le prépuce bat contre ses cuisses. C’est un régal de provocante impudeur.
Je le lui offre mon pied à baiser.
Puis je lui donne l’ordre de ramener le string, en se déplaçant à genoux.
A chaque minute, notre jeu peut être découvert.
La situation est tellement excitante, j’en prends le risque.
Une idée me vient, soudainement.
Je me lève du transat. A grandes enjambées, je vais poser un pied sur le morceau de vinyle abandonné.
Bien campée sur mes jambes écartées ; j’attends mon objet sexuel asservi, en profitant du spectacle.
Quand il est à moins d’un mètre ; sans prudence je crie un ordre : « Ta bouche »
Quelques secondes plus tard, ses doigts écartent mon maillot ; ses lèvres prennent possession des miennes intimes. Pour affirmer mon équilibre, je tiens ses cheveux.
Le plaisir m’envahit. En moins de cinq minutes, je coule sur sa langue.
Il peut récupérer le string et le ramener comme prévu.
Je range son maillot et le mien dans mon sac.
Nous prenons un bain, ensuite nous offrons nos corps au soleil, allongés sur les transats. L’après-midi passe douce et sereine, baignée de chaleur. Je ne sais pas ; que je vais avoir une surprise. Après nous être habillés dans notre chambre ; nous descendons pour dîner.
La propriétaire de l’hôtel m’interpelle avec ironie : »Vous avez apprécié la piscine ; Madame… ? ».
Sans me laisser le temps de répondre ; elle continue : « Heureusement ; c’est moi qui assure la réception le dimanche ! ».
Sans autre mot ; elle regagne son comptoir.
J’ai parfaitement compris le message.
Elle ne veut pas ébruiter les actes scandaleux ; mais la mise en garde de ne pas les renouveler est impérative.
Qu’elle s’adresse à moi, prouve qu’elle a vues les scènes impudiques et compris mon rôle.
Loin d’être honteuse, je suis fière.
Le dîner traîne en longueur ; ma préférence irait vers un fast-food, tant je suis désireuse de combler mon sexe.
Avoir été reconnue ; comme une reine dominatrice, m’excite plus que tout.
Parmi mes aventures dans des hôtels, une autre mérite d’être contée, tant elle résulte d’un concours de circonstances.
Nous sommes dans un hôtel du Périgord.
En cette fin de matinée, pour traverser le hall et aller jusqu’à la piscine entourée de haies, je me suis couverte d’un paréo coloré.
Mon objet a noué sa serviette de bain autour des hanches.
Les vacances scolaires n’ont pas débuté ; hier nous étions seuls à la piscine.
L’allée et le parking ; sont couverts de graviers qui crissent bruyamment, signalant tout déplacement.
Cette particularité m’a permis de jouer et faire l’amour avec mon serf en toute impunité.
Avec l’espoir d’une tranquillité identique, j’ai mis dans mon sac une chaîne de trois mètres et un cadenas, une cravache à pointes, un fouet et un spéculum anal avec tous les produits nécessaires.
En sortant du bâtiment ; j’ai le regret de voir un véhicule, stationné sur le parking, en plus du notre.
J’exprime ma déception.
Me voyant chagrinée et déçue ; mon esclave m’offre une compensation.
Il dénoue sa serviette et la glisse dans mon sac.
Nu, à l’exception d’un cache-sexe brillant ; il ne se presse pas pour traverser le parking.
J’adore ; ses prises de risques pour me plaire.
La porte métallique de l’enclos de la piscine franchie, je regrette de ne pas avoir eu mon matériel hier.
Un couple d’une quarantaine d’années, est installé en plein soleil.
Nous passons devant eux en les saluant.
Poliment, ils répondent à nos salutations par un mot incompréhensible avec un accent typiquement britannique.
Occupés à brûler au soleil leurs peaux de roux, ils replongent dans la lecture de leurs journaux.
Patrick installe sur un transat la serviette de bain rouge, brodée du mot : « Madame ».
Ensuite il étend au sol sa serviette marquée : « Esclave ».
Après m’être allongée, je demande à mon serf de me mettre de la crème solaire.
Pendant qu’il masse délicatement mon dos ; je remarque que la dame rousse ne porte pas de haut de maillot.
Elle regarde attentivement les fesses de mon serf.
Un instant nos regards se croisent ; aucune agressivité ni réprobation. J’offre un sourire à tout hasard.
En continuant mon massage ; mon esclave montre son côté face. Déformé par son sexe, le gros cockring et un cadenas ; son string forme une poche dorée.
La rousse scrute avec curiosité.
Je crois déceler un voyeurisme qui peut servir mes idées.
Mon servant a remarqué l’intérêt dont il est l’objet.
Il me demande l’autorisation de se mettre nu.
Mon accord est immédiat.
Il n’hésite pas une seconde ; faisant sauter les clips de ceinture pour se défaire avec élégance du minuscule vêtement.
Du côté du couple ; pas de réaction …
L’homme est caché derrière son journal ; la femme regarde avec une attention non dissimulée.
Ensuite, mon esclave s’occupe de mes jambes et de mon ventre ; j’apprécie la douceur de ses mains.
