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Une surprise inattendue

Il était tard, je rentrais chez moi après une longue journée de travail. Alors que je reposais les clés sur le bar de la cuisine, j’entendis ta voix suave provenant de la chambre. Tu m’attendais, nue sur le lit. Une cigarette fumait entre tes doigts et ton regard était fixé sur moi. Un sourire s’esquissait sur ton visage. Tu tirais sur ta cigarette tout en écartant lentement les cuisses, me laissant voir ta chatte poilue ruisselant de désir. Tu passas délicatement tes doigts sur ton clito, tu frémis un instant. Je restais sur le seuil de la porte, observant ce corps parfait comme un tableau merveilleux. Tu poursuivais ton jeu, fumant et te touchant délicatement sans me quitter du regard. Tu écrasas ta cigarette et m’invitas à approcher en te mordant les lèvres. Je m’approchais déjà dur de désir, je laissais tomber ma veste et m’asseyais sur le bord du lit. Je commençais à caresser ton pied le plus proche.

Tu te retirais avec un sourire malicieux et approcha ton pied de mon visage, je le suças délicatement, caressant ta jambe douce comme du satin. Me rapprochant de ta chatte, tu passas soudainement ton pied derrière mon cou et m’attiras jusqu’à ta chatte humide. Je léchas avidement cette fontaine de plaisir, ton odeur m’enivrât… Tu enfermas ma tête entre tes jambes croisées, ton corps se tortillant de plaisir sous ma langue, tes gémissements se firent plus fort, ta respiration haletante s’accélérât, la pression de tes jambes se faisait plus forte. Tu empoignas mes cheveux, plaquant un peu plus mon visage sur ton intimité brûlante…

Ton corps frémit, se courbât, il semblait hors de contrôle. Mes mains caressèrent ton ventre, attrapant ta touffe je tiras fermement découvrant ton clitoris que ma langue, précise, titillât. Je remontais vers tes seins fermes. Je les malaxais sans ménagement. J’entrepris de m’attarder sur tes tétons, les massant, les tirant, prenant à pleine main ta poitrine altière. Ma langue entra dans ta chatte, la pénétrant aussi profondément que possible. Je m’abreuvais de ton jus d’amour, J’avais du mal à reprendre mon souffle sous ton étreinte, ton jus coulait sur mon visage et ma langue passait avec ardeur de ton clitoris à ta vulve dégoulinante je fouillais avec ardeur ton intimité. Tes jambes tremblaient, ton corps se tortillait dans tous les sens. L’excitation était à son paroxysme. D’un coup, tu relâchas la pression, tu ne voulais pas jouir tout de suite.Tu tiras mon visage vers le tien. Nos lèvres se trouvèrent dans un baiser passionné. Nos langues s’entrelacèrent, tu arrachas ma chemise, faisant sauter les boutons, nos corps se collèrent, se frottèrent, peau contre peau. La tienne était chaude et humide de sueur. Tu entrepris de m’embrasser dans cou, tu titillas mes tétons avec ta langue. Tes mains s’évertuaient à déboutonner mon pantalon. Tu arrivas vite à tes fins, laissant jaillir ma bite raide et pleine de désir. Tout en continuant notre baiser fougueux, ta main caressa lentement ma queue, tandis que l’autre parcourait mon torse. Mes mains n’étaient pas inactives, caressant tes seins et l’autre fouillant ton entre-jambe brûlant. Tu me plaquas violemment sur le lit, allongé sur le dos. Tu enlevas mon pantalon et sans attendre je me retrouvais nu. Ton regard satisfait se posa sur moi. Tu avais pris les choses en main et ce n’était pas pour me déplaire…

Tu t’asseyais sur mon visage, tu voulais que ma langue continue. Tu pris en main ma bite entamant un lent va et viens, la décalottant. Tu te penchas et titillas ma queue avec ta langue experte. Je poussais un gémissement. Tu la pris en bouche, l’avalant toute entière, ta main massait délicatement mes boules, l’autre accompagnait ta bouche le long de ma queue dressée. La sensation était si agréable que je cessais un instant de lécher ta chatte, distrait par le plaisir intense que tu me donnais. Tu accéléras les mouvements de ta bouche, tu me suçais si goulûment que de la bave s’écoulait de ta bouche, tu crachas dessus, branlant de plus belle ma queue. Je devins fou de plaisir, envahis par ces sensations intenses.

