Une après-midi ensoleillée, Laetitia fait bronzette sur un bateau. Elle est torse nue, les lunettes sur le nez, les cheveux au vent, des micro-perles de sueur donnent l’impression qu’elle a le corps humide comme si elle sortait de l’eau. Les seins nus ils sont comme la rosée du matin sur un fruit frais. A croquer. Son corps se love sur le bateau et laisse le soleil pénétrer sa peau et la dorer. Elle est bien, elle est seule, elle est disponible. Elle se redresse, ses doigts viennent relever les cheveux sur sa nuque humide. Ainsi occupée, la cambrure de son dos laisse une image de pinup de Saint Tropez des années folles. Elle se rallonge sur la coque du bateau, sur le ventre. Son petit bout de tissu sur ses fesses l’ennuie, elle qui déteste les marques de bronzage, elle décide de le retirer. Quelque peu gênée, elle jette un œil furtif autour d’elle. Personne à l’horizon. Se croyant seule, elle se dénude sereinement. Toujours sur le ventre, elle sur décide très légèrement soulever son bassin et faire glisser son bout de tissu avec ses doigts. En l’espace de quelques secondes, elle se retrouve nue, les fesses en l’air, le sexe tel une offrande pour les pupilles des voyeurs. La voilà de nouveau sous le soleil, parfaitement nue, ses petites fesses en totale escapade, libres de s’offrir à qui elles le souhaitent.
La voilà qui se délecte de chacun des rayons que le soleil lui apporte. Ils viennent frapper sa peau pour la faire dorer et transpirer. Laetitia s’abandonne totalement et ne fait plus attention au monde extérieur, elle est concentrée sur ce soleil qui lui donne chaud et qui l’a fait se retourner de manière régulière. Les lames de bois du bateau viennent marquer sa peau, qui elle, vient laisser les traces de son passage par humidité. Une petite bise vient caresser le corps chaud de Laetitia. A ce moment, elle sourit, elle est bien sur son bateau, sur le dos, le visage radieux, les jambes décontractées et légèrement écartées. Elle passe un moment très doux même si elle a le drôle de présentiment de ne plus être tout à fait seule. Peu importe ! Rien ne viendra lui ôter le plaisir qu’elle a d’être ici à ce moment-là ! Elle en profite, elle s’oublie, la brise marine vient la caresser par la brise contre ses joues, et descend le long de son corps chaud. Ses hanches sont alimentées par la température du bois, lui picotent la peau mais rien ne la ferait bouger. Elle se retourne sur le ventre une fois de plus. Sa belle poitrine vient se déposer langoureusement sur le bois comme pour mieux le taquiner. Elle a un frisson au contact de la matière chaude sur ses tétons humides. La voilà, le bras le long du corps, ses mains glissant le long de ses hanches sur sa peau perlante. Ses doigts sont animés d’une puissance invisible qui les fait bouger sans qu’elle le contrôle, tout en en ayant pleine conscience. Elle s’y abandonne. Ses doigts sont désormais maîtres de son corps et Laetitia est à l’aise avec cela. Sans qu’elle s’en rende compte, sa main droite s’est laissée glissée vers son sexe et sa hanche s’est soulevé telle une invitation. Voilà ses doigts à l’entrée de son sexe. Elle les fait passer dessus tel un pianiste jouerait de son instrument. Quelques notes plus tard, elle se sent d’humeur musicale et son sexe ne la contredira pas, il est ravi de l’arrivée de ces doigts joueurs et dotés d’une dextérité sans égale. Laetitia songe à l’image qu’elle projetterait si on l’observait, mais n’en a cure et décide de ne surtout pas interrompre le récital en cours. Son clitoris subit les assauts de son majeur et de son index. Ça y est, les premiers gémissements font leur apparition. Tout d’abord discrets, ils se font de plus en plus présents. Elle connait si bien son corps, elle sait le satisfaire, et elle ne le déçoit jamais. L’humidité de son sexe n’est plus la conséquence du soleil, la voilà mouillée