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Chapitre I: Rendez vous un après midi d’hiver

C’était un beau jour d’hiver clair et ensoleillé et depuis quelques jour j’avais une très grosse envie de sucer.

Des queues j’en ai sucées beaucoup, j’adore ça, des grosses des longues des petites…. toutes valent le déplacement.

Depuis quelques jours me taraudait l’envie d’une énorme queue qui remplirait ma bouche et ma gorge.

J’étais inscrite avec une fiche femme seule sur un site de rencontres libertines, je partis donc en chasse.

Ce jour là beaucoup m’ont proposé leur services… évidemment avec « Aujourd’hui envie de sucer » marqué comme envie du moment et inscrite dans le speed-sexe (rencontres dans les deux heures), il fallait s’y attendre.

Mon choix se porta donc sur un mec avec des photos hallucinante de son membre durcit.

Grosse, longue et luisante. Impossible d’y résister, bien trop appétissante.

Adepte des plans extérieurs on se donna rendez-vous pas très loin de chez moi dans un recoin de forêt.

Il faisait frais mais largement supportable pour la saison.

J’étais très courtement vêtue une petite robe très moulante qui ne laissait vraiment rien à l’imagination, pas de culotte et des bottes a talon.

J’attendais dans ma voiture que mon rendez-vous arrive, mon entre jambe trempée par l’excitation qui montait.

Impossible de me retenir, je glissais donc mes doigts entre mes jambes bien écartées.

Putain, j’étais trempée rien que de penser à la belle queue que j’allais sucer.

C’est comme ça qu’il me trouva, dans ma voiture, les jambes écartées deux doigts enfoncé le plus profondément possible dans ma chatte bouillante et mon pouce jouant avec mon clito, au bord de l’orgasme.

Je vit dans ses yeux une lueur s’allumer, une envie irrépressible de me posséder.

Hummmmm ce regards… me fit partir en vrille.

Je hurlais ma chatte trempée contracté autour de mes doigts, ma tête renversée, mes yeux révulsés dans un orgasme monumental.

Quand je repris mes esprit il était derrière ma fenêtre la braguette ouverte et son membre bien dressé dans sa main en train de se branler.

Cette queue… Enorme, luisante bien plus belle que sur les photos déjà prometteuse, juste magnifique.

J’ouvris donc ma portière et assise au bord de mon siège attrapa ce beau cadeau.

Elle était brûlante douce et humide.

Je la caressais donc pour bien en prendre la mesure. J’avais trop envie de la goûter.

Je la pris donc en bouche commençant pas suçoter le gland, il étais épais et charnu. Je descendit plus loin ma
bouche grande ouverte et remontant aussitôt et l’entendit grogner… J’avais une telle envie de l’engloutir profond dans ma gorge jusqu’à sa base…

Mais je me retins, je voulais faire durer le plaisir.

A me montrer trop empressée il n’aurait pas tenu longtemps et je voulais faire durer le plaisir au maximum. C’était vraiment trop bon.

Je la sortit de ma bouche et la lécha de tous son long, de ces boules bien dures jusqu’à son gland en le regardant bien dans les yeux. Je voulais qu’il voit le plaisir que je prenais à le sucer.

Je répéta l’opération une dizaine de fois lentement, très lentement histoire d’en profiter un maximum.

Hum mmm un vrai délice, je la sentais vibrer sous ma langue.

J’attrapais dans ma bouche ces boules bien dure une par une en les faisant rouler sur ma langue. Je sentais qu’il n’était pas loin de l’explosion. Il se contenait tellement, ça m’excitait encore plus.

Je passait donc à la vitesse supérieure. Je l’attrapa en bouche jouant que quelques secondes avec son gland, le suçotant, le faisant rouler sur ma langue experte.

J’enfonçais ma bouche vers la base de sa queue un petit peu puis remontais, je recommençais un peu plus profond et remontais. Je l’enfonçait jusqu’à la garde et un cri lui échappa.

Je remontais jusqu’à la sortir de l’extérieur et la reprit jusqu’en bas de plus en plus vite.

Arrivée au fond il m’attrapât la tête et me la bloqua entre ces mains. Je l’avais bien au fond de la gorge jusqu’à en avoir envie de vomir. J’en avais les yeux qui pleurait.

Je me mis à essayer de parler et les vibrations de mes cordes vocales lui fît perdre pied.

Je l’entendit hurler à en perdre haleine.

Il explosa, remplissant ma gorge de tout ce bon jus bien chaud tout en bloquant ma tête.

Je le sentit couler dans ma gorge. Putain que c’était bon.
Il relâcha ma tête et sortit sa queue de ma bouche. J’avalais tout ce jus et vit perler une goutte au bout de ça queue.

