logo instant charnel récits érotiques

Adultère avec le frère de mon mari

Mon beau-frère Pat et moi avons toujours été complices.

J’avais l’habitude de lui confier mes petits secrets et il faisait de même avec moi. J’ignorais si c’était le fait de le côtoyer très souvent, mais après un an de complicité, je commençais à avoir de l’attirance pour lui, et ça n’avait rien d’innocent.

Cette sensation étrange n’avait cessé d’augmenter et mes fantasmes ne faisaient que s’accentuer.

Désormais je n’avais plus qu’une envie. Assouvir mes désirs secrets. Mais comment ?

Qu’il soit le frère de mon mari, Arnaud importait peu. Mon problème, c’était plutôt de trouver le bon moyen pour le séduire.

Pat, était fidèle à ses principes, et il allait falloir adopter des astuces de séduction efficaces pour arriver à mes fins.

Je n’avais pas du tout prévu cet épisode où j’avais commencé à tomber sous son charme.

Tout a commencé un matin. Ce matin où tout m’a semblé plus clair. Alors que j’étais à la maison, mon beau-frère était venu, comme il avait l’habitude de le faire.

D’ailleurs, il habite juste à quelques rues de chez nous.

Cette fois-ci, Arnaud lui avait demandé de passer pour réparer un robinet de cuisine qui fuyait. Pat n’était pas plombier, mais il s’en sortait très bien avec ces petits travaux.

Alors qu’il était en train de s’affairer, je lui ai demandé s’il en avait encore pour longtemps et s’il avait besoin d’aide.

Carole, j’ai juste réparé provisoirement la fuite d’eau, mais il faut vraiment faire appel à un spécialiste…

Il était en train de donner des détails sur la situation, et je n’arrivais pas à capter, ne serait-ce que la moitié de ses explications, car je sentais comme un frisson dans tout mon corps.

Je le voyais tout à coup comme une autre personne.

Comme il était beau et sexy.

Je m’imaginais dans ses beaux bras.

Il m’a fait revenir sur terre en me demandant si je l’avais écouté ou si je pensais à autre chose. Je ne savais plus.

Après ce matin-là, je croyais que cette sensation inconnue n’était que passagère. Mais j’avais tort.

La nuit suivante, j’avais rêvé de Pat en train de réparer le robinet. Je l’avais alors rejoint à la cuisine pour lui demander deux trois choses, il s’est tourné vers moi sans prévenir pour m’envelopper dans ses bras et m’embrasser tendrement.

Je n’ai jamais rien senti d’aussi sensationnel. C’était tout simplement magique.

Oui, son baiser, dans mon rêve, était magique.

Il caressé délicatement mes seins, puis il a descendu petit à petit sa main.

La sensation était de plus en plus intense, au point d’avoir un sursaut de désir, qui me réveilla subitement.

Ce n’était qu’un rêve, mais l’envie fut bien réelle.

Arnaud avait sursauté avec moi et m’avait demandé d’une voix ensommeillée ce qui m’arrivait, si j’avais fait un
cauchemar.

Je l’ai juste rassuré en lui disant que ce n’était rien.

Je retrouvais mon sommeil en pensant très fort à ce rêve bizarre.

Toute mon énergie était encore concentrée dans mon bas-ventre.

Ce rêve avait eu beaucoup d’effet sur moi. Je ne pouvais plus m’empêcher de penser à Pat.

J’avais une folle envie de partager des moments plus intimes avec le frère de mon mari.

Trois jours après, quand il passa de nouveau à la maison en fin d’après-midi, j’étais tranquille dans le salon, justement en train de penser à lui.

J’attendais que mon mari rentre du bureau.

Tout mon être fut chamboulé dès qu’il me dit bonjour, avec son petit sourire que je trouvais désormais envoûtant.

Brusquement, j’eus un coup de chaud.

C’était confirmé, je le voulais.

Sur le moment, je n’avais rien en tête que de trouver le
moyen d’assouvir ce désir indomptable qui grandissait à une vitesse folle.

Je lui avais alors proposé de me rejoindre sur la terrasse sous prétexte de lui parler d’une idée de projet qu’on pourrait concrétiser, lui et moi.

À peine ai-je formulé ces quelques mots que j’étais un peu paniquée.