de plaisir, les jambes bien écartés, sa main ne relâchant pas son étreinte. Elle est concentrée sur son plaisir. La mer, des bruits de nage autour d’elle, des murmures, elle les entend, elle ne se sent plus tout à fait seule, mais elle reste focus, les yeux fermées, orientée uniquement sur la symphonie de ses doigts.. Elle s’est glissée sur son coude gauche pour permettre à sa main encore libre de venir caresser ses seins gonflés d’envie. Ils sont fermes et doux à la fois. Ses tétons se sont endurcies du fait des pincements qu’elle s’inflige avec délectation. Elle est en osmose avec son corps, rien ne saurait stopper ce moment, ses doigts, son sexe ne font plus qu’un. Ils rentrent maintenant dans son sexe mouillé avec une grande facilité. Laetitia ne se fait prier pour les rentrer au fond de son petit sexe. Elle aime cette sensation mais n’en délaisse pas pour autant son clitoris qui est désormais tel un petit Vésuve, débordant de vie et de chaleur. Son excitation est telle qu’elle masque les bruits qui se sont fait plus pressants et plus précis à l’arrière du bateau. Elle le sait, elle le sent, elle n’est plus seule, c’est une certitude. Bien que cette situation soit imprévue, Laetitia reste imperturbable. Ses fesses sont désormais bien relevées et la voilà sur les genoux et position de la levrette. Le soleil vient déposer ses rayons sur son petit trou. Ce qui ne lui déplaît pas, elle apprécie cette délicate attention. Ses yeux sont restés à demi ouverts, elle se sait observée, épiée, vue nue comme jamais, mais cela ne l’arrête pas pour autant. Elle qui aime être l’objet de phantasme, trouve cela excitant d’être observé et abandonnée en position de faiblesse ainsi. Inconsciemment elle se dit qu’elle aimerait qu’on la rejoigne et qu’on l’aide à atteindre l’orgasme. Tout cela l’incite à continuer à gémir alors qu’elle sent la présence d’une personne tout à côté d’elle. Les yeux fermés elle sent son regard sur elle, sur son corps. Cette situation décuple l’excitation de Laetitia qui continue d’offrir un superbe spectacle à cet inconnu. Elle décide de se retourner sur le dos pour continuer à jouer avec son petit Vésuve. Elle devine la personne tout à côté d’elle. Reprenant le cours de ses activités elle sent la présence se faire de plus en plus forte. Plus proche. Son souffle, elle l’entend, elle le devine, elle le sent ! Le voilà, il est là !
La « présence » restée discrète jusque-là (qui pourrait lui reprocher d’avoir voulu profiter de ce si beau spectacle ?) décide de sortir du bois. L’illustre inconnu semble à l’aise avec le corps des femmes et leur plaisir. Il a longuement observé Laetitia onduler, se cambrer, se dandiner, en attendant le bon moment pour devenir acteur. De son coté, Laetitia sent bien que ce plaisir solitaire ne le sera sans doute plus longtemps. Elle s’est adonnée à une activité solitaire mais l’idée de jouer collectif ne lui déplairait pas. La tension reste palpable, elle reste à la merci de cet inconnu qu’elle sait de plus en plus proche, elle sent ses mains dans ses cheveux. Elle reste les yeux fermés mais sent clairement le corps de l’inconnu vouloir créer le contact avec le sien. Ses sens sont à l’affût, lui qui est resté silencieux depuis, … elle ne saurait dire depuis combien de temps elle est épiée, espionnée, scrutée sans le moindre filtre. Il est là, ses mains caressent sa joue, des doigts arrivent sur le bord de ses lèvres. Ils sont légèrement salés. Notre homme est semble-t-il à la nage. Son pouce se fraie un chemin entre les lèvres humides de Laetitia. Elles s’écartent délicatement et c’est la langue de Laetitia qui vient l’accueillir en soulevant sa tête pour prendre tout le doigt dans la bouche. Et sait et sens que cela est remarqué et apprécié par son nouveau partenaire. Les yeux fermés elle devine son sourire. Le pouce fait un dernier mouvement de