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Ali, l’ouvrier agricole

L’histoire qui suit m’est arrivée à mon 18ème anniversaire. 

J’étais à la campagne dans une région rurale.

En me baladant pas très loin, je rencontre Ali, un travailleur qui bosse comme ouvrier agricole chez des voisins pas très loin de chez moi.

Il vit tout seul environ 8 mois de l’année ici et retrouve sa famille les 4 mois d’hiver.

Il vit dans une petite baraque perdue dans la campagne, il a à peu près 40 ans, c’est un gars robuste et costaud.

Je lui dis bonjour.
Il me répond : 

-Je voudrais te montrer quelque chose. Ce n’est pas ton chat, la pauvre bête morte ? Je l’ai trouvé là. 

– Non, je n’ai pas de chat monsieur.

Et puis on a commencé à parler. Il avait fini sa journée, il était tout en sueur. Il me propose de boire un coup.
je lui dis : 

– C’est pas facile la vie ici, sans rien, pendant tous ces longs mois ?
– J’ai fini par prendre l’habitude, me dit-il.
– Moi, je ne pourrais pas être privé de tout.

Et puis, tout en discutant, sans savoir pourquoi, je commençais à imaginer ce bonhomme tout seul sans femme.

Comment faisait-il ? Il y avait une sorte d’excitation en moi, j’aurai voulu l’aider, je suis un garçon et sans être très efféminé, j’ai un aspect plutôt gentillet, les cheveux longs, un visage assez fin, et je me lance :
– Sans femme ici, ce doit être dur, vous devez y penser ?
– Et oui, des fois ça me chatouille un peu mais pas plus, je suis tout seul. 

– Pourtant, vous êtes encore drôlement baraqué. Faudrait trouver une femme qui veuille bien d’un homme vigoureux comme vous, vous êtes un vrai colosse viril !
– Malgré ce que tu dis, je n’ai pas trouvé de femme qui veuille bien de moi, (un temps d’arrêt) mais y a pas que les femmes…

Là, je commençais à me demander mais il fait allusion aux hommes, j’étais à nouveau excité, j’avais besoin d’aller plus loin.

Je bois encore une gorgée de thé tellement j’avais la gorge sèche !
– Vous voulez dire qu’avec une femme ou un homme, c’est pareil ?
– Pour moi, c’est mieux la femme, mais si y a pas de femme, on prend ce qui reste, des fois des jeunes garçons, ils sont un peu comme les femmes.

C’est fou, en le regardant continuer à parler tout en se levant, il m’a semblé qu’il bandait. Puis il me dit :

– Si tu n’es pas pressé, je vais me laver un peu parce que j’ai beaucoup transpiré et après on discute encore un peu, ça me fait plaisir de parler avec toi.

Moi, de plus en plus bizarre dans cette situation équivoque :
– Oui, je ne suis pas pressé. Allez-y, je vous attends là dehors.

Je me faisais tout un cinéma dans ma tête, j’étais en train, sans m’en rendre compte, d’aguicher un gars que je connaissais à peine.

J’entendais l’eau couler, je regardais un peu autour de moi, nul doute : j’étais excité par cet homme ! Qu’allait-il se passer ?

Puis quelques instants plus tard, en me retournant, je l’aperçois furtivement : il est nu.

Le temps de prendre ses affaires, j’ai eu le temps de voir en une seconde son zob au repos : une grosse bite pendante.

J’ai tout de suite imaginé cette même queue en érection en me disant « ce n’est pas possible, à part un cheval, je ne vois pas autre chose ! ». 

Le temps d’enfiler son pantalon, il finit par arriver torse nu.
« Ça fait du bien », me dit il.

Il doit me sentir bizarre, parce que je le suis, il est vraiment baraqué.

Si j’étais une femme, il m’exciterait, je n’en suis pas une mais là, je ressens ce qu’une femme pourrait ressentir.

Mon allure est plutôt fluette avec mes cheveux, je dois plus lui faire penser à une femme plutôt qu’à un homme.

Puis la conversation reprend.
– C’est gentil que tu me parles, moi je ne parle pas souvent aux gens d’ici.
– Mais ça me fait plaisir de parler avec vous, je suis content d’être là pour vous faire passer un moment, je vous trouve vraiment sympathique et en plus, qu’est-ce que vous êtes costaud ! (Je fais le geste).
– J’ai beaucoup de force, j’ai toujours de la force.
– Moi, j’aime les hommes musclés.

Il se lève et fait quelques mouvements comme en ferait un culturiste.

Je regarde à hauteur de son sexe en imaginant ce que j’ai aperçu tout à l’heure, je fais mine de ne pas trop insister, mais apparemment, son regard sur moi commence à changer. Il sourit tout en me montrant ses biceps.

– Moi par contre, je n’ai pas de muscle, je ressemble plus à une fille.
– Si tu ressembles à une fille, tu fais aussi la fille.

Là, un cap est franchi, je me sens comme une femelle en rut, j’ai vraiment envie maintenant de voir si je peux faire bander ce colosse.

Je me lance et lui dis avec un petit sourire :

– Quelquefois, quand l’homme est comme vous très fort, ça m’excite. Est-ce que je vous fais bander ?

– Bien sûr, tu me fais bander, j’aime ton petit corps. Toi, tu veux que je te montre mon zob !

– Oui, j’aimerais bien le sucer !

Il me fait signe de rentrer dans sa petite baraque : une petite pièce, avec un lit, une table, un lavabo sans robinet.

Une fois dedans, je commence à me dandiner, à tourner du cul devant lui… Il commence, tout en me regardant dans les yeux, à dégrafer son pantalon.

De mon côté, je sors ma langue pour lui montrer que je suis impatient de voir son gros pénis. Et d’un seul coup, son zob apparaît, pas totalement en érection mais à sa vue, je reste sans voix.
– Il te plait mon zob ?
– Je n’en ai jamais vu d’aussi gros. Le mien est beaucoup plus petit.

Il me fait signe avec sa main gauche de m’approcher pendant que sa main droite décalotte lentement cette bite de cheval, son gros gland me fait craquer, j’en tremble presque !

Il me caresse les cheveux et appuie légèrement sur ma tête pour me faire comprendre que je dois m’agenouiller.

Je suis hypnotisé par ce zob énorme qui est maintenant totalement en érection. Je regarde encore un instant ce sexe prodigieux.

Lui, il sourit en me voyant si impressionné.

Je commence à l’engouffrer dans ma bouche et je suce tout en branlant à deux mains ce gourdin.

– C’est bon, suce mon petit, me dit-il. Après, je vais te mettre ça dans ton petit cul, tu vas jouir, vas-y encore, c’est bon ! Maintenant, déshabille-toi et enlève ton pantalon !

Je m’exécute aussitôt.
– Laisse-moi admirer ce zob encore un instant et après, tu pourras m’enculer.
– Oui, je vais te le mettre tout entier, tu vas crier de plaisir, c’est sûr ! Tous les jeunes garçons que j’ai déjà enculés criaient de joie.

Il commence à me prendre le cul, mettant beaucoup de salive sur mon anus, et puis son pieu commence à me pénétrer tout doucement, lentement.

Puis enfin, je poussais des cris rauques, enroués.

Sa bite était en moi mais pas entièrement. Elle ne pouvait pas aller plus loin !

– Je vais te défoncer mon joli, tu ne vas pas le croire !

C’était bon, on a continué comme ça jusqu’à ce qu’il décharge violemment en moi, j’étais aux anges et lui aussi.

Voilà, Ali m’a fait vivre une sacrée expérience !


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