Je suis une jolie brune, une secrétaire épanouie dans son travail et j’ai la chance d’avoir comme boss un type vraiment bien !
Je plains mes collègues de boulot qui ont souvent pour patron de vieux grincheux de la vieille école. Bastien est très compréhensif et s’il est très strict sur la qualité de mon travail, il respecte mes limites… et sais gérer mon stress. C’est quand même cool d’aller au boulot avec le sourire en ce moment. Pour couronner le tout, il est physiquement au top. Un beau gosse trentenaire toujours en costard, assez sportif si j’en juge à la forme de ses muscles sous sa chemise.
Depuis deux ans que je travaille à ses côtés, nous nous sommes rapprochés. Souvent, avant de quitter le bureau ou lors d’une pause improvisée, il m’invite à partager un café. A croire qu’il apprécie ma compagnie et me confier ses petits soucis persos…
j’ai ainsi appris qu’avec sa chérie du moment, le quotidien était compliqué. Comme lui, sa compagne est cadre dans une grosse société. Lorsqu’il la retrouve le soir, elle est aussi épuisée que lui. La plupart du temps, le couple visionne un film, partage un plat à emporter et hop : au lit sans passage par la case câlin.
Il m’a confié qu’il fait des efforts et tente de la booster, histoire d’oublier la fatigue mais aussi dynamiser leur vie sexuelle. Il a tenté les massages à l’huile, proposer un bain sensuel à deux… mais à en croire ce qu’il me raconte, sa moitié a totalement perdu tout intérêt pour les activités intimes. J’ai déjà vu cette pimbêche, une grande blonde au regard froid, certes plutôt pas mal foutue, mais vriament pas aimable : tu m’étonnes qu’il s’ennuie. Un si beau mec frustré par une vraie connasse ! Je me suis surprise à ressentir de la jalousie, de l’envie. Il était temps que je montre à mon boss à quel point j’étais capable de prendre soin de lui.
Deux jours plus tard, je suis allée le rejoindre pour partager notre traditionnel café. Ce n’était pas forcément vrai… mais je lui ai dit qu’il avait l’air beaucoup plus fatigué que d’habitude. Arborant un grand sourire, sûre de moi, je me suis levée et placée derrière lui. J’ai posé mes mains sur ses épaules et effectivement… monsieur faisait du sport ! Mes doigts manucurés se sont mis en action, ont commencé à fermement malaxé le corps de mon beau patron. Il a ravisé ses paroles, comme s’il appréhendait que j’arrête ce que j’avais entrepris.
« Vous avez vraiment besoin de vous détendre et cela tombe bien : j’ai été engagée pour ça. »
Me tournant le dos, il ne me voyait pas. Mais à en juger par son souffle rauque, il prenait visiblement son pied dans cette activité improvisée par mes soins.
Je me suis rapprochée et fait en sorte que sa tête repose sur mon voluptueux décolleté.
Je sais que mes seins sont sources de fantasmes chez les mâles de la boite ! Et comme j’ai toujours eu l’âme d’un séductrice, je fais en sorte de systématiquement les mettre en valeur dans des hauts volontairement trop serrés. Il n’a opposé aucune résistance. Lui d’habitude assez directif malgré notre bonne entente semblait complètement s’abandonner entre mes mains.
J’ai osé une parole grivoise, ne serait-ce que pour savoir si j’avais le feu vert pour aller plus loin dans notre rapprochement soudain :
« Un besoin de vous détendre… et de vous soulager il me semble »
Sa tête s’est laissée aller à la renverse, il souriait béatement, le message était clair : il comptait sur moi pour une relâchement total. J’ai osé glisser la paume de mes mains le long de son torse. Quelques doigts se sont aventurés sous le tissu de sa chemise, un bouton à sauté. Son ventre était chaud, son torse saillant… j’étais en train de vivre un de mes plus grands fantasmes : faire craquer mon patron ! Un rapide coup d’œil à son pantalon a confirmé que ma mission était en bonne voix : cet adorable salaud bandait comme un cheval !
J’ai retourné son fauteuil à roulettes, le toisant d’un regard fiévreux de désir.
A la fois amusés de le voir perdu, ne sachant trop quelle réaction avoir… et excitée d’avoir un contrôle total de la situation. Il était à moi. J’ai posé l’index sur ses lèvres en murmurant « chut ».
Me suis levée, fermée le loquet de la pièce, puis me suis agenouillée face à lui sans le quitter du regard. Dans mon tailleur cintré sexy, en bas nylons et escarpins, je savais que je le faisais craquer.
Son professionnalisme a toujours limité nos rapports intimes à de simple compliments matinaux. Nous étions clairement en train de passer un cap.