va et vient sur les lèvres dessinées de Laetitia. Elle n’attend plus qu’une chose, elle veut faire plaisir à son nouvel ami de jeu et prendre son sexe en bouche. Ses pensées n’ont pas le temps de vagabonder très longtemps. Elle sent maintenant une main qui approche sa tête et sent sur ses lèvres un sexe brûlant d’envie et gorgé de sang. L’homme lui soutient la tête et fait glisser la base de son sexe sur la bouche à demi ouverte de Laetitia. Elle ne tarde pas à sortir sa langue pour goûter son nouveau jouet. Les va et vient permettent à Laetitia de se réjouir, son nouveau jouet et d’une taille très appréciable, elle espère pouvoir en découvrir toute l’anatomie. Elle se délecte du petit goût salé que la base de ses couilles laissent sur le bout de sa langue. Elle devine un gland très chaud. L’arrivée de ce sexe si proche de sa bouche a laissé un répit au sien. Ses doigts sont muets depuis quelques instants et sa main vient jouer caresser les couilles que Laetitia lèche maintenant avec envie tout en passant sur ce sexe imposant. Elle sent le sexe et l’homme réagir à ses coups de langue tout en faisant jouer ses mains. Soudainement, elle sent une main orienter sa tête. Elle comprend instantanément, elle n’attendait que cela. Toujours sur le dos, sur son bateau, totalement nue, elle va maintenant introduire le sexe d’un homme qu’elle n’a jamais rencontré (ni même parlé) dans sa bouche. L’idée lui plaît et la rend soudain très pressée de goûter ce gland. Elle ne se fait pas prier et l’introduit en bouche et prend plaisir à laisser sa langue s’amuser avec son nouvel outil de plaisir. Elle gémit de manière caractéristique, elle aime donner du plaisir et sentir qu’elle en donne. Son excitation continue de grimper. Elle sent le sexe pénétrer sa bouche intensément, profondément. Elle tente de le rentrer entier et le laisse sortir avec un souffle de désir. Le bois chaud sur son dos, le soleil sur sa peau, ce gland brulant qui navigue dans sa bouche. Elle s’abandonne et laisse libre cours à ses envies et à ce moment-là elle est obnubilée par le fait se sucer ce sexe dur et continuer de faire gémir cet homme dont elle ne sait rien. Pour se mettre à l’aise elle se remise sur les genoux, les mains au sol, la bouche ouverte et laisse pénétrer ce si bel organe au plus profond de sa gorge. Elle en salive de plaisir et ne peut retenir ses gémissements, elle qui adore sucer. C’est alors entre deux petits cris de que la surprise de Laetitia fût totale. Concentrée sur le mouvement de sa langue elle sent une main se poser sur sa fesse gauche et lui mettre une petite fessée… ! Notre inconnu n’était pas seul. Laetitia se sait désormais à la merci de 2 inconnus dont le second sera lui aussi très stimulé par le spectacle offert jusque-là. Sans rester immobile l’espace d’une seconde (sous le coup de la surprise) Laetitia reprend ce sexe en gorge, lui qui n’attendait que cela et décide de lâcher prise. Elle va se donner à ces deux sexes, elle va s’offrir, elle va se sentir vivre.
Laetitia est en pleine possession de ses moyens, mais reste néanmoins dans l’attente des prochaines actions de ce protagoniste surprise. Le sexe du premier (dont elle se délecte) toujours bien ancrée sur sa langue, elle maintient une cambrure éhontée qui offre tout simplement son corps à ce second petit chanceux. Laetitia sent bien les mains du premier sur l’arrière de son crâne, maintenant une distance raisonnable entre sa bouche et ce sexe qui ne se lasse pas du chemin répétitif qui l’occupe depuis quelques minutes maintenant. Elle sent d’ailleurs l’envie et la pression s’intensifier lorsqu’elle sent le second inconnu poser ses mains sur son sexe. Elle est prise d’un petit sursaut mais reste concentrée sur sa tâche actuelle. Ses gémissements trahissent un plaisir non dissimulé. Les doigts sur son sexe partent des lèvres pour remonter sur