Tu forças ma bouche à continuer en renforçant ton assise, ton bassin ondula, frottant ta chatte sur mon visage. Tu fis en sorte que ton petit trou se retrouve sur ma bouche. Ma langue fit des cercles appuyés sur ta rondelle, humidifiant la zone. Elle pénétra lentement ce charmant orifice, je continuai à faire des cercles tout en te pénétrant lentement avec ma langue ferme. Tu te releva, abandonnant un instant ma queue. Tu tortilla ton cul sur mon visage, accentuant la pression de ma langue dans ton trou.Tu te léchas les doigts et écartant mes cuisses, tu massas fermement mon petit trou. Tu branlas ma bite encore plus fort, la suça dans des aller-retour rapides et précis, un de tes doigts pénétra mon intimité. Je ne pouvais m’empêcher de gémir. Tu fis des va et viens avec ton bassin sur mon visage, frottant ta chatte sur ma barbe, ma bouche, mon nez. Tu te relevas d’un coup abandonnant tes occupations pour te concentrer sur le plaisir que tu prenais. Tu resserras tes cuisses sur ma tête et m’ordonnas: «N’arrête pas!». Ma langue était idéalement positionnée et s’activait sur ton clito gonflé. Tu mis tes mains sur ma poitrine, cherchant un appui pour ne pas chavirer. Ta respiration était irrégulière, tu avais le souffle coupé. Ton corps tout entier tremblait sous mes coups de langues. Mes mains entourait ta taille fermement, maintenant ta position. Tout ton corps tressaillit brusquement, un long râle s’échappa de ta bouche. Tu t’écroulas sur moi, tu avais jouis pour la première fois ce soir…

Tu reprenais ton souffle, tes jambes continuaient à être secouées de petits spasmes. Je me délectais de la vision de ta chatte à quelques centimètres de mon visage, mes mains caressèrent délicatement tes fesses, tes cuisses, elles allaient et venaient sur ta peau de satin. Tu pris ma bite en main, la branlant doucement, ta respiration se faisait plus régulière, tu ne voulais pas en rester là. Sans lâcher ma queue tu te relevas et pivotas pour te positionner entre mes cuisses. Tu me réclamas t’huile qui se trouvait sur la table de nuit. Je te passais le flacon et tu en fis couler sur ta poitrine. Tu oins sensuellement tes seins fermes, ton ventre, les poils de ta chatte luisaient. Je voulu t’aider mais tu frappa ma main qui approchait de ta poitrine. Tu voulais garder le contrôle, ton regard était empli d’une autorité vicieuse. Tu te penchas sur moi, m’embrassas à pleine bouche, passionnément. Tu effleuras de tes seins ma poitrine, ne me quittant pas des yeux, tu fis un ballet hypnotisant, tes tétons étaient durs et la sensation merveilleuse. Tu te fis plus pressante, mordillant mes tétons, faisant courir ta langue sur mon torse. Tu descendis lentement vers ma queue, tu la branlas, la léchas. Tu repris le flacon d’huile et en déversa à nouveau sur tes seins, tu fis couler un jet d’huile sur ma queue. Tu étalas l’huile sur ma bite, te penchas et la mis entre tes seins.

