« Attention, attention le train couchette THELLO à destination de VENISE va rentrer en gare quai numéro 4, veuillez reculer de la bordure du quai ». Il est 21h50, le train s’immobilise en gare de DIJON et nous montons à bord du wagon couchette. J’ai réservé une cabine PREMIUM pour deux avec douche, nous sommes accueillis par l’accompagnateur de la compagnie qui nous offre deux petites coupes de champagne en guise de Bienvenue. Tes yeux pétillent et tu es très excité, moi aussi. Le train démarre, une annonce sonore nous signale que jusqu’à MILAN où nous arriverons à 6h00 demain matin, il ne s’arrêtera plus, notre histoire commence …
Un verre à la main, mon torse est collé à ton dos et ma main serre ton ventre, nous regardons défiler la campagne BOURGUIGNONE par la fenêtre. Tu frottes tes fesses sur mon sexe qui commence à se raidir et à durcir. Tu le ressens et tu en profites en prenant ma main pour la poser sur ton sein gauche et m’inviter à te caresser. Mes doigts trouvent le chemin laissé volontairement libre pour accéder à tes dessous. Je frôle les coutures de tes sous-vêtements, un doigt s’insinue entre la peau et le tissu, il descend lentement vers l’aine, et je m’aperçois que tu as mis un string, je joue un instant avec ton entre-jambes, ma main prend ta cuisse et ma bouche se penche vers ton cou… Ma main remonte sous ta robe pendant que je passe ma langue sur le long de ton oreille et que je te murmure « je t’aime mon amour »… ta bouche recherche maintenant la mienne et je t’entends respirer de plus en plus fort. Cette situation se prolonge quelques minutes, ma main se glisse sans trouver de résistance entre tes cuisses…
Tu remontes ta robe sur tes hanches et j’agrippe ton string pour l’ôter, un craquement, … ta culotte est foutue !!! J’en profite pour dégrafer également ton soutien-gorge. De retour entre tes jambes, ton clitoris durci sous mon doigt, ta bouche vient chercher la mienne et nos langues se mélangent ; tu t’assois sur le coin de la table et tu écartes les cuisses tout en me regardant et en montrant le chemin que tu voudrais que j’explore. Je suis assis devant toi et je commence alors à lécher ta petite chatte en introduisant ma langue entre tes lèvres … tu commences à être humide … je continue en remontant vers ton clitoris que je mordille avec mes lèvres puis en le titillant avec le bout de ma langue… tu gémis de plus en plus et tu m’attires encore plus contre ta chatte avec tes mains autour de ma tête… je crois que tu vas bientôt jouir et tu veux me freiner alors que l’extrémité de ma langue se met à jouer avec tes petites lèvres et tourne tout autour de ton clitoris sans jamais le toucher.
À ce moment, tu attrapes dans ton sac, un sex-toy dont j’ignorais l’existence, tu me le tends en me faisant comprendre que tu as très envie que je m’en serve sur toi. Comme tu es bien ouverte, je ne tarde pas à trouver le chemin de ton intimité et je l’enfonce avec précaution mais allègrement. je l’introduis en te regardant dans les yeux, ta bouche s’ouvre d’abord de satisfaction et ensuite tes dents mordent ta lèvre inférieure, tu me demandes d’accélérer et tu m’annonces que tu envies de jouir, alors j’accélère les va et vient et tu te mets à te caresser ton clitoris en fermant tes yeux, tu t’ouvres de plus en plus et tu me dis « c’est bon, vas-y…plus vite » j’en profite pour passer ma langue sur le haut de ta fente pour te lécher vigoureusement … Ta jambe tremble alors que je caresse l’intérieur de tes cuisses et là … tu jouis comme jamais encore tu n’as joui entre mes mains. Tu es brulante et moite.
C’est là que tu remarques la douche et je te propose de nous rafraichir ; tu n’es pas d’accord car tu as une surprise pour moi. Tu enlèves les boutons de mon pantalon, je sens mon sexe qui durcit dans mon boxer, il est tellement comprimé que mon plaisir est décuplé lorsque tu le fais jaillir, sans perdre de temps, tu me prends dans ta bouche et mon sexe glisse sur tes lèvres pendant que je passe les mains dans tes cheveux pour maintenir la tête, tu me suces avec de plus en plus d’entrain tu veux me montrer que tu as envie de moi.