J’ai déboutonné sa braguette pour libérer une balle queue non circoncise, brulante de désir. J’étais comme hypnotisée par ce sexe gonflé pour moi ! Veineux, prêt à exploser… j’ai senti que dans un éclair de lucidité, ma victime allait s’opposer à ce que je commence à le sucer ! Peut-être se rendait t-il compte qu’il était en train de franchir une barrière ? Cela allait le faire tomber dans l’adultère et définitivement changer nos rapports. Il n’en a pas eu le temps. En quelques secondes, sa bite était au fond de ma gorge, je le biberonnais à pleine bouche comme si je voulais le faire jouir le plus rapidement possible.
Il a enfin réussi à dire un mot. Pas pour m’invectiver d’arrêter mais juste de ralentir. Dans mon ivresse, j’étais effectivement en train de le pomper comme une pute de rue pressée d’enchainer les passes. Il ne fallait pas gâcher le moment à cause d’une éjaculation prématurée surtout que je désirais également le sentir en moi avant qu’il ne jouisse.
Alors je me suis relevée et assise sur le rebord de son bureau.
Je me suis timidement recoiffée et ai baigné mon regard d’allumeuse empreint de fausse candeur dans le sien. Il était temps qu’il intègre son rôle de patron, celui du donneur d’ordres entreprenant qui maitrise la situation en toute circonstance. Evidemment, Bastien était à la hauteur. Il s’est relevé et s’est collé à moi contre le meuble. Sa bite bouillante s’est plaquée sur le tissu humide de mon string. Décidé, il a relevé ma jupe pour qu’elle ne soit plus qu’une ceinture autour de mes hanches. Il a écarté le bout du tissu de mon dessous sur le côté et m’a pénétrée.
Il n’était plus à ma botte, les rôles s’inversaient… il reprenait le pouvoir !
Je dégoulinais de plaisir à l’idée de devenir sa chose. J’aurais bien aimé qu’il fourre son visage entre mes cuisses en guise de préliminaires avant qu’il me prenne… mais j’étais là pour son seul plaisir, pour qu’il se soulage ! Le désir d’être réduite à l’état d’objet sexuel, de poupée sexuelle pour un mâle puissant était bien assez grisant. Il n’a vraiment pas pris de gants. Son sexe s’est enfoncé en moi jusqu’aux couilles. Je le fixais toujours, à la fois innocente et allumeuse, cela le rendait fou.
Aucune douceur dans ses gestes ! Le premier va-et-vient a été brutal, entier…
la suite toute aussi intense. Mon boss me limait maintenant comme une vulgaire vide couilles. Ces bourses claquaient bruyamment contre l’entrée de mon vagin. Il me tenait par la nuque, me bourrant le plus vite possible, avec une intensité toujours croissante. Je ressentais toute sa frustration sexuelle disparaitre enfin, il trouvait dans ma chatte docile le salut d’une réelle libération.
Je me suis étendue sur son bureau, j’ai relevé les cuisses pour mieux sentir son gland matraquer mon point G en feu. J’avais le bas ventre en fusion, tout endolori pas la pénétration bestiale. Je mordais mon poignet pour ne pas crier de plaisir. Dans un dernier soubresaut, je l’ai sentie se coller fortement à moi, des spasmes dans les jambes. Il a arrêté de me limer et a longuement haleté comme un géniteur ayant fini sa labeur.
Non… il n’avait pas osé quand même ! Ejaculer à l’intérieur !
Se vider dans ma chatte sans aucune vergogne, sans même me demander la permission ? Pendant quelques secondes, il est resté planté en moi, comme pour reprendre ses esprits. Puis il s’est redressé, a retiré son sexe ramolis pour le ranger encore poisseux dans son pantalon. J’étais toujours couchée en étoile de mer sur son bureau, mon intimité offerte maintenant souillée. Son sperme dégoulinait du mien, son courrier en était tâché tout comme son clavier d’ordinateur.
Il n’était plus le même. Les couilles vides, je voyais bien qu’il avait pris conscience de mon potentiel de salope. Nos relations avaient évolué vers un rapport dominant soumise que je n’avais pas vu venir. Mais au final, n’est-ce pas ce que je désirais du plus profond de mon être ? Il a pris sa veste de costume, ne m’accordant même pas un regard puis a souri :
« Demain matin, tu m’apporteras le café, tu ne porteras pas de culotte et tu me suceras la bite en guise petit déjeuner »
Je venais officiellement de gravir un échelon dans la hiérarchie de la boite.
Envie d’un plan cul, là maintenant ?
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