Une histoire vraie qui m’est arrivée il y a quelques mois, en automne 2023.
Un vendredi, par un bel après-midi, short, petite veste légère, j’ai enfourché mon scooter pour aller à ma banque, située en périphérie de la ville, à quelques minutes
de mon domicile, afin de retirer de l’argent au DAB.
J’ai parqué mon engin devant mon agence bancaire, déposé sous le siège casque et gants, et suis rentré dans l’établissement faire le plein de billets.
De retour vers mon 2 roues, je m’affuble du casque et au moment d’enfiler les gants une jeune femme s’approche de moi, me fait un grand sourire et m’adresse un chaleureux bonjour avec un accent étranger que je n’ai pas pu identifier.
Elle devait avoir environ 30 ans, légèrement potelée, vêtue d’une mini-jupe de cuir noir, d’un petit « top » blanc, bien moulant et échancré à souhait, laissant déborder par le décolleté une généreuse poitrine.
La finesse de son « top » laissait entrevoir la pointe de ses tétons, excitant à souhait.
J’étais surpris et curieux par cette interpellation et je lui demandé ce qu’elle voulait et quel était le but de sa démarche.
- Je voudrais grimper sur ton scooter et venir avec toi ? me dit-elle
- Où dois-tu aller ? lui répondis-je
- N’importe où, je ne suis jamais montée sur un scooter et je voudrais bien faire ma première expérience.
- Je vais au centre-ville, chez mon coiffeur, alors si tu n’as pas peur et que le centre-ville te convient comme destination, alors je veux bien t’emmener.
- D’accord !!! Me dit-elle, avec un sourire et un enthousiasme telle une petite fille impatiente de faire son premier tour de manège.
J’habite à quelques kilomètres et je l’aurais bien amenée chez moi au lieu d’aller chez le coiffeur, mais malheureusement, ma femme et ma fille se trouvaient à la
maison.
J’ai donc décidé de jouer le jeu et de l’embarquer avec mon scooter, curieux de connaître la suite et la fin de cette idylle.
Je l’ai donc affublée du second casque stocké dans le « top-case », l’ai fait grimper à l’arrière du siège et nous voilà partis.
En enjambant le véhicule, j’ai eu tout loisir d’admirer sa petite culotte blanche, qu’elle n’a visiblement pas cherché à masquer.
Tellement surpris, ému et déstabilisé par cette situation que je me suis retrouvé complètement désorienté, géographiquement parlant.
Derrière moi, je sentais cette jolie brune, cheveux au vent qui s’accrochait à ma taille, qui collait ses seins contre mes omoplates et qui, par-dessus mon épaule, me disait :
- Hummm c’est chouette, c’est bon, ça me donne des envies
Toujours troublé et tout de même un peu sur la défensive, je décidais, tout en roulant, de ma main gauche, de lui caresser le mollet et de remonter légèrement le long de sa cuisse, histoire de savoir si c’était du lard ou du cochon.
La réaction fut positive.
Elle écarta légèrement sa jambe, me laissant ainsi, après l’extérieure, passer ma main à l’intérieure de sa cuisse. Impossible d’accéder à la petite culotte en conduisant.
Autant vous dire que mon boxer commençait à gémir et que ma queue commençait à réclamer de la liberté et de la pitance.
A plusieurs reprises ses bras et ses mains qui entouraient mon torse sont descendus au niveau de mon entre-jambe, et la belle inconnue, en tâtonnant, a bien interprété le
renflement de mon pantalon.
Quelle tournure allait prendre cette aventure ?
Je vais arriver au centre-ville, elle va descendre, je vais lui demander ses coordonnées pour tenter de la revoir, je vais aller me faire couper les cheveux, et voilà…..
Sur une grande place, près du lac, j’ai stoppé mon engin, fait descendre ma passagère, aperçu à nouveau sa culotte blanche, ôté mon casque et récupéré le sien.
Impossible d’obtenir son numéro de téléphone ou son adresse, et vu son français bancal, la communication était mal barrée et la revoir s’annonçait plutôt difficile.
Collée contre moi, chaude comme une allumette, elle m’a demandé de parquer mon scoot. Puis elle m’a dit :
- Viens, tu m’as fait plaisir en emmenant pour la première fois en scooter, je veux te faire plaisir, moi aussi. Viens avec moi.
Je l’ai déposée dans l’endroit de mon choix, près de mon coiffeur, peu chance de tomber dans un piège.
Nous sommes partis à pied, elle toujours collée à moi, et dans une rue adjacente elle m’a fait entrer dans la première entrée trouvée non verrouillée.
Au bout du couloir, les boîtes à lettres, la cage d’ascenseur et un escalier qui descend à la cave. Au bas des marches, à l’abri des locataires qui entrent et qui sortent, elle s’est jetée sur moi comme une chienne sevrée depuis des années.
Elle a roulé son petit « top » blanc au niveau des aisselles, me dévoilant deux magnifiques obus, les tétons fermes pointés vers l’avant.