Tu fis glisser ma queue entre tes seins fermes, faisant bouger ton corps dans ce va et viens lancinant. Je gémissais de plaisir, basculant la tête en arrière. Mon corps tout entier frissonnait et se tortillait sous ton étreinte. La douceur associée à la fermeté de tes seins décuplait mon plaisir. Tes yeux fixaient intensément les miens, ton sourire exprimait une grande satisfaction. Tu relâchas l’étreinte de tes seins et t’approchas de mon visage pour un fougueux baiser. Ta main attrapât ma bite que tu tapotas sur ton ventre couvert d’huile, tu la frottas contre toi la branlant délicatement. Je devenais fou, envahi par un plaisir immense. Nos bouches ne se quittaient pas, nos respirations haletantes témoignaient d’un désir intense. Mes mains parcouraient ton corps ,tes fesses, ton bassin. Tu te releva avec une idée précise en tête. Tu repris le flacon d’huile en en versa à nouveau sur ma bite et non bas-ventre. Tu plaquas ma queue sur mon ventre. Tu plaças ta chatte humide sur ma queue et sans pénétration tu commenças à me branler avec des aller-retour langoureux, tu faisais glisser ta chatte sur ma bite d’abord lentement, tu accélérais par instant. Je n’aurai put imaginer un tel plaisir m’envahir. Ne tenant plus je t’annonçais:«Je vais jouir!». Manifestement satisfaite de toi-même, tu accéléras de plus belle tes mouvements bien décidée à faire jaillir mon foutre.

Cela ne tarda pas et dans une ultime convulsion je jouissais pour la première fois ce soir…
Tu t’allongeas sur moi, j’avais du mal à reprendre mon souffle. Ton corps était toujours couvert d’huile et ta peau glissait sur la mienne. Nous nous embrassions fougueusement. Tu te frottais à moi langoureusement. Tu jouais à étaler mon sperme entre nos ventres. Tu finis par te relever et attrapas une serviette. Tu essuyas rapidement nos corps couverts de foutre. Tu t’allongeas contre moi, corps contre corps. Tu caressais mon torse, m’embrassais dans le cou. Je passais mes mains sur ton dos, tes fesses. Nous savourions cet instant de tendresse. Nous restions comme ça de longues minutes quand nos caresses se firent de plus en plus insistantes, nos gestes plus appuyés. Ta main descendais maintenant jusqu’à ma bite, tu passais doucement dessus, remontait vers mon cou pour ensuite redescendre. Ma queue commença à se relever. Mes mains parcouraient ton corps, je m’attardais sur tes seins, je titillais tes tétons. Je descendis jusqu’à ta chatte chaude et dégoulinante. Je massais ton clitoris. Nos respirations s’accélérèrent, devenant haletante. Tu bougeais pour que mes doigts soient en position idéale pour te pénétrer. Tu avais pris ma bite en main et tu ne la lâchais plus. Tu me branlas jusqu’à ce qu’elle devienne bien dure. N’y tenant plus tu te relevas et t’empalas vigoureusement sur ma bite. Un long râle s’échappa de chacun de nous.

Quelle sensation délicieuse. Je sentais la douceur, l’humidité et la chaleur de ta petit chatte. Tu te sentais rempli par ma bite, sa dureté te faisait gémir. Nous échangèrent un sourire plein de joie et de désir. Tu te penchais pour m’embrasser. Au moment où nos bouches se touchèrent, tu entamas un violent va et viens sur ma bite. Je poussais un cri étouffé par ta langue fouillant ma bouche. Tes yeux verts brillaient de mille feux. Tu me mordis la lèvre et te relevas tout en continuant tes mouvements. Tu chevauchas avec intensité durant de longues minutes, tenant tes cheveux au dessus de ta tête par instant, tirant sur les poils de mon torse à d’autres. Je prenais tes seins en main, les malaxant fermement. Je tirais sur tes tétons ce qui te fis pousser un petit cri de plaisir et un sourire satisfait se dessina sur ton visage. Je claquais tes seins à plusieurs reprises. Les frottements de ma bite sur ta chatte étaient un délice. Tu te levas légèrement pour caler tes pieds contre mes fesses. J’en profitais pour accélérer le mouvement, t’assénant de violents et rapides coups de bites. Tu poussas un cri satisfait. Tu t’empalas de plus belle et te relevais rapidement. Tu faisais presque sortir ma bite à chaque fois que tu te relevais, mais tu ne voulais laisser échapper ta proie.
Les sensations étaient indescriptibles de plaisir. Nos corps étaient en sueur, elle coulait sur ton front, entre tes seins, sur ton ventre… La vue de ton corps en action était idyllique. Une ode au sexe.

