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« La fille du train » (3/3)

Petit train sur femme allongée

Petit train sur femme allongée

Si mon cœur avait été placé sous électrocardiogramme à cet instant précis, je pense sincèrement que la tachycardie aurait été diagnostiquée et c’est rouge pivoine que je me tassais dans mon siège, cherchant à tout prix à éviter son regard. Je restais néanmoins attentif à toute réaction d’une véhémence on ne peut plus légitime, mais aussi étrange que cela puisse paraître elle n’en fit rien. En me risquant à tourner la tête dans sa direction, je pu constater avec soulagement qu’elle était restée de marbre, arborant même un sourire que je ne su comment interpréter

Je ne mis pas longtemps à comprendre ses intentions quand je la vis se lever et regarder autour d’elle, s’assurant que les autres voyageurs étaient plongés dans leur lecture, discussion, ou autres divertissements auxquels nous astreignent les transports en commun. Elle se rassis alors et pivota vers moi, dégageant sa gorge du foulard devenu gênant, m’offrant pleine vue sur sa poitrine menue mais d’un tel érotisme ainsi enveloppée dans ce haut clair qui laissaient clairement percevoir les prémices d’une excitation que j’étais à cent milles lieux de soupçonner.

Ne me quittant pas du regard, ce regard perçant dans lequel je pouvais deviner tout son désir, elle saisit ma main tremblante et la porta à son sein. Intimidé par autant d’audace de sa part,  elle qui n’était qu’un fantasme il y a encore quelques heures, je restai là, interdit, mais dans un état d’excitation comme rarement atteint. Elle ferma alors les yeux pour apprécier la pression qu’exerçait le bout de mes doigts sur ce téton émoustillé et m’encouragea à donner davantage de profondeur à mon pelotage apparemment trop timide à son goût. Je crois que c’est dans cette situation qui m’échappait totalement que je pris réellement conscience de ma gaucherie et décidait d’y remédier en laissant ressortir toute la fougue contenue ces longs mois durant à l’épier avec une discrétion toute relative.

J’entrepris alors de dégager ma main de son étreinte infantilisante et de la passer sous son top, à la recherche de ce sein, de ses seins que j’imaginais tendres et fermes à la fois. Le contact de la peau chaude et un tantinet moite de son ventre me rendit fou de désir et oubliant toute notion de bienséance, je la fis se placer de manière à pouvoir remonter son haut, et me retrouva face à une paire de seins des plus parfaits qu’il m’ait été donné de voir, un galbe et une rondeur exceptionnelle, surmontés par deux petites pointes roses qui ne demandaient qu’à être agacées, titillées, léchées par ma langue agile. C’est ce que je m’empressais de faire en les prenant entre mes lèvres, l’un, puis l’autre, tout en la maintenant fermement à la taille. Je crois qu’elle fut surprise de cet assaut assez inattendu il est vrai, mais finalement plutôt satisfaite de constater que je prenais enfin les choses en main.

De son coté elle ne resta pas inactive, loin de là. Le sourire mutin sur ses lèvres était révélateur d’envies fortement coquines. Pendant que ma langue flattait ses deux petites merveilles, sa main gauche fila directement dans les recoins les plus intimes de mon anatomie pour venir constater avec satisfaction que la queue dont elle « mourrait d’envie » me dira-t-elle plus tard, avait pris des proportions en adéquation parfaite avec ses projets libidineux. C’est avec une agilité hors paire, qu’elle fit sauter un à un les boutons de mon jean et glissa sa main dans l’interstice pour venir rencontrer l’objet de tous ses désirs… Elle commença à me masturber par dessus mon boxer, quelques vas et viens… Mes premiers vas et viens… C’était la première fois qu’une fille s’appropriait mon sexe. Gênée par la présence du tissu, elle saisit l’élastique de mon boxer et le baissa jusqu’à le caler en dessous de mes bourses… Ca y est, ce que je n’aurais jamais pensé possible il y a encore une heure était arrivé. Il était 9h27, un jeudi matin, dans ce wagon presque bondé et j’allais me faire branler par… par « la fille du train ».

Elle se saisit alors de ma verge et la fit coulisser de haut en bas, faisant perler le bout de mon gland, tout en déposant de courts baisers dans mon cou. Après quelques minutes de ce traitement c’en était déjà presque trop pour moi qui commençais à ressentir le picotement symptomatique de l’orgasme masculin humide chaud et… salé. C’est ce qu’en fine connaisseuse elle a également du ressentir car quasi instantanément elle relâcha prise et se pencha pour embrasser le ventre qu’elle venait de découvrir. Des baisers entrecoupés par des coups de langues, sur mon nombril et la peau bien tendue de mon ventre. L’inévitable arriva, mon sexe turgescent vint toucher la douceur de sa joue rosie par l’excitation et c’est à ce moment précis qu’elle tourna le regard vers moi, me jetant un regard des plus espiègle. Elle se retourna alors vers ma queue tendue et sans sommation, lécha la pointe de mon gland violacé, une fois, puis deux, jusqu’à le gober du bout des lèvres… Je pouvais sentir toute la délectation avec laquelle elle accomplissait ce geste et m’abandonnais totalement à cette caresse buccale. Aidée de ses doigts fins, elle me masturbait en même temps, au rythme de ses coups de langue qui petit à petit devinrent de plus en plus précis et se concentraient sur l’arrière de ma queue plus que raide jusqu’à la gober, que dis-je, l’avaler presque entièrement. C’était simplement divin et cette fois je ne pu réprimer la sève qui montait, elle s’en rendit compte et se dégagea au dernier moment. De longs filets de substance blanche vinrent se déposer sur mon ventre, dans la petite cavité de mon nombril et sur sa main. Loin d’être écoeurée, la belle revint donner un dernier coup de langue sur la fente de mon gland, récoltant au passage un peu de ma semence chaude.

Le moment de rouvrir les yeux a également été le moment de la prise de conscience, prendre conscience que je venais de vivre ma première expérience sexuelle loin de tous les standards établis, et c’est sans un mot, qu’elle rajusta son top, renoua tranquillement le foulard autour de son cou et m’adressait un dernier sourire avant de se diriger vers le fourmillement ambiant qu’accompagne l’arrivée en gare du train.

et pour celles et ceux qui les auraient manquées, vous pouvez lire ou relire les premières parties, ici : 

« La fille du train » (1/3)
« La fille du train » (2/3)


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