Tanazârt et Mohand, baise en terres rifaines
Tanazârt, une femme de 40 ans à la silhouette gracieuse, marquée par une poitrine généreuse, quittait l’hôtel Marchica Lagoon Resort***** à Nador (Maroc) où elle avait passé sa journée à orchestrer ses engagements.
Divorcée, résiliente, féministe à ses heures perdues et attachée à ses racines rifaines, son retour à Nador était chargé de sens à la fois personnel et professionnel.
Un soir, elle s’aventura dans un café culturel, un lieu où les esprits créatifs de Nador se rencontrent.
Là, elle rencontra Mohand, un jeune homme de 27 ans aux idées fortes sur la préservation de l’identité et des traditions rifaines, y compris du patriarcat.
Ce jeune homme faisait partie de la tribu des iznassen et était fortement engagé dans la défense des valeurs ancestrales ainsi que dans la préservation de la langue rifaine.
Cette rencontre chargée de tensions idéologiques, était toutefois adoucie par une irrésistible attraction mutuelle.
Fascinée par cette rencontre inattendue, Tanazârt invita le premier jour Mohand chez elle. Elle lui servit un verre de Atay (boisson à la menthe) et au détour d’un moment suspendu, elle sentit l’impulsion irrésistible de le toucher au visage, effleurant son nez, sa bouche du bout de ses ongles vernis.
En retour, Mohand osa poser ses mains sur les hanches délicates de cette femme, créant ainsi une connexion physique.
L’attraction entre eux s’intensifiant, Tana invita Mohand à la suivre dans sa chambre.
L’atmosphère était chargée d’électricité et cette Milf de 40 ans commença à se dévêtir, laissant tomber sa robe sur le sol.
Elle dégrafa son soutien-gorge et laissa apparaître sa poitrine.
Ses seins volumineux de Milf, d’un blanc éclatant ornés de mamelons roses tendres étaient prêts à remplir leur rôle nourricier.
Mohand rapprocha ses lèvres charnues d’un de ses seins et commença à suçoter l’un de ses mamelons.
Il répéta le même geste avec son autre bouton de rose, lui donnant de légers coups de dents.
Tanazârt commençait doucement à perdre le contrôle de son corps et rangea dans les oubliettes de sa mémoire les codes de sa tribu qui condamnaient les rapports sexuels hors mariage.
Elle transgressa ses règles sans éprouver le moindre regret.
Elle se laissa aller, passant ses mains dans les cheveux de Mohand en laissant échapper un râle de plaisir.
Elle ressentait le désir de l’allaiter et d’incarner le rôle de sa mère nourricière.
Elle se cambra et se contorsionna de plaisir en sentant les lèvres pleines et charnues, la langue et les dents de son Amant sur sa poitrine de Milf en chaleur.
Il prit ses grosses mamelles fermement entre ses deux mains, les malaxant, mordillant ses tétons, les léchant et les gobant avec passion.
Ensuite, il déchira sa culotte avec ses mains, écarta ses jambes et glissa ses doigts dans sa mouille. Puis, il caressa et fouilla sa vulve avec sa langue.
Tanazârt gémissait de plaisir et de temps en temps, Mohand en relevant sa tête, affichait sa bouche luisante de mouille et lui murmurer qu’elle lui appartiendrait dorénavant pour toujours, que sa chatte était « chasse-gardée », tout en la qualifiant de sale garce.
Il désirait combiner douleur et plaisir avec elle, aspirant à atteindre l’extase simultanément.
Il répétait inlassablement qu’il voulait la posséder avec passion et sauvagerie, souhaiter la satisfaire totalement.
Tanazârt désirait aussi ardemment que cet inconnu la pénètre sauvagement. Elle replia ses jambes sur sa poitrine, dévoilant ainsi sa chatte ruisselante de désir.
Mohand se dépêcha alors de retirer son boxer noir et dévoila sa verge circoncise, de teinte chair et coiffée d’un gland rose pâle ; Sa queue épaisse était en érection et au « Garde à vous ».
Elle était imposante et veineuse, et témoignait de la virilité héritée de ses ancêtres « les bni znassens », l’une des tribus les plus redoutables de la région du Rif marocain.
Mohand, avec sa queue en érection, la pénétra vigoureusement, la martelant de coups qui semblaient déchirer sa chaire, ses testicules heurtant l’entrée du vagin de cette garce à chaque mouvement.
Elle gémissait de douleur et de plaisir et le suppliait de continuer quand il commençait à ralentir la cadence. Elle mouillait si bien que des sécrétions liquides et abondantes coulaient le long de ses cuisses.
Mohand en écoutant ses suppliques ardentes et ses cris étouffés, lui répondit qu’il n’avait pas l’intention de s’arrêter.
Il la tourna alors et la prit en levrette, s’enfonçant profondément en elle, effectuant des va-et-vient de plus en plus intensifs.
Les bruits de claquement de ses testicules contre la chatte de cette salope résonnaient dans la pièce.
Il lui murmurait en même temps qu’elle était une putain, qu’il savait depuis le début de leur rencontre qu’elle était une salope et qu’il lui arrivait de bander uniquement en écoutant sa voix, aussi qu’elle devait être certainement la réincarnation de la reine de Sabah et qu’elle l’avait sûrement trahi dans une autre vie.
Lui confiant aussi, qu’elle le rendait fou, menaçant de perdre la raison à cause d’elle et lui demandant comment elle avait réussi à l’ensorceler.
Il l’attrapa ensuite par les cheveux, la coucha sur le dos et lui releva les jambes pour les poser sur ses épaules.
Et, il s’enfonça à nouveau en elle et fit des allers-retours entre sa chatte et son cul.
Il explosa son foutre à l’intérieur d’elle (tout d’abord dans sa chatte et termina par son cul), une partie de sa semence s’écoulant le long des cuisses blanches et douces de Tana.
Ils restèrent quelques instants, entrelacés l’un contre l’autre essayant de reprendre leur souffle et leurs esprits, puis Mohand retira sa queue reluisante de foutre et de cyprine.
Ils se levèrent et Tanazârt pour le remercier prit ses testicules dans sa bouche et les suça avec avidité. Puis, elle releva sa tête et le regarda intensément, le défiant du regard silencieusement.
Elle marqua une pause et se saisit de sa queue. Elle le branla et lui fit une gorge profonde.
Mohand laissa échapper un râle sauvage.
Il était transporté à nouveau par le plaisir, gémissant comme un animal en rut. Il gicla une dernière fois mais cette fois ci dans la bouche de cette salope de féministe.
Avant de se quitter, Mohand lui promit qu’à la prochaine occasion, il lui déchirerait la chatte et y laisserait un trou béant pour qu’elle se souvienne à jamais que c’était lui qui l’avait possédée pleinement, en lui promettant de lui laisser une marque indélébile au cas où elle aurait d’autres Amants par la suite.
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