Quand mon serf a terminé le massage ; je lui fais franchir la limite entre nudisme provocant et exhibitionnisme obscène. Je lui ordonne de se mettre à genoux.
Ravi d’être exhibé davantage ; il s’exécute avec servilité.
Je vérifie d’un œil l’attitude de « l’anglaise ».
Je souris et je crois déceler un sourire en réponse.
Rassurée ; je sors tout le matériel de mon sac.
Je ferme la chaîne au cou de mon esclave avec un cadenas.
Le bruit attire l’attention.
Maintenant c’est le couple qui regarde la scène.
Ils échangent des mots ; mais aucune offuscation dans leur comportement.
Les regards sont curieux, attentifs.
Montrer son asservissement, renforce l’érection de mon esclave.
Fébrilement, je continue mes préparatifs.
Pour lubrifier le sphincter ; je vide un tube de vaseline dans son anus. J’introduis le spéculum en inox entre les fesses ; à l’aide de la molette de réglage, j’écarte les branches d’acier.
Mes yeux observent, le couple qui assiste au spectacle indécent, et, l’anus qui s’écartèle sous la force des branches de l’instrument.
J’ouvre le spéculum au maximum.
Je grave dans ma mémoire ces instants exceptionnels ; sans songer aux risques que nous prenons, si nous sommes découverts par d’autres personnes.
J’ordonne à mon sujet d’aller dans la piscine, en utilisant l’échelle proche des anglais.
Il marche lentement, pas à pas ; exhibant son sexe et ses testicules enserrés dans un anneau en acier de six centimètres de large.
Le gros cadenas fixé dans le prépuce et la longue chaîne cadenassée à son cou ajoutent à l’outrageante salacité de sa tenue.
Le couple est fasciné !
Mon sujet pose un pied sur la première marche et reste ainsi plusieurs secondes.
A moins de deux mètres ; l’anglaise peut décrypter les tatouages et voir le spéculum béant entre les fesses.
L’homme aussi curieux que sa compagne, jette un regard vers moi.
Il me fait un geste amical d’une main avec le pouce levé.
Sa compagne montre un enthousiasme presque égal…
Devant tant de bons sentiments ; je fais un signe de la main.
Mon objet est déjà de l’autre côté de la piscine et n’a rien pu voir.
Je n’ai pas l’intention de laisser passer pareille aubaine.
En relevant les yeux, je vois une main féminine posée sur les cuisses du rouquin.
Dès que mon esclave est à portée de voix, je le fais approcher pour saisir la chaîne. Je le traîne jusqu’à l’échelle.
Je saisis l’opportunité d’imposer des épreuves cruelles, inimaginables dans un hôtel.
Dès qu’il sort de l’eau, je mène mon serf à quelques mètres de mes « amis » anglais qui font preuve d’une immense tolérance.
Je remets mon fouet à mon asservi.
Je dis : « 50 fesses et 50 sexe ».
Mon esclave s’exécute.
Le fouet vole et frappe ses fesses à pleine vitesse.
L’épreuve est insuffisante. Il est prêt à bien plus.
Armée de la cravache à pointes ; j’interromps l’exhibition.
Devant les anglais médusés, je cravache mon esclave à pleine volée.
A chaque coup, les petites pointes laissent des traces sanglantes.
Quand son pubis est rouge, j’ordonne la reprise du spectacle. Il reste à voir le fouet sur son sexe.
Le premier coup porté, j’exige : « plus fort !».
Rien ne change, il se fouette déjà avec le maximum de force.
Mon esclave jouit d’exhiber son masochisme ; la douleur renforce son érection.
Les anglais apprécient….
Pour finir ; mon esclave est applaudi !
Je fais mettre mon objet-sexuel à genoux, puis je remercie le couple avec mon pauvre vocabulaire anglais.
Le couple parle un français suffisant pour me féliciter : « du domination de mon slave » …et dire : « very nice show ».
Je prends vite congé des anglais ; ayant remarqué la main de la dame sur le short de son compagnon.
Après avoir ôté le cadenas au sexe de mon objet ; j’évacue ma tension érotique, dans un corps à corps.
L’aveu de mon plaisir ; n’est entendu que par mon esclave.
Le couple a filé à l’anglaise, avec tact.
Nous n’avons jamais revu ces merveilleux complices.
Étaient-ils des adeptes de jeux de soumission, des libertins ou des curieux bienveillants ?
Je n’ai pas la réponse.
Je sors de ma digression solitaire et silencieuse ; j’identifie mieux les raisons de ma gêne.
Je dois supporter les regards au lieu de les provoquer ; je n’ai plus la liberté d’interrompre l’intrusion.
Je ne parle pas de la faute de Jeremy.
D’ailleurs va-t-il raconté sa mésaventure ?
Après mon introspection, je suis déterminée ; je ne veux plus être appelée maîtresse par une dominante.
Danielle ou Madame en un mot me conviennent.
Je trouve Françoise sympathique et nous avons dominé mon esclave ; alors je ne m’offusque pas quand elle prend la clef du portail et prend congé d’un :« Tchao Danielle » plein de bonne humeur…
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