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En toute intimité

Nous étions invité chez des connaissances de ses parents pour un repas. Il m’avait demandé de venir car il craignait de s’ennuyer. Ses parents savaient juste de moi que j’étais une amie de longue date … Sans pour autant qu’ils m’aient vus ne serait-ce qu’une fois. Ce n’était pas un mensonge, mais le fond de l’histoire Dayan et moi la connaissions.
J’avais acheté des vêtements pour l’occasion, une belle robe bleue nuit à dentelle que j’avais vu à printemps. Chaussures assortis.

Il me trouvait très séduisante dans cette robe et je dois dire que je le cherchais un peu.
Ce repas était l’un de ces repas de richard fracassant. Épuisant. Inutile. On se regardait un instant mais nous n’osions ni parler ni rire comme nous l’entendions. Alors que le repas venait à peine de commencer.

Les heures passaient et nous avions finalement trouvé un jeu. L’ambiance autour de la table etait plus détendu, certainement dû aux bouteilles de vin qui allaient et venaient sur la table. Il cherchait mon regard tout le long du repas. Il avait trouvé une manière de le capter : en riant, en me regardant comme si j’étais sa proie, son dessert, à sa manière de manger, de lécher sa cuillère… Et moi ? Je ne faisais qu’admirer sa désinvolture, sa fougue. J’étais rouge de honte. Non, en réalité, je n’avais pas honte. J’étais flattée. Non, pour être honnête j’étais très excitée. Chaque fois que l’on s’adressait à moi, Dayan me caressait la jambe, une manière à lui de jouer avec moi. je complimentais alors cette personne qui daignait me donner un peu d’importance autour de la table, pour qu’elle revienne à parler de sa personne et ignorer ma présence. Dayan me caressait toujours la jambe avec son pied. Je voulais alors le dévorer avec une telle envie.

Personne ne semblait s’être aperçu de notre petit jeu. L’alcool en est pour beaucoup dans cette histoire.
Alors que Dayan servait un verre de vin à mon voisin, mon voisin lâcha son verre sur la table qui se renversa. Le vin atterri sur ma serviette puis sur ma robe. Je me levai aussitôt et épongea avec une serviette ce qu’il y avait sur la table et le vin qui dégoulinait le long de ma jambe. Je sortis de la table, sans demander ou était la sdb. J’entends des pas derrière moi « attends! », Dayan. « Tu ne sais même pas où est la sdb, je vais te montrer… » Nous discutames des taches inéluctables du vin sur les vêtements. Puis on a dérivé sur le fait que ce repas était ennuyant à mourir… J’essayais de le faire un peu relativiser car visiblement il semblait très blasé par la situation. Nous ne nous dîmes plus un mot jusqu’à arriver à la porte de la salle de bain. Il m’attendait derrière la porte alors que je retirai mon collant et le mis à la poubelle. Je me lavai les cuisses et sorti de la sdb ou m’attendait Dayan.

Il me sourit et nous partions vers en direction de la salle à manger, vers la table des supplices. Il s’arrêta un instant et tourna la tête vers moi puis me demanda alors si je voulais visiter la maison avant de repartir dîner. J’acceptai volontiers. Il me sourit et me prit par la taille pour me faire pivoter de l’autre côté du couloir. Il garda bien posée sa main sur ma taille. Je souris. Nous rentrames dans le bureau du propriétaire de la maison. Très belle pièce. Il referma la porte derrière lui, délicatement. Je regardai les livres dans la bibliothèque. J’entendis la porte se verrouiller. Ses pas se rapprochaient de moi, et alors, enfin, je sentais les bras de Dayan s’enrouler autour de moi. Je pris une inspiration. Sa tête était au creux de mon cou et il me murmura au creux de l’oreille « j’ai penser à être seul un instant avec toi toute la soirée… – alors c’était volontaire le vin ? – Oui et non …

