PAS CE SOIR
« Pas ce soir » se murmura Paco à lui même en voyant arriver les premières invitées dans son magnifique triplex du 16eme arrondissement.
« Pas ce soir » se jura Julia, en enfilant sa robe verte juste avant que ses amies ne sonnent pour l’accompagner à cette soirée.
Lorsqu’elle arriva dans l’appartement, elle ne fut pas impressionnée comme ses amies par le semblant de majesté des lieux. Ce qui l’intéressait elle était de tenir sa promesse du soir : pas question de coucher avec un nouvel inconnu. Cela faisait plusieurs mois qu’elle ne pouvait s’empêcher de baiser presque chaque jour avec des hommes rencontrés au hasard de la rue ou d’applications. Elle ne se souvenait plus comment cela était arrivé la première fois mais elle y avait pris gout, elle adorait ce sentiment de toute puissance à chevaucher ses partenaires et sentir leur bite dure entrer en elle.
Mais pas ce soir, elle se l’était promis.
Paco lui savait que son charme auprès des femmes était plus lié à son argent, il avait compris cela dès qu’il avait organisé la première fête dans cet appartement : il avait dû baiser au moins quatre filles cours de cette soirée et s’était fait sucer par deux jeunes banquières en même temps. Depuis, s’il avait envie de baiser il lui suffisait d’organiser une fête comme celle de ce soir chez lui, il y avait toujours une ou plusieurs femmes que l’argent faisait jouir, mais il aimait aussi beaucoup les fellations à la lumière de la Tour Eiffel qui éclairait tout le dernier étage de son appartement.
Mais personne il ne baiserait personne dans la chambre ce soir là, promis.
Lorsqu’elle fut présentée à Paco, Julia resta distante bien que le charme du jeune homme lui plaisait, elle s’était promis « pas ce soir ». Elle l’avait déjà remarqué avec sa peau bien entretenue, sa chemise blanche mal boutonnée et son jean très bien taillé qui lui faisait un joli petit cul. Elle ne savait pas que c’était lui le fameux milliardaire qui proposait des levrettes Eiffel dont ses copines lui avait tant parlé. Peut être essaierait elle un jour mais pas ce soir : promis !
Paco cru reconnaitre quelques visages dans le groupe de fille qui s’avançait vers lui mais en général les visages ne lui disaient rien, il reconnaissait les femmes avec qui il avait couché à leur seins.
Il se concentra donc sur les décolletés et en reconnu alors au moins deux, mais la fille en vert, il n’était pas sûr. Déjà portait elle un soutien gorge ? D’habitude la question était facile à trancher mais cette robe était particulière et malgré le décolleté plongeant impossible de savoir si ses seins étaient maintenus naturellement.
De toute façon se dit il « je ne saurais pas ce soir, j’ai juré. ».
Malgré tout, la fille en vert l’obsédait, elle ne minaudait pas comme les autres et paraissait distante, il avait bien remarqué ses bas lorsqu’elle s’était assise sur l’un des canapé à environ une dizaine de mètres de lui, sa poitrine était engageante et ses formes fines et en même temps charnues la rendait attrayante au possible. Il avait aussi déceler ce regard des femmes qui peuvent se relever sauvage, il ne pu détacher le regard de cette superbe Julia et de son décolleté de toute la soirée, il se voyait enfouir sa tête dedans et souris en pensant à cette formule de style:
« la tête et pas que… »
Julia quant à elle profitait de la soirée, elle fut ravie de passer une soirée sans penser ni au sexe ni avec quel homme elle voulait coucher. Elle discutaient avec ses amies et d’autres invités et profitait comme tout le monde de l’appartement et de la terrasse avec vue. Elle faisait la connaissance d’un couple mais celui-ci l’abandonna pour aller appeler la baby-sitter (elle appris plus tard qu’il s’agissait d’un code du couple pour aller baiser dans un endroit discret). Elle se retrouva donc seule sur la terrasse et aperçu que Paco la fixait depuis le balcon du dernier étage, ce n’était pas la première fois de la soirée qu’elle surprenait Paco la dévisager avec insistance. « C’est étrange que me veut-il ? » pensa elle. Elle demanda et ses amies lui expliquèrent que Paco accueillait ses invités puis cédait rapidement aux filles les plus entreprenantes et l’on ne le voyait plus de toute la nuit c’était rare de le voir si tard.
Julia revit rapidement le couple qui l’avait lâché sur la terrasse et leur sourire complice et coquin l’émoustilla au point de lui faire perdre de vue sa promesse du soir. L’envie de baiser était trop forte mais elle voulu savoir jusqu’où pouvait elle résister et décida de ne plus regarder d’hommes de toute la soirée.