Pas de gaspillage, je le repris donc en bouche pour récupérer tous ce qui restait et continua de le sucer doucement pendant quelques instant.

Sa queue ramollissait doucement dans ma bouche.

Je l’invitât à monter dans la voiture avec moi pour discuter un peu.

A avoir goûter une si belle queue j’avais trop envie de la sentir en moi pour le laisser repartir comme ça.

J’avais terriblement envie mais si je la voulais dure en moi il fallais que je lui laisse reprendre ses esprits.

C’est comme ça que j’ai appris qu’il s’appelait Mathieu et qu’il avait 41 ans. Tellement obnubilée par les photos de son membre extraordinaire et des sensations que j’allais ressentir, je n’avais même pas pensée à le lui demander.

Commerciale dans la visserie il était souvent disponible, d’où sa facilitée à se libérer ce jour là.

Nous discutâmes comme ça pendant une petite demi heure.
Poli, courtois il me posa des questions sur moi, ma vie et mes envies…

Il me fît tellement d’éloges sur ma prestation que je ne pût m’empêcher de rougir.

Pendant qu’il me parlait je repensait a sa queue au fond de ma gorge et a ce bon jus qui avait coulé et dont je m’étais régalée.

Mon excitation et mon envie que j’avais jusqu’alors réussie à contenir se réveillèrent et je sentit tout d’un coup mon siège se mouiller sous mes fesses.

Par instinct je passa ma main entre mes jambes et la porta à ma bouche ensuite.

Il me regarda d’un air avide et sans mot dire je recommença l’opération sauf que c’est à lui que je fît goûter mon envie.
Il lècha de but en blanc,

« J’ai envie de te manger, de lécher toute cette mouille ».

Alors le feu s’empara de mon corps et je me sentît brûler de l’intérieur.

Il sortit de la voiture, m’allongea au bord portière ouverte côté conducteur et se mis a genoux devant moi.

Alors commença les assauts de sa langue douce, chaude, humide …

Il était partout à la fois, suçant, mordillant, léchant.

J’essayais vainement de garder le contact avec la réalité mais je me sentais partir.

Je m’agrippais à ses cheveux appuyant sa tête contre ma chatte trempée.

Et puis d’un coup sec il entra ses doigts en moi.

Un , puis deux, puis trois et quatre tout en effectuant des vas et viens de plus en plus rapide.

Il entra le cinquième doigts et poussa sa main dans ma chatte trempée .

La paume passa et il l’enfonça jusqu’au poignet.

La sensation de se sentir pleine ainsi était Hummmmm indescriptible.

Il colla sa langue sur mon clito et je ne pût plus rien retenir.

Je hurla tous ce que je pouvais hurler.

Je me sentit partir haut très haut comme si mon âme sortait de mon corps et que j’assistais à la scène d’haut dessus.

Il me fallu un certain temps pour redescendre. Mon cerveau avait complètement buggé.

Je ne m’étais même pas aperçut qu’il avais sorti sa main et qu’il se branlait.

Quand je pût enfin aligner deux mots je me leva et me dirigeais vers le capot de la voiture.

Je l’entendît derrière moi déchirer l’emballage du préservatif .

Il se colla a moi et brutalement m’allongea sur le capot de la voiture.

M’écartant les jambes il entra brutalement en moi.

Putain la sensation de cette énorme queue.

Il me remplissait entièrement, son gland touchant le fond
de ma chatte.

Je lâchais d’un coup :
« Ne te retiens pas, baise moi le plus fort et le plus profond que tu peux ».

Il m’attrapât les mains derrière le dos et s’exécuta.

Il ne retient pas ses coups et avec une queue comme la sienne, je la sentit vraiment bien.

Il allait fort et vite, très fort et très vite.

J’entendait à peine sa respiration tant je haletais et gémissais.

J’osa un « plus fort » et il s’exécuta.

Et je bascula pour la troisième fois de l’après midi. Hurler à m’en déchirer la voix.

Hummm que c’était bon.

Un dernier coup et je le sentit se contracter et l’entendit hurler.

Quelques spasmes et il s’écroula sur moi.

Nous restâmes ainsi un long moment haletant, moi couchée sur le capot de la voiture et lui sur moi, essayant de reprendre nos esprit.

Puis nous nous rhabillâmes, le temps avançait et il fallait tous les deux que nous rentrions.

Nous échangeâmes nos numéros de téléphone, et nous nous quittâmes en se promettant de se revoir.

Et nous nous revîmes… Et je ne fût jamais déçue…


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