Disons que xxxx est maladroit lorsqu’il est saoul et cela, je le savais trop bien. » Il frôlait ses lèvres contre l’arrête du cartilage de mon oreille en disant ces mots. Je sentis un frisson parcourir mon corps. Il déposa ensuite un doux baiser dans mon cou, puis un autre, je me sentais fondre à chacun d’eux. Je tenais ses bras qui me tenaient contre lui et balançai ma tête contre son épaule puis sur l’autre. Je serai mes jambes l’une contre elle. « Laisse-moi faire… » me murmura-t-il. Son étreinte se relâcha et ses mains finirent par parcourir mon corps, caressant mes bras, ma taille, mon ventre, mes cuisses, mes fesses. Ses baisers étaient brûlant, son souffle chatouillait ma nuque, balayait mes cheveux. Je me retournai vers lui et pour la première fois nos lèvres se touchèrent. C’était exquis, doux, savoureux. Je le laissai me dévorer goulûment. L’envie que j’avais pour lui montais en moi et il me dit « nous n’avons que qqs mins avant de susciter l’inquiétude autour de la table. – qu’est-ce que tu attends pour me déshabiller ? » Ni une ni deux, il me souleva et me posa sur le bureau alors je m’aggripai à son cou. Il m’allongea sur le bureau et rapprocha mon bassin vers son bassin. Il releva ma robe et caressa mon sexe recouvert du tissus qui me servait de dessous. Il le regardait comme s’il avait de mauvaises pensées. Il m’embrassa l’intérieur des cuisses alors que ses doigts me caressaient. Sa manière de me regarder, cette précipitation me donnait des idées folles.

J’ai rarement été autant excitée. Quand bien même il ne m’avait jamais vu nue. Il se pencha sur moi et m’embrassa à nouveau alors que ses doigts se baladaient sur mon corps. Je me mordais les lèvres de plaisir, et je n’avais qu’une envie c’était de lui rendre la pareille. Il glissa ses doigts sous ma culotte humide tout en me regardant dans les yeux, il caressa d’abord mon pubis puis effleura mes lèvres plus basses.. Il jeta un œil à ce qu’il faisait et nota que ses doigts étaient imbibé de mon excitation. Il me sourit avec perversité, je lui rendus. Il se releva et caressa le tissu qui cachait toujours mon sexe au niveau de mon clitoris. Il l’avait deviner. Mon bassin ondulait sous ses doigts. Je voulais le sentir davantage me découvrir, me titiller, jouer avec mon corps. Il se décida enfin à retirer ma culotte et il l’a plongé dans la poche de sa veste. Il s’agenouilla devant moi, sa tete au niveau de mon sexe et il saisit mes cuisses pour ramener mon sexe à sa bouche. Il posa ses lèvres sur les miennes et m’embrassait divinement. Mes cuisses posées sur ses épaules, je serrais ses mains dans les siennes. Sans même le croire, il me fit devenir folle. Je m’aggripai au bureau alors que je sentais sa langue passer autour de mon bouton rose et gonflée. Je ne pouvais plus rien faire, j’étais comme impuissante face à ce qu’il provoquait en moi. Je ne pouvais pas lui dire que c’était bon, que ça me faisait du bien, par pudeur. Alors je gémissais en évitant au maximum d’être entendu.

Sa main vint vers ma poitrine, il pétrit alors mes seins alors prisonniers de cette robe. Il me pinça les tétons au travers du tissus. Je lâchai un soupir, puis des gémissements… Mon bassin bougeait tout seul sous ses assauts de langue. Et lorsque je sentis que ca venait, je me mordis le bras pour étouffer mes cris. Que c’est bon. J’ouvrais les yeux, je revenais sur terre. Il m’embrassa maintenant le sexe me provocant des spasmes. À chaque baisé, une décharge électrique me parcourait. Il se pencha vers moi et me chuchota : « la prochaine fois, c’est ton tour ». Il parti du bureau me laissant à moitié consciente sur ce bureau.

En ajustant ma tenue, j’ai alors réalisé qu’il était parti avec ma culotte dans la poche de sa veste.


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