Mais pourquoi j’avais dit ça ?

Fallait-il vraiment inventer une histoire de faux projet, ou aller droit au but ?

Lorsque nous étions sur la terrasse, je ne pouvais détacher mes yeux de ce beau corps, que je n’avais pas remarqué comme tel avant.

Il était jeune, plein de charme et rayonnait d’énergie.

Un homme magnifique, le « mec » idéal.

Il me regardait sans ciller et ça me faisait presque perdre la tête.

Pat s’était approché trop près de moi. Je sentais son parfum qui m’enivrait.

C’est à peine si je l’entendais me poser des questions sur la fameuse idée de projet.

Ah ! J’avais oublié ce détail.

Je lui annonçais alors en une phrase que je comptais
créer ma startup dans le web, mais que ce n’était pas le plus important pour le moment.

Il insistait pour en savoir plus, en me rassurant que je pouvais compter sur lui pour m’aider à concrétiser la chose.

Je lui redis alors que ce n’était vraiment pas le plus important à cet instant.

Je décidai alors d’aller droit au but en lui disant qu’en fait, mon projet prioritaire, c’était lui. Il faisait mine de ne pas comprendre. Ou alors faisait-il tout simplement
semblant, pour m’éviter d’être ridicule ?

Je poursuivis alors dans ma lancée en lui disant clairement qu’il me plaisait beaucoup et que j’avais envie de lui.

Sa réponse fut assez inattendue.

En réalité, il me répondit avec une question. « Carole, tu as bu ? ».

Puis il se mit à rire à gorge déployée et m’invita à rentrer à la maison.

Je me sentais gênée, mais toujours aussi excitée.

Je n’avais pas abandonné l’idée de le séduire. Loin de là.

Cette nuit-là, lorsque Arnaud me caressait et que l’on fit tendrement l’amour, je n’avais en tête que Pat, Pat, Pat !

J’imaginais sa queue pénétrer ma chatte, ma bouche.

J’imaginais le goût de son sperme quand je l’avalerais. II serait le premier à qui je taille une pipe.

Pat, oh Pat.

J’avais même envie de crier son nom lorsque mon mari me fit atteindre l’orgasme !

Malgré le couac de cet après-midi-là, je continuais à nourrir mon désir secret envers mon beau-frère. Il m’arrivait même de parler de lui à Arnaud pour le connaître davantage.

Il était comment avant ? Quel genre de fille aimait-il ? Et beaucoup d’autres questions dont je connaissais déjà la réponse.

Un matin, alors qu’on cuisinait ensemble, je demandai à Arnaud si son frère avait décidé de rester célibataire à vie, il m’avait répondu vaguement.

Seul Pat peut te répondre. Puis il ajouta quelque chose qui attira toute mon attention.

Tu sais, Pat pose aussi a des tas de questions sur toi.

Je me demandais alors s’il se doutait de quelque chose.

Mais quand je regardais vers lui pour lire dans son regard, il était déjà concentré sur sa recette. Et je ne voulais pas aller plus loin dans cette conversation. Trop risqué.

Quoi qu’il en soit, de nombreuses questions se bousculaient dans ma tête.

Depuis quand Pat se renseigne sur moi ? Pourquoi ? Que voulait-il savoir ?

Pourquoi ne m’a-t-il pas directement demandé ce qu’il voulait savoir, comme il le faisait toujours avant ?

J’étais alors persuadée qu’il fantasmait lui aussi pour moi.

Il me fallait absolument conquérir ce bel homme.

Les choses s’étaient précipitées un certain dimanche. Nous avions programmé une journée de détente entre amis, à la maison.

Il y aurait Arnaud et moi bien sûr, Pat et quelques amis proches.

Comme d’habitude, Pat m’aidait pour les courses.

Tout se déroulait plutôt normalement. Si l’on fait abstraction du fait que je ne faisais que le dévorer du regard, pendant qu’il poussait le caddie devant moi…

Ce jour-là, j’avais décidé d’être plus subtile dans ma démarche.

J’allais me montrer moins bavarde.

Pat n’avait d’ailleurs pas manqué de me le faire remarquer. Il n’arrêtait pas de me demander si tout allait bien ou si quelque chose me tracassait.

À chaque fois je lui rétorquais que tout allait bien, tout en faisant attention de fuir un peu son regard.