un clitoris qui après avoir été stimulé, ne serait pas contre quelques douceurs. Il ne sera pas déçu. L’habilité de ses doigts est semblable à ceux de Laetitia. Elle en est ravie et se laisse guider par ces doigts dont elle découvre l’expertise. Son bassin frissonne sous les doigts joueurs tout en recevant les baisers d’une bouche gourmande. Une langue parcourt le bas de son dos, se laisse glisser sur ses lombaires. Elle frissonne. A cet instant Laetitia s’abandonne, elle se sait être l’objet de désir de ces deux hommes. Elle leur appartient, elle veut se laisser dominer et profiter de l’instant de lâcher prise total. Elle est leur chose pour ce moment. Cette situation permet de rendre cet instant intemporel, elle n’a plus les commandes et elle s’oublie en se concentrant sur l’instant présent, son plaisir, et celui de ses partenaires. Elle sait qu’elle se laissera faire pour leur plaisir à tous les trois. Plaisir qui ne tarde pas à se montrer. Son clitoris reste harcelé avec douceur et précision, et la langue a continué sa route au sud des lombaires. Laetitia gémit en sentant qu’une langue tente de pénétrer son petit trou. Il est totalement décontracté en humide, Laetitia est détendue et se laisse faire avec envie. Elle pousse son corps vers cette langue qui la harcèle. A cette vue, le premier, qui a fait montre d’un self control impensable, lorsque l’on connaît les talents de Laetitia à la fellation, se rapproche de l’orgasme. Laetitia le sent et poursuit un va et vient inarrêtable sur ce sexe prêt à exploser. La pression monte et ne tarde pas à venir réchauffer la bouche et la gorge de Laetitia qui elle-même apprécie tellement sentir un homme s’abandonner en elle. Elle ne se pose pas de questions et l’avale avec joie tout en gémissant. Cette sensation du sperme dans sa bouche est un réel délice, elle cherche à récupérer la moindre goutte de ce précieux nectar. Sa langue sur le gland qui vient de jouir ne manque pas de provoquer de petits spasmes sur cet homme en plein extase. Laetitia est ravie d’avoir pu lui faire plaisir, le goût de sperme dans sa bouche est une sensation qu’elle aime tant. Une fois le liquide intégré, et pendant que l’un d’entre eux, reprend ses esprits, point de répit pour elle, les doigts, maintenant bien décidé à la pénétrer sont aux portes de son sexe. Ils ne se font pas prier pour y entrer. Cela se fait sans encombre du fait de l’excitation de Laetitia. Son sexe est gorgé de plaisir et d’une humidité parfaite. Son petit trou, plie mais ne rompt pas. Lui aussi est désormais très humide. Il est comblé par toute l’attention qui lui est portée d’autant qu’un doigt aventurier est venu faire tomber ses derniers remparts. La voilà pénétrée par les deux trous. L’homme n’a pas à bouger, Laetitia pousse sur ses bras, et vient enfoncer les doigts elle-même plus profondément encore. Elle sent maintenant plusieurs doigts au fond d’elle. Cela la comble. Elle s’adonne à ce mouvement addictif en accompagnant chaque arrêt (plus lointain à chaque fois) d’une plainte incontrôlable, presque d’un tremblement. Son corps vit un instant d’une intensité extrême. Elle n’est pas rassasiée, elle en veut plus. C’est alors qu’inconsciemment, elle s’entend prononcer à voix haute : « Prends-moi. ».
Cette phrase sera respectée sur le champ par notre second larron. Après s’être délectée de son corps avec ses lèvres, le corps de notre héroïne est prêt. Il va être pénétré, il le pressent, il l’attend, elle est en quasi-transe devant l’exceptionnelle situation. Ses doigts se sont retirés depuis bien trop longtemps déjà, les fesses ondulent, attendant un partenaire prêt à la satisfaire. Ce break ne sera que de courte durée. Un simple effleurement permet de sentir la cible proche. Elle n’en peut plus, elle veut se faire prendre, elle agite ses petites fesses comme pour dire : « Prenez-moi, prenez-moi ! ». Et la voici récompensée de cette attente. Cette première pénétration sonnera comme une délivrance, le corps de Laetitia est traversé par un courant de plaisir instantané. Elle est prise. Et bien prise. Toujours sur les genoux, les mains sur le sol, la voilà les fesses en l’air prise par un inconnu alors que le 1er, qui se remet de ses émotions, a lui aussi été émoustillé par ces dernières paroles. L’aurait-il pris comme un affront, un défi ? Personne ne saura le dire. Il est resté silencieux, mais son langage corporel indique qu’il sera bien présent au second acte de cette pièce. Tous les acteurs sont en place. Le pénétrant vient poser ses mains sur la chaude poitrine. Les mouvements de son sexe s’accélèrent tandis que ses doigts viennent pincer les tétons salés d’une Laetitia qui n’en demandait pas tant. Il les presse entre ses doigts et lui attrape la poitrine avec autant d’habileté que de fermeté. Elle adore que l’on s’occupe de ses seins ainsi et ce n’est pas son souffle saccadé et ses « Oh ouiiiii » qui diront le contraire. Le Monsieur ne retient plus ses hanches et lance des mouvements qui crée une chorégraphie avec les fesses de sa victime. La danse de l’amour est en cours, les sexes sont unis, les corps mélangés, concentrés sur une cible identique. L’orgasme. Les genoux de Laetitia commencent à la faire souffrir, elle en fait abstraction et l’oublie très vite lorsque qu’une fessée vient lui rappeler qu’elle est à la merci de l’homme derrière elle. Un petit cri mêlé de surprise et d’envie d’en recevoir une autre sort de sa bouche. Elle sera vite exaucée. En voilà une nouvelle, puis une autre. La voilà qui rougit, cette petite fesse qui n’avait rien demandé, elle qui subit les assauts de cette main taquine. L’homme se rapproche et colle son torse sur le dos de Laetitia, leur sueur se mêlant, il lui susurre à l’oreille. « Tu en veux encore ? ». Le « Oui » franc et instantané ne laisse place à aucun doute. Des fessées régulières viennent agrémenter ce doux rythme sonore des corps qui s’entrechoquent. La tension monte encore d’un ton lorsque l’homme lui coiffe ses longs cheveux ondulés pour lui permettre de les tenir d’une main ferme. La voilà harnachée à cet homme, heureuse de lui appartenir, de lui faire plaisir, d’être sa chose, de se laisse aller dans la plus pure luxure, du sexe 100% naturel, du vrai, sans artifice. Cet abandon psychique, ce laisser aller le plus complet, ce sexe qui la pénètre de tout son long, cette pression sur sa chevelure, cette volonté de faire durer cet instant une éternité, conduisent très naturellement Laetitia vers l’orgasme. Son corps ne supportant plus tant de plaisir, il l’a fait jouir d’un torrent d’hormones, une explosion, un feu d’artifice, un cri non étouffé vient accompagner ce final. Son sexe est chaud, encore occupé par ce sexe qui vient de la combler, ses genoux tremblotent sous l’excitation qui est encore la sienne, sa respiration est haletante, elle a la tête qui tourne, elle ne saurait plus dire où elle est, où se trouve le sud, le nord, tout ce qui lui importe, c’est de prolonger cette extase. Ce paradis sur terre. Elle reprend ses esprits quelques secondes avant que notre premier individu, lui demande de se positionner sur le dos. Elle s’exécute sans rechigner. « Moi aussi je veux te goûter » lui annonce-t-il alors en positionnant sa tête entre ses jambes. Laetitia ne lui laisse pas le temps de respirer et vient positionner sa bouche directement sur ce sexe bouillant qui ne demande qu’à être emmené au 7ème ciel une fois de plus. Pendant ce temps-là, le second vient se positionner au-dessus de Laetitia, l’enjambe, s’assit presque sur son nombril et vient déposer son sexe au milieu de ses généreux seins. La voici, d’un geste automatique qui vient plaquer ses seins sur ce sexe brulant et commencer à le masturber entre ceux-là. Laetitia