Roman – Editions Cyrille
EDITION CYRILLE
6 Avenue NEIL ARMSTRONG
33692 – MERIGNAC CEDEX
Ce récit est une œuvre de pure fiction.
Toute ressemblance avec des situations réelles ou avec des personnes existantes ou ayant existé ne saurait être que fortuite.
Chapitre 10
Dérapage
Quelques instants plus tard ; le carillon du portail retentit.
Je n’ai aucune envie de quitter mon transat.
J’envoie mon esclave faire le « bagagiste » ; et je confie à Aline ; la mission d’ouvrir le portail et d’accompagner Michelle et son esclave, à leur chambre après les formalités administratives.
Une heure plus tard ; je fais rapidement connaissance avec Michelle et Jean-Marc.
L’esclave ; est un mâle de cinquante-trois ans, brun avec une importante calvitie.
Son sexe est emprisonné dans une cage en plastique transparent, trapu et poilu de partout ; je ne le trouve pas sexy.
Sa dominante est heureusement plus agréable à regarder ; blonde aux cheveux longs, sa toison pubienne est proprement taillée, le défaut majeur est sa poitrine un peu tombante.
Je présente aux arrivants le couple féminin.
Le regard salace de Jean-Marc ; fouillant mon sexe et ceux des filles, me déplaît.
Comme je n’ai aucune n’envie, de m’occuper de ce couple inintéressant ; je ne fais aucune remarque.
Si elle le souhaite, Anne est assez grande pour demander une punition, pour cet esclave irrespectueux.
Michelle et Jean-Marc s’installent sur des transats.
Aline intervient et rappelle que par déférence envers les dames, les mâles doivent s’allonger sur le sol.
Cet incident passé et réglé ; Aline se défoule en cravachant sans aménité les seins et les fesses de mon sujet.
C’est injuste, il n’a pas commis de faute ; mais la domination n’a rien à voir avec les bons sentiments.
Les deux protagonistes se retrouvent, sans rancune, dans la piscine ; avec le couple féminin.
Véronique et Patrick discutent ensemble ; leur sympathie réciproque est naturelle ; ils sont faits pour aimer et se donner.
Je n’ai aucune crainte ; ces ceux-là ne sont pas complémentaires.
Et Anne surveille sa proie de très prés.
J’emmagasine la chaleur du soleil, sans plus me préoccuper de rien ; je me mets en vacances jusqu’au soir.
Avant le dîner, je passe en cuisine pour couper quelques tranches de jambon et ouvrir une terrine maison de pâté aux cèpes.
C’est suffisant, pour compléter les plats déjà préparés : avant l’arrivée de Michelle.
Mon asservi ; fait le plein de bois et fait un feu d’enfer dans la cheminée.
Ensuite ; je choisis nos tenues de soirée.
Je lui impose, l’énorme cockring en deux parties ; et en hommage à Anne, dans les trous du prépuce une grande manille ; lestée de plusieurs morceaux de chaînes, remplace les habituels cadenas.
J’adopte un uniforme intégralement noir ; avec une veste d’équitation, un pull léger, un jodhpurs, et des cuissardes à talons aiguilles.
Nos hôtes arrivent avant que j’aie pu menotter mon esclave.
Véronique ; étant la seule femme à être attachée, la place centrale lui revient, Jean-Marc à sa droite et mon objet au dernier emplacement disponible.
C’est un joli tohu-bohu ; toutes les dominantes s’affairent dans un joyeux désordre, pour installer les promis aux supplices.
Anne n’a pas amenée sa machine ; quel dommage !
En guise d’apéritif ; les sexes offerts à notre concupiscence reçoivent une bordée de coups de cravaches.
Anne ; m’a offert la lourde charge, de travailler la vulve de son esclave ; toujours écartelée, par l’élégant bondage.
Je n’ai pu refuser cette marque de confiance.
Dès le premier coup porté ; Véronique crie un : « Oui » stupéfiant, son corps se cambre pour offrir de plus belle son clitoris.
Coup après coup, elle s’ouvre davantage et finit par jouir de ma cravache ; sous le joug des mains de sa maîtresse ; qui étire les seins, en vrillant les anneaux.
Cette esclave est d’un masochisme sublime ; loin des piaillements de son voisin, pour quelques coups reçus sur la carapace de plastique, qui rend son sexe inaccessible ; et je n’ai guère entendu le mien, confié aux bons soins de Michelle.
Les discussions en cours de repas sont agréables et coquines. Michelle ; fait du gringue à Anne, n’obtenant pas le moindre résultat, elle se rabat sur Aline avec guère plus de succès. Aline préfère visiblement la compagnie de la dominatrice lesbienne.
Je ne m’offusque plus, des penchants sexuels d’Aline ; j’en ai été témoin tout l’été, sans que cela n’interfère négativement, dans les appréciations de nos clients.
En échange, non-dit, de cette liberté ; je demande à mon assistante de me remplacer pour la séance de dressage.
Une série de coups de fouets est donnée aux esclaves.
Au risque de prendre un coup sur les doigts ; Anne écarte à deux mains les globes fessiers de sa soumise, pour que le fouet utilisé à tour de rôle par les autres dominantes, touche uniquement l’entre-fesses.
A son tour, Jean-Marc subit le fouet sur les fesses par mon assistante et la diabolique dominatrice lesbienne ; en gueulant comme un porc qu’on égorge.
Exaspérée par ces cris inutiles ; je m’installe dans un fauteuil près de la cheminée.
Si ce type est un esclave, moi je suis sœur Térésa.
Heureusement, Anne et Aline n’insiste pas sur ce sujet.
Les coups de Michelle ; de vraies caresses, réussissent néanmoins à faire piailler son soumis.
Les coups suivants résonnent dans le salon ; j’aperçois seulement les prises d’élan et je sais de suite que mon esclave n’est pas ménagé.
La douleur qu’il subit doit être assez similaire à celle reçue par Véronique ; et je suis fière de voir Michelle libérer sa cruauté à l’égal des autres dominantes.
Les dominatrices font une pause de quelques minutes et finissent la grande cafetière italienne.
Elles décident, de faire subir une dernière épreuve aux esclaves ; en les sodomisant.
Anne hérite du gode-ceinture de 5 cm de diamètre pour Jean-Marc, Aline de celui de 6 cm pour Véronique et Michelle de celui 8 cm de pour mon serf.
Aline couvre chaque gode d’un préservatif et recouvre abondamment les instruments et les anus de vaseline.
Les embrochements ; sans préparation préalable, sont l’occasion de vraies souffrances pour les esclaves.
La mélodie des cris ; diminue d’intensité quand Jean-Marc cesse de gueuler ; mais mon attention est attirée, par ceux inhabituels de mon objet.
Je me lève du fauteuil pour mieux voir.
Là ; je découvre l’inadmissible.
Michelle ; penchée sur le dos, de mon objet-sexuel ; caresse sa verge libérée de la manille et des chaînes ; sa bouche embrasse le cou.
Sans réfléchir ; je fonce en m’emparant au passage, du fouet en acier.
J’arrive sur eux ; la femme lèche les lèvres de mon serf.
Je frappe.
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