Ni tenant plus je te relève et décide de te menotter au barreau de l’échelle du lit supérieur, ton ventre est contre l’échelle et je relève ta jambe, ma main guide ton pied pour le poser sur le barreau, j’en profite pour passer ma main entre tes fesses pour bien les écarter et pour passer un doigt autour de cet endroit auquel que moi seul est eu accès et tu t’ouvres pour moi. Tu pousses ton cul vers moi, je prends tes seins dans mes mains, j’en profite pour les caresser avec délicatesse. Mes mains enveloppent tes seins, ta petite chatte est accessible, chaude et humide ; je me frotte contre toi et tu t’ouvres complètement à moi en me disant « prends-moi, prends- moi … ». Je te pénètre facilement, tant ton sexe est humide, et je commence, tout en empoignant fermement tes anches, à t’infliger des mouvements de va-et-vient amples et réguliers, je ressors presque à chaque fois pour replonger entièrement dans ta chatte. Je te regarde dans les yeux et je te fais comprendre que j’aime être en toi et que j’en veux plus, je veux que tu me donnes tout…
Cela t’excite et tu m’incites à de violents coups de reins pour te satisfaire que tu ponctue de petits cris étouffés, je caresse tes seins que j’ai saisis de nouveau dans mes mains, en même temps et sans te prévenir, je te pénètre par derrière… tu es surprise mais tu ne dis rien et tu as l’air satisfaite de mon initiative. Ton sexe se sent un peu vide, je le devine et j’y engouffre deux doigts en même temps que je fais des va et vient entre tes fesses. Tu gémis à présent, tu me dis que tu aimes ça et comme tu es parfaitement détendue, je pousse encore plus fort et cela te fait crier de plaisir… Je passe un doigt sur ton clitoris et je te dis que j’aime quand tu mouilles pour moi et je ne tarde pas à jouir entre tes fesses dans des soubresauts de désir de toi.
Tu as chaud, tu es trempé et tu acceptes enfin une douche fraîche, tu es nue et éclatante, les voyageurs qui sont sur le quai des gares que nous traversons à grande vitesse pourraient t’apercevoir mais cela t’excite aussi. Tu t’installes sous la douche et je te rejoins ; le temps de faire couler l’eau, nous aspergeons nos corps. Je te demande si tu veux que je te lave avec ton gel douche que tu as amené spécialement pour ne pas irriter ta peau délicate ; tu me dis « oui » en me crachant de l’eau à la figure et en rigolant. J’étale le gel douche sur ton corps : les épaules, tes bras, je décris des cercles autour de tes seins qui pointent de nouveau sous mes doigts et je termine par ton ventre plat puis le haut de tes cuisses.
Je m’agenouille et je commence à savonner ton entre cuisses, puis le haut de ta fente en prenant soin de ne pas l’irriter. J’arrive à promener mes mains sur tes fesses puis les écartant doucement, mon doigt refait des cercles autour de ce que tu n’as offert qu’à moi. Là, tu te penches en avant tout en écartant les jambes pour ramasser ton gel douche…. Continuant ma progression, j’enfonce ma main de plus en plus dans ton entre-jambes, caressant du même coup l’entrée de ton intimité. Comme tu es coopérative, tu me regardes et tu écartes encore les jambes pour me faciliter le passage, ta respiration s’accélère au fur et à mesure. Je décide de ne pas continuer pour te donner encore plus envie, je finis par laver tes jambes et tes pieds qui me fascinent toujours autant. En remontant le long de tes cuisses, je suis face à ton sexe, je me rends compte que tu es ouverte, prête … je passe ma langue entre tes fesses et prends à plein bouche ta petite chatte qui ruisselle d’eau et tu gémis de satisfaction. Profitant du fait que tu es occupé à te laver la tête et que le savon t’empêche d’ouvrir les yeux, je glisse un doigt dans ton sexe. La chaleur et la moiteur de ton vagin contrastent avec la température de l’eau. Puis un deuxième doigt vient rejoindre le premier et je commençais des va-et-vient ; ta main vient se plaquer sur ton pubis et tu décris des cercles autour de ton clitoris pour mon plus grand plaisir. Profitant que tu as toujours les yeux fermés, je te pénètre en écartant une de tes cuisses tout en prenant à pleines mains tes fesses en te murmurant à l’oreille « Valérie je t’aime, je t’aime ; je veux que tu sois à moi et rien qu’à moi ».