sent son sexe déjà mis à dure épreuve face à la langue de son adversaire. Le corps sur son torse l’empêche de se cambrer, mais le dandinement de son bassin confirme la qualité des coups de langue. Langue qu’elle a elle-même sorti lui permettant de gouter ce sexe qui était au fond du sien quelques secondes auparavant. La peau douce et légèrement salée de notre fan d’escalade vient s’ajouter au goût de sa mouille, qu’elle connaît déjà très bien, pour l’avoir gouté à de nombreuses reprises par le passé. Les mains de Laetitia se baladent sur les cuisses musculeuses à sa portée, et elle ne peut s’empêcher de les laisser vagabonder sur le bas du dos de son partenaire comme pour lui indiquer de se rapprocher, de lui donner tout son sexe. C’est vrai qu’il ne faut pas y avoir de jaloux, son copain a été gâté, lui aussi aura le droit à sa surprise. Il ne se fera pas prier et remonte sur le corps de Laetitia, qui peut désormais accéder aisément à ses couilles qui rapidement accueillie par une Laetitia qui n’attendait que de pouvoir les gober. Elle n’oublie pas par ailleurs de continuer de le masturber. Son sexe toujours pris en otage par des experts, il lui arrive de coller son visage aux couilles pour émettre un gémissement, mais son excitation est telle, qu’elle reprend ses coups de langue. Elle est comme possédée et profite du moment qui lui est donné pour laisser libre cours à son imagination. Elle décide de se faire glisser de quelques centimètres pour permettre à sa langue de lécher la base du sexe qui vient de la faire jouir. Elle se dit que ce n’est que justice de lui rendre la pareille. La voici qui continue de glisser sa langue sur le petit trou de notre petit veinard, qui, surpris, ne s’est pas fait prier pour relever les fesses et permettre à Laetitia de jouer avec sa zone sensible. Au souffle de l’homme et à la tension de ses fesses et de son dos, Laetitia sait qu’elle lui fait un bien fou et que pour la première fois, elle est maître de la situation. Elle fait des ronds sur ce petit trou, joue avec l’entrée, humidifie un doigt pour le laisser en contact avec l’entrée de ce cul, qui ne demande qu’à être pénétré. Il en est d’ailleurs de même pour le sien, de cul, puisqu’un doigt vient la combler. Ses gémissements et l’entrain de sa langue prouve le bonheur qui est le sien de pouvoir faire plaisir à un homme de la sorte, elle savait cette zone sensible, mais ne s’imaginait pas qu’elle fasse autant d’effets. C’est à ce moment que notre homme allongé sur Laetitia propose à son ami « Ne crois-tu pas qu’il serait malpoli de ne pas satisfaire Madame ? Elle nous a demandé de la prendre, n’est-ce pas ? Je te propose de la prendre. » Manifestement, son ami, qui n’a eu qu’à acquiescer a tout de suite compris où il voulait en venir. « Tu as raison ». Laetitia qui vient de perdre ces 2 joujoux les voit se repositionner en l’abandonnant. Elle ne sera pourtant pas oubliée très longtemps. Les deux compères, manifestement très complices se sont tout de suite compris. Celui qui était occupée à faire de son sexe son gouter, s’allonge au sol et lui demande de s’allonger sur elle. Mécaniquement, Laetitia s’exécute, curieuse de savoir quelle sera la suite. Elle se roule sur le côté, prend le temps de soulager sa nuque en relevant ses cheveux l’espace de quelques secondes, et se fait glisser vers l’homme qui l’attend. Cette manœuvre lui permet de mieux appréhender ce corps qu’elle s’était contenté de deviner, de découvrir au toucher, au goût. La voilà ravie de prendre place sur un homme svelte, avec un corps sportif, et un sexe d’une érection sans faille. Sa jambe glisse contre son corps et elle vient le dominer et posant ses mains sur son torse. Le sexe de l’homme vient alors se greffer au sien et le pénètre sans difficulté. Laetitia repart sur le chemin du plaisir en sentant ce sexe se positionner