Paco lui n’avait pas détaché son regard de Julia, il repoussa plusieurs prétendantes à la chambre Eiffel au cours de la soirée y compris cette jolie brune qui l’entrepris en lui montrant ses tatouages sur les cuisses en écartant sa robe fendue. Il devait savoir. Oui ou non Julia portait-elle un soutien gorge et sinon comment était ses seins. Il avait essayé de l’observer d’en haut pour avoir une vue plongeante, il avait essayer le classique angle de vue de coté, attendu qu’elle se penche mais rien, aucun indice. Pour respecter sa promesse, il pris la décision de rapidement organiser une autre soirée puis il pensa : « j’ai simplement promis que je ne cèderai pas aux avances mais si c’est moi qui propose j’ai tenu ma promesse ». Ravi de se raisonnement fallacieux, il pris la décision d’aller aborder Julia.
Julia discutait avec ses amies et aperçu derrière les épaules de l’une d’elle, Paco qui la fixait d’un regard de braise ou plus exactement il fixait son décolleté. « J’ai compris » se dit Julia. Echappant un instant au regard de Paco, elle se retrouva derrière lui et lui souffla à l’oreille :
« Non, la réponse à votre question est non ».
Surpris Paco se retourna et vit Julia dans sa magnifique robe verte et qui le fixait avec un regard d’assurance.
Il voulu lui rendre ce regard mais ne réussi à balbutier « ah heu je voulais juste vous offrir un verre »
« Mais vous n’avez fait que cela toute la soirée Monsieur Paco » répliqua Julia d’un ton plutôt sec avec un sourire invisible
Paco se senti mal à l’aise, « m’a-t-elle vu la fixer ? »
« J’ai pourtant été discret » essaya-t-il de se justifier maladroitement
« Discret à offrir des verres pour une soirée chez vous ? » demanda Julia qui sentait qu’elle prenait le dessus de la conversation
Ouf, elle parle de cela souffla Paco, « La formulation est maladroite mais je souhaitais simplement discuter avec vous »
« Alors, susurra Julia, je répète la réponse à votre question est non ».
Le ton était tellement érotique que Paco ne compris pas vraiment jusqu’à ce que Julia tire discrètement sur le haut de son décolleté laissant entrevoir un sein magnifique de taille et de fermeté.
« Je ne porte pas de soutien-gorge » lui souffla Julia à l’oreille, « c’est cela qui vous a intrigué toute la soirée jusqu’à n’en plus pouvoir et venir m’aborder pour vous en assurer ».
Paco lui demanda si elle était magicienne
« Magicienne, non mais j’ai plusieurs fois été qualifiée de magique et même plusieurs fois dans la même nuit…» souri Julia qui venait à l’instant de casser sa promesse du soir.
Paco ne trouva rien d’intelligent à dire à ce moment mais bien qu’il n’avait encore touché sa peau qui paraissait si douce, il commença à bander, sa voix était tellement sexuelle.
« Que se passe-t-il Monsieur Paco » demanda Julia d’une voix coquine
« Je vous trouble ? « Je remarque également que vous non plus vous n’en n’avez pas » observa-t-elle.
« Pas de quoi ? »Demanda innocemment Paco
« De soutien-gorge » et à ces mots, Julia se rapprocha pour glisser une main à travers la chemise de Paco et lui caressa le torse tout en en laissant chacun de ses doigts effleurés le téton droit du milliardaire.
Cela provoqua instantanément une énorme érection chez Paco qu’il avait du mal à cacher à travers son jean.
« Et si vous m’embrassiez maintenant » suggéra Julia, « peut être que nos poitrines se toucherai et je pourrai enfin sentir ce qu’il se passe dans votre entrejambe et qui semble vous gêner»
Paco pris donc doucement le visage de Julia avec ses deux mains et l’embrassa avec douceur presque amoureusement. Il resta coller à sa bouche pendant un moment qui lui semblait durer infiniment.
Quand Julia se retira, elle pris Paco par la main et le conduit jusqu’à la terrasse un peu plus à l’abri des regards. Ils continuèrent de s’embrasser lascivement et Julia se tortillait de plaisir jouant avec l’érection à travers le jean de Paco mais aussi pour caresser tout le corps de Paco de ses seins gonflés de plaisir.
A un moment Paco senti sous ses pieds comme un mouchoir, il se baissa pour le ramasser et lorsqu’il se releva Julia lui prit immédiatement l’objet des mains. Elle le glissa dans la poche arrière de Paco lui permettant ainsi de toucher ses fesses bien fermes.
« C’est ma culotte, je crois que j’en aurais plus besoin ce soir » murmura Julia
C’était le signal, Paco ne tenait plus, il attrapa Julia et après l’avoir embrassé bien plus fougueusement la tira par la main vers l’escalier qui donnait à la fameuse chambre Eiffel.
Lorsque Paco ouvrit la porte, la vue était sublime mais Julia ne s’y intéressa pas, elle avait repéré une alcôve dans le dressing tout en cuir capitonné. La banquette était recouverte d’un léger plaid en soie.