Tu te mets à genoux et tout en me regardant dans les yeux ; tu me masturbes de plus ne plus vite pour me voir, enfin, jouir sur tes seins, juste avant de me reprendre délicatement dans ta bouche. Nous terminons notre douche enlacés l’un contre l’autre, mêlant par moment soit nos bouches soit nos langues.
Quelques minutes plus tard le train ralenti dans la nuit noire et nous franchissons la frontière Suisse ; ma main gauche parcourt ton corps quasi dénudé pendant que tu recommences à me branler doucement, tu es insatiable et je ressens ton envie, c’est à ce moment que je te bande les yeux. Mon sexe se redresse et redevient dur et tu sais que tu vas te faire baiser comme une chienne, tu décides de t’installer à quatre pattes sur la couchette en te cambrant et tu m’offres ton centre des plaisirs, je pose ma bouche et introduis ma langue dans ton abricot tout en prenant tes seins à pleines mains. Sans attendre, je me retrouve rapidement et entièrement dans ta chatte, cette position me permet de te pénétrer plus profondément et plus facilement.
Tu me supplies de te baiser comme une chienne et je te prends en cadence alors que tu passes ta main entre tes jambes pour augmenter ton plaisir. Tu n’as plus de tabous, tu n’es plus toi-même et tu pousses des soupirs étouffés à chaque pénétration… tu me demandes de continuer « encore, encore,… » Tu me veux tellement que tu augmentes ma cadence en accentuant le mouvement, tu fais tourner et onduler ton bassin de manière à ressentir mon sexe dans les moindres replis de ton ventre, tu vas d’avant en arrière, de gauche à droite, de haut en bas pour notre plus grand plaisir… Les muscles de ton vagin sont contractés sur mon sexe et tes mains sont crispées sur les montants de la couchette. Je décide de te retourner et de t’allonger sur le dos … Docile, tu t’exécutes, … et tu te demandes comment je vais continuer à te prendre ? Tu es ouverte de partout, tes mains tiennent tes jambes largement écartées, tout en ondulant du bassin tu me présentes tes orifices largement ouverts. Rapidement sur toi je m’insinue entre tes cuisses, tu me dis que tu veux m’offrir de nouveau ce que tu n’as offert qu’à moi; je parcours ton entre fesses et comme tu es bien ouverte je m’invite avec délicatesse dans le beau « cadeau » que tu me fais encore ce soir. Tout en te regardant, soumise, je te dis que « Je t’aime mon amour »; à ce moment je ne me retiens plus et j’éjacule longtemps en toi … tu sens une chaleur se répandre en toi et tu jouis à ton tour, tes jambes tremblent, tu es encore trempé et nous nous écroulons l’un sur l’autre pour s’étreindre encore plus fort, transpirant l’un et l’autre à cause de l’orgasme simultané qui vient de nous foudroyer.
Nous nous endormons et quelques heures plus tard le train ralenti en arrivant en banlieue de Milan où nous descendons pour prendre une correspondance pour Rome.
Nous nous habillons, tu retrouves ton string au sol, l’élastique cassé, tu le laisses là imprégné de ton odeur, tu souris et me dit : « ça fera un souvenir à celui qui le trouvera !!! » cette perspective de te savoir nue sous ta robe m’incite de nouveau, entre deux arrêts du train qui descend vers le sud de l’Italie, à caresser et à introduire mes doigts dans ta petite chatte en attendant que tu me prennes dans ta bouche pour m’y faire jouir sans retenue.
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