au fond d’elle. L’homme lui attrape alors les bras et les positionne au-dessus de ses épaules, de sorte que Laetitia soit presque à l’horizontale sur lui. Les mains bien ancrées sur son petit cul, il en profite pour réaliser quelques accélérations de bassin qui font s’agiter les seins de notre héroïne sur son torse. Continuant ses mouvements plus lents, il replace ses mains sur cette poitrine qui l’appelle. Il arrive à caler les tétons entre ses lèvres en les mordillant. Son bassin ralentit et se stoppe quelques secondes. Elle reste insensible à cette pause tant le plaisir de ses tétons maltraités l’excite. Il décide de lâcher un sein pour tenir Laetitia par la gorge comme pour mieux lui dire, « Tu m’appartiens ». Elle ne cesse pas de gémir et de vouloir recevoir de nouveaux des coups de bassin. C’est alors qu’elle sent se présenter notre 3ème personnage à l’entrée de son petit cul. Son gland décalotté et chaud et déjà en contact de son trou humide. Les précédentes pénétrations des doigts permettent à Laetitia de presque déjà le sentir en elle. C’est à ce moment qu’elle réalise que dans quelques instants, deux sexes vont unir leurs forces pour lui donner du plaisir. Elle se dit qu’elle a de la chance et que cette occasion est trop belle. « Viens » lance-t-elle alors, tel une défiance. Notre homme ne se fera pas prier et tout en tenant son sexe dur dans sa main, commencera à l’enfoncer dans le petit cul de Laetitia. La voilà cambrée, la voilà comblée. Ce second sexe rentre délicatement se loger dans son petit cul et vient doubler les pénétrations. La voilà prise par deux hommes au même moment. Même dans ses fantasmes les plus osés, elle était loin de se douter du bien que cela lui procurerait. Elle est bien, en osmose avec son corps, en osmose avec ces corps, en osmose à trois. Délicatement son petit cul se fait envahir pour cacher complètement le sexe. Les deux sexes bien au fond d’elle, elle en veut plus, et sait que les va et vient vont être un instant magique. Ils arrivent, toutes les sensations sont surmultipliées, elle vit ce moment à 200%. Les deux sexes remuent en elle, elle s’entend crier de plaisir, elle n’a jamais été aussi bien prise. Les coups de hanches sont plus agréables les uns que les autres, Laetitia leur offre son corps, ils lui offrent un moment d’Eden, une capsule de mémoire figée pour très longtemps. S’abandonnant complètement au moment, Laetitia laissera les deux hommes échanger de place pour profiter chacun leur tour du point de vue qui leur est offert. C’est lors de la seconde entrée des deux hommes qu’elle jouira. Un orgasme, franc, intense, qui dévale tout votre corps, un courant électrique qui vous prend au tripe et qui vous fait péter le cerveau. Du LSD coupé à de la MD coupé à de la baise parfaite. Ses cordes vocales laisseront exprimer toute l’ampleur de cet orgasme. Ses tremblements et ses pulsations hyper élevées la rende ultrasensible, chaque pénétration est sur vitaminée, comme dopée, elle n’en peut plus de tout ce plaisir. Quelques fessées plus tard, les deux comparses sont eux aussi au stade de l’excitation ultime. Ils ne peuvent pas se retenir plus longtemps. Ils vont venir sur elle. Elle veut leur faire plaisir et conclure cet instant en beauté. A genoux devant eux, ils ne tarderont pas à laisser exploser leur désir, Laetitia aura à peine le temps de les remettre en bouche, de s’amuser à introduire 2 glands dans sa bouche, qu’elle est gratifiée de deux superbes éjaculations. La première viendra honorer ses tétons et son ventre, la seconde se terminera dans sa bouche, encore une fois ravie de sentir couler ce sperme dans sa gorge. Elle ne se fera pas prier pour avaler tout ce qu’elle reçoit dans un plaisir vocal assumé, mais elle goûtera également celui trônant sur sa poitrine et son ventre doré …
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