Je n’ai pas hésité à les pétrir et les mordiller.
Plus je les pétrissais, plus je les mordillais plus elle gloussait
d’aise. Une chienne en chaleur.
Je ne vous dis pas dans quel état était ma queue. Elle n’avait qu’un seul désir : bondir hors de sa boîte, hors de son confinement.
Pendant que je lui pelotais les nichons et qu’elle gémissait légèrement, nous avons été freinés par les mouvements de l’ascenseur. Nous étions vraiment pas en toute sécurité, ça aurait pu tourner mal. Puis le silence est revenu.
Nous continuions de nous embrasser goulûment, à nous chauffer à blanc, et pendant ce temps, elle s’est attaquée à ma ceinture, mon pantalon, mon boxer.
La bête a jailli de sa cage, une ogive dressée vers le ciel.
Sa tête était déjà toute tuméfiée, prête à l’emploi et ça n’a pas traîné.
Je suis remonté quelques marches d’escalier et me suis assis, ainsi elle a pu me masturber d’abord, doucement, délicatement.
- Quel bel outil, comme elle est dure, je ne peux pas résister. Je peux ? dit-elle en se léchant les lèvres.
Je lui fis un OUI de la tête.
Elle s’est agenouillée en contrebas et a attaqué la « bête » d’abord avec le bout la langue, avec beaucoup de délicatesse, de tendresse et de savoir-faire.
Ensuite elle l’a engloutie dans sa bouche puis dans sa gorge.
J’étais au bord de l’explosion. Je faisais diversion dans ma tête, histoire de ne pas jouir tout de suite. Mes couilles
étaient en ébullition, prêtes à exploser.
Je suis redescendu d’une marche afin de pouvoir glisser ma main dans son entrejambe et accéder à sa petite culotte.
Whaouah !!! Elle était trempée.
Ce contact avec cette culotte et ce sexe détrempé m’a donné une énergie à tout rompre. Il fallait que
je lèche cette chatte et surtout que j’y fourre mon dard.
J’ai attrapé ces fesses bien rondes et bien charnues et surtout fermes et en l’approchant de mon visage j’en ai profité pour laisser mon index parcourir sa fente et
titiller la rosace de son petit trou.
J’ai même appuyé légèrement et mon doigt est
rentré très facilement. Elle a aimé et je crois que la sodomie est un réel plaisir pour elle.
La peau de ses fesses est douce comme du velours, un vrai régal. J’ai hâte d’en découdre.
Après avoir laissé passer une nouvelle alerte (bruit de pas dans l’allée et ascenseur) nous avons échangé nos places et nos rôles.
Moi, en contre-bas, je me suis attaqué à son intimité.
En écartant sa petite culotte blanche, détrempée, j’ai fait la connaissance d’un beau fruit, velouté comme une pêche, totalement épilé, rose, de fines lèvres ondulées entouraient et gardaient l’entrée de sa grotte dégoulinante. Une pure merveille.
Je me suis jeté sur ce triangle de chair, affamé, assoiffé, tel un rapace sur sa proie. Dieu que c’était bon.
Je me suis régalé de sa mouille jusqu’aux oreilles et quand j’ai commencé à téter, à titiller, mordiller exacerber son petit bouton, là j’ai compris que j’avais mis le « doigt » sur sa partie ultra-sensible.
Comme c’était bon.
Il n’a pas fallu plus de 2 minutes pour déclencher chez ma ravissante inconnue un jet de cyprine magistral, tout ça dans un râle à peine étouffé.
Là j’ai compris que j’avais fait le « job » avec les honneurs.
De mon côté, j’avais les couilles et la queue en feu.
L’entrepôt de ma « foutrefactory » était rempli à ras bord.
Il fallait que ça gicle. La cote d’alerte allait être atteinte.
C’est à ce moment que ma passagère inconnue, ma petite salope, m’a pris dans sa bouche, m’a avalé de nouveau et m’a pompé énergiquement, et croyez-moi, ça n’a
pas duré longtemps.
Il m’a fallu à peine une minute pour envoyer la sauce et lui
remplir la bouche. J’ai étouffé mon « ahhhhhh » de satisfaction, de peur d’ameuter l’immeuble.
J’aurais pu bramer comme un cerf, tellement c’était intense.
- Humm c’est bon, c’est sucré a-t-elle balbutié, la bouche pleine et dégoulinante.
Avec un large sourire et des étoiles plein les yeux j’ai répondu :
- Oui, pour moi aussi
Et nous nous sommes serrés, l’un contre l’autre, nos lèvres se sont rejointes, nos langues se sont mélangées, sucées, mordillées, fouillées, le tout pimenté à l’arôme spermatozoïde, toujours présent dans sa bouche.
J’aurais aimé la baiser, la revoir, mais c’était hors de question.
Je n’ai jamais su d’où elle venait et comment elle s’appelait.
C’est sûrement mieux comme ça.
Une liaison aurait été fatale pour ma famille.
Je sais seulement deux choses : la première c’est que c’était absolument sublime et la deuxième c’est que