« C’est ici que tu t’habilles » demanda-t-elle ?
« Oui »
« Alors, c’est ici que tu vas te déshabiller tout de suite »
Paco obéit rapidement et une fois nu debout devant elle assise sur la banquette du dressing il commença à retirer la robe de ses épaules pour laisser apparaître les superbes seins de Julia qu’il avait fantasmé toute la soirée. Il ne réussi qu’à dénuder une épaule et un sein lorsque Julia commença à lui prendre la bite et commença à le sucer lentement.
Des tremblements lui parcoururent tout le corps et Paco cru qu’il allait jouir immédiatement. Mais Julia était magique (elle l’avait prévenue) et tout en le suçant de plus en plus profondément, elle jouait avec ses couilles en les pressant avec une telle douceur, on aurait dit qu’elle maitrisait l’orgasme et que c’était elle qui décidait quand il fallait jouir.
Au bout de quelques minutes, n’en tenant plus, Paco s’écarta, il releva Julia d’un geste rapide et enfin lui fit tomber l’autre bretelle de la robe, il se recula de deux pas pour admirer les deux magnifiques nibards qui se dressaient devant lui. Ils étaient parfaitement proportionnés et d’une si grande douceur. Il ne put faire autrement que plonger sa tête dedans et commença à lécher toute cette poitrine en les pressant presque trop fort.
Il profita de cette position pour glisser une main sous sa robe pour lui caresser les fesses qu’il sentait toutes aussi généreuses. Bien lui en a pris, elles étaient si douces et si moelleuses qu’il ne résista pas à les accrocher de sa poigne ferme. Julia poussa des miaulements de plaisir, le moment était si intense qu’elle voulait que cet homme nu la pénètre immédiatement et qu’elle sente son bassin contre ses fesses.
Mais Paco pris son temps, remis de l’extraordinaire pipe que venait de lui offrir Julia c’était son tour de l’asseoir sur la banquette. Après avoir commencé à lui caresser la chatte avec ses doigts en passant toujours sous la robe par devant et par derrière, il l’asseyait sur la banquette et s’agenouilla devant elle. Après avoir embrassé chacune de ses cuisses juste en haut des bas il commença à la lécher doucement mais vigoureusement. Julia, peut être pour la première fois de la soirée perdait le contrôle, ses gémissements étaient de plus en plus intense et chaque fois que Paco la masturbait en plus de la lécher elle jouissait plus fort.
Lorsque Paco la retourna pour la mettre à genoux sur le canapé, elle se laissa complétement à sa merci. Au moment où Paco introduisait son sexe qu’il avait en érection depuis plus d’une heure maintenant, dans son vagin, Julia sut qu’elle avait bien fait d’oublier sa promesse. C’était comme elle avait imaginé, elle sentait tout, et Paco la pénétrait avec force faisant remonter ses fesses avec les cuisses. Il remontait de temps en temps la robe pour observer Julia de dos, il voyait ses seins bouger dans tous les sens et fut vraiment subjugué par la beauté et l’abandon total que lui offrait l’inconnue à la robe verte. Il n’avait jamais ressenti cela avant mais il fut brusquement interrompu dans ces pensés par Julia qui lui criait « encore, encore, vas-y ! » Ces encouragements réussirent à lui rendre la bite encore plus dure et il pénétra encore plus fort et plus vite Julia qui hurlait de plaisir. Après plusieurs minutes sur ce rythme effréné, Paco sut qu’il allait jouir, il releva une dernière fois la robe de Julia et lui assena deux claques sur chaque fesse.
Julia se retourna instantanément et lui souri « merci, merci, j’ai joui ! ». Paco resta une fraction de seconde immobile et Julia en profita pour lui prendre à nouveau la bite en bouche et le suça vigoureusement. Ca y est Paco allait jouir, elle s’arrêta, se recula sur le dossier de la banquette et pris ses deux seins entre ses mains pour signifier à Paco que c’était là qu’il devait viser. Paco pris donc sa bite à la main et une seconde plus tard, il réussi à jouir dans les magiques seins de Julia dans un cri bestial. Julia souriait toujours et lui aussi.
Après avoir proposé à Julia de passer le reste de la nuit dans sa chambre, Paco s’entendit répondre : « Non pas ce soir », il éclata de rire et expliqua qu’il s’était promis de ne pas céder ce soir avec ces mêmes mots « Pas ce soir ». Julia sourit à son tour et raconta qu’elle aussi avait prononcé ces mots « pas ce soir » à voix haute.
Alors lui indiqua Paco, « si tu n’as pas tenu, comme moi, ta promesse, tu peux rester dormir là ».
Touchée, elle reposa ses affaires et s’installa sur le bord du lit en demandant « Va-t-on seulement dormir ? »
« Pas ce soir » lui répondit avec amusement Paco en l’entrainant sous la couette.
Fin