Ma démarche fonctionnait.

Oui, car il faisait de plus en plus attention. Il finit même
par mettre une main sur ma hanche, comme pour me rassurer.

Ce simple contact était brûlant.

Mais j’ai décidé de rester stoïque pour qu’il se mette à me désirer à son tour.

En arrivant à la voiture, il m’avait tenu la portière avant de disposer les affaires à l’arrière puis se mit derrière le volant.

Au lieu de démarrer, il avait brusquement placé sa main sur ma main en me demandant encore une fois ce que j’avais vraiment.

Comme un enfant qui boude, il m’assurait qu’on allait rester à cet endroit pour l’éternité si je ne lui partageais pas mes tourments.

Je ne m’attendais pas du tout à la réaction de Pat.

Sa main était maintenant en train de caresser la mienne et mon cœur battait à la chamade. Je voulais tellement
de choses qui me feraient certainement du bien.

Qu’il caresse les parties intimes de mon corps par exemple.

Ma chatte commençait d’ailleurs à s’humidifier dangereusement.

Il s’en faudrait de peu pour que je lui saute littéralement dessus.

Pat avait sûrement remarqué que je tremblais un peu.

Comment devrais-je alors agir ? Qu’attendait-il de moi ? Et moi, pourquoi je ne lui exprimerais pas mon désir fou ?

N’était-ce pas l’occasion tant rêvée pour cela ?

Cependant, nous restions là sans rien dire, sans rien faire comme s’il fallait franchir un énorme pas pour nous rapprocher davantage.

Pat finit par briser la glace en me disant lentement.

Tu sais…Carole… Je te veux aussi… Tellement.

Ensuite, il se tourna vers moi et m’embrassa avec passion tout en passant les mains dans mes cheveux.

Et, tout aussi soudainement, l’air de rien, il retira sa
main, démarra la voiture, puis nous regagnions la maison.

À l’intérieur de moi, je bouillonnais, j’avais envie de danser.

Je me sentais heureuse. Et surtout surexcitée.

Ce que j’ai entendu dans la voiture sur le parking du supermarché, c’était bien réel. Je l’interprétais comme un désir réciproque.

Ce dimanche fut vraiment magnifique.

Pendant toute la journée, je virevoltais parmi nos amis, à faire ma belle.

J’étais d’excellente humeur. À la fin de la journée, il fallait ramener nos amis chez eux.

Arnaud allait s’en charger pendant que Pat et moi allions ranger. Cela lui prendrait plus d’une heure aller retour.

Je savais déjà ce que j’allais faire.

Alors que la voiture d’Arnaud s’éloignait et que mes amis me faisaient des signes de la main tout en criant « À bientôt », je n’avais qu’une idée en tête.

Dès que l’auto n’était plus visible, j’entraînais précipitamment Pat à l’intérieur.

Adieu la démarche subtile. Ce n’était plus le moment pour ça.

Lorsque nous fûmes à l’abri des regards indiscrets, dans notre chambre d’amis, Pat m’embrassa fougueusement.

Nous ne disions plus rien. Nos gestes parlaient
à notre place. Bientôt nous n’avions plus aucun vêtement sur nous.

Pat me pris sauvagement, parcourait mon corps en transe, je l’invitais à me baiser, d’enfoncer sa queue dans ma chatte, de faire ce qu’il voulait de moi, que mon corps lui appartenait.

C’est moi qui ai insisté pour qu’il me sodomise, ce que je
n’avais jamais proposé à mon mari.

Le final fut sublime.

Il s’était mis dans la position de l’athlète qui fait des pompes, sa queue plantée dans ma bouche.

Elle resta là, à se vider de sa semence.

Ce fut un moment intense, à la hauteur de ce que
j’attendais.

Le plaisir était bien au rendez-vous.

Nous n’avions plus la notion de temps.

Nous étions suspendus quelque part où la volupté nous consumait.

Nous nous sommes rhabillés, me rendis compte qu’il s’était passé une bonne heure depuis qu’on avait commencé notre relation.

C’est la tête dans les nuages que nous rangions finalement la maison.

J’étais persuadée que ce n’était que le premier épisode d’une palpitante aventure.


Publié

dans

,

par

Étiquettes :

Commentaires

Laisser un commentaire