Ta respiration était rapide, intense. Je titillais ton clito. Tu ondulas sur moi, faisant tourner ton bassin sur ma bite. Je me releva, t’attrapa par le cou et t’embrassa fougueusement. Tu fis basculer tes pieds derrière mon dos, m’enserrant le bassin. Nous bougions à l’unisson faisant glisser ta chatte sur ma bite à un rythme effréné. Je nous basculais au bord du lit. J’avais les pieds par terre et tu continuais à serrer mon bassin de tes jambes. Je tentais de me lever mais je basculais en arrière. Un éclat de rire nous pris. Tu desserras l’étau de tes jambes, je pris tes jambes par dessous et me levais. Je titubais quelque peu. Ma bite n’avait pas quitté ta chatte, un vrai miracle. Je te plaquais contre le mur et commençais des va et viens rapides et violents. Nos regards ne se quittaient pas, l’intensité était à son paroxysme. Les murs tremblaient sous mes coups de bite. Un mouvement trop ambitieux sorti ma bite de ta chatte. Je la pris en main et frottât mon gland un instant sur ton petit trou du cul. Tu me fis un oui de la tête et te mordis les lèvres. Ma bite était déjà lubrifiée de ton jus, j’entrais lentement, centimètre par centimètre. Tu poussais de petits gémissements, soufflant plus fort. Je commençais à aller et venir dans ton cul si étroit, si chaud. Tu commenças à te masturber le clito, gémissant de plus belle. Durant les minutes qui suivirent nous poussâmes des cris de plaisir, des gémissements, les murs tremblaient de plus en plus. Je ressortis ma bite de ton cul et te reposas sur le lit. Tu suças goulûment ma bite, crachant dessus et la branlant fortement. J’étais au paradis… Je te relevais et t’embrassais fougueusement. Tu t’allongeas sur le dos et écartas bien grand les jambes.

Je me jetais sur ta chatte et ton cul, léchant avidement ton intimité. Ton jus était exquis, je m’en délectais. Je me relevas et admira ton corps plein de désir. Tu masturbais ton clito avec vigueur, ton regard ne disait qu’une chose: baise moi, finis moi! Je me penchais sur toi et pénétra ta chatte. Je relevai tes jambes, passant mes bras dessous pour prendre appui sur le lit. La baise était intense, brutale. Je pris ton pied en bouche, le léchant, le suçant avidement. Nous restâmes ainsi quelques minutes… Tu continuais à masturber ton clito, fortement, intensément. Tu serras tes jambes autour de ma taille et tu me plaquas au fond de toi. A ce rythme là je n’allais pas tenir bien longtemps… C’est le moment que tu choisis pour me dire: «N’arrête pas! Je vais jouir!!!» ; «Oh moi aussi!» te répondis-je ; «Viens en moi, oui, jouis en moi». J’accélérai le mouvement, je sentis ta chatte se contracter soudainement. Je ne pût m’empêcher de jouir, intensément. Tu poussas un cri, Ton corps aussi venait de jouir, ton corps tremblait de plaisir. JE restais un moment en toi, t’embrassant passionnément. Je m’écroulais près de toi, épuisé.

Nous avions du mal à retrouver notre respiration. Nos regards se trouvèrent et un rire complice s’échappa de nous. Nous nous prîmes dans les bras, nous serrant fort. Nous restions blottis l’un contre l’autre, nos peaux collées durant de longues minutes. Finalement, nous nous endormîmes comblés…
Fin


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