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Cocu la nuit de noces

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Jean venait de se marier avec Odette.

Vingt-trois ans, situation commerciale confortable, il avait rencontré sa future femme en visitant le salon de coiffure où elle travaillait pour présenter la gamme de ses produits capillaires. Ce fut le coup de foudre immédiat entre cette jeune fille de dix-neuf ans, rieuse, blonde aux yeux bleus, à la poitrine menue, aux longues jambes fuselées et lui.

L’ayant invitée au restaurant, il eut la surprise de constater sa spontanéité car à la fin du repas, en sortant de l’établissement, ce fut elle, s’accrochant à lui, qui lui offrit ses lèvres pour échanger un long baiser passionné.

Mais son trouble augmenta fortement lorsqu’elle lui murmura à l’oreille « on va chez toi ou chez moi » en tâtant d’une main fébrile un renflement sous la braguette qui semblait prometteur. Jean dans une euphorie qui n’était pas due au vin consommé à table, répondit dans un souffle chez toi.

À peine arrivé à son appartement, Odette tomba à ses genoux pour ouvrir fiévreusement son pantalon et s’emparer de sa bite gonflée de désir. Jean tentait désespérément d’empêcher l’explosion qu’il sentait venir sous la succion obsédante d’une bouche avide.

Il avait envie de jouir comme cela ne lui était jamais arrivé. Ce qui devait arriver arriva il gicla un flot de sperme qu’elle avala goulument. Se relevant et devant son air penaud, elle éclata de rire en lui disant « Ce n’est pas grave, j’adore boire le jus masculin.

Pour le reste, ne te tracasse pas, je vais te ressusciter ». Elle le prit par la main pour l’entraîner vers la chambre et le vaste lit. Et elle ne mentait pas la coquine.

À peine sur la couche, elle se déchaîna littéralement ne lui laissant aucune initiative, s’installant sur sa tête, le sexe bien ouvert sur sa bouche et cherchant sa langue et l’inondant de sa cyprine, puis elle le chevaucha avec vigueur telle une amazone, avant de l’attirer sur elle, les cuisses largement ouvertes, poussant des petits cris au rythme des coups de boutoir reçus et lui labourant le dos de ses ongles.

Ce n’est qu’au petit matin que les amants épuisés terminèrent leur folie charnelle. Après un moment de silence, Jean l’interrogea sur son expérience, peu commune pour une fille de son âge. Elle lui expliqua qu’un de ses béguins, plus âgé qu’elle l’avait déflorée alors qu’elle avait quinze ans ne lui laissant qu’un souvenir désagréable et un sentiment de honte.

Celui-ci faisait partie d’une bande de jeunes d’une vingtaine d’années et leur raconta son exploit. Comme elle était très jolie, ceux-ci se mirent à fantasmer sur elle. Un jour qu’elle passait devant eux près d’un immeuble, ils l’invitèrent à venir voir une portée de jolis chatons dans une de ses caves.

De chatons, il n’y en avait point, mais bien une dizaine de bites en érection. Elle tenta vainement de fuir mais solidement maintenue, un premier garçon la pénétra. Résignée, elle se laissa aller. Cette fois, elle fut étonnée de ne sentir aucune douleur malgré la brutalité de l’intrusion.

Un deuxième lui succéda et le va-et-vient dans son vagin lubrifié par le sperme déjà reçu, fit naître une émotion jamais ressentie, au troisième son bassin se mit à accompagner le mouvement mais ce fut au sixième que subitement un orgasme la saisit et lui fit perdre la raison au point que c’est elle qui appela les suivants à s’introduire dans sa chatte avide de cette nouvelle sensation.

Dès qu’ils furent tous satisfaits, ils l’abandonnèrent.

Désemparée, elle alla raconter son aventure à une amie qui lui fit prendre sur le champ la « pilule du lendemain » et lui conseilla d’aller déposer plainte. Elle refusa car le plaisir qu’elle avait éprouvé était tellement puissant qu’il l’avait rendu addict au sexe.

Et depuis lors, quand le désir s’emparait d’elle, qu’elle se sentait « des papillons dans le ventre », elle draguait un inconnu pour retrouver cette sensation unique, être traitée comme une femelle par un mâle de passage. Jamais deux fois le même malgré leurs multiples sollicitations.

Au fur et à mesure de ces rencontres, elle avait appris à mieux jouer avec son corps et le leur.

Jean l’avait écoutée avec attention et lui dit « Si j’ai bien compris, il ne servirait à rien de demander à te revoir alors que tu me plais tellement. » Sa réponse fut merveilleuse. « J’ai adoré faire l’amour avec toi et je ne sais pourquoi, j’ai une folle envie de recommencer. Tu me plais tellement ».

Et ce fut une aventure qui, au fil des jours, les conduisit à un amour puissant. Elle lui était fidèle et lui ne vivait que pour elle.

Et vint le jour attendu du mariage. Un jour important, l’échange des consentements, les félicitations des amis, le repas festif et puis le départ des invités avec leurs commentaires égrillards sur la nuit de noces annoncée.

Une fois dans la chambre nuptiale, enfin seuls assis sur le bord du lit , elle se blottit dans ses bras. « Je suis si heureuse, je t’aime tant. Je suis toute à toi » Il eut un petit sourire « Toute à moi ? Moi aussi je t’aime, peut-être plus que tu crois.

J’ai tout de suite adoré, et le mot n’est pas trop fort, la femme que j’ai eue dans mes bras le premier soir, joyeuse, sensuelle, libertine. Après cette première nuit d’amour et ce que tu as dit, je n’arrête pas de te voir possédée par d’autres hommes. Je te vois sucer leur sexe, cambrer les reins pour être mieux possédée et jouir comme une folle. Cela m’obsède.

Je pense aussi que ces sensations fortes que tu éprouvais d’être le jouet consentant dans les mains d’un inconnu ne peuvent que te manquer.

Maintenant que je suis ton mari, laisse-moi devenir ton complice et ton adorateur en acceptant de faire de moi ton cocu heureux et de laisser profiter du spectacle qui m’enverra dans les nuages. Et comme cadeau de noces, je te propose de sortir ensemble chercher ton premier amant de femme mariée.

Elle lui sourit tendrement, se leva, lui prit la main et ils sortirent pour trouver celui qui aura la chance d’être le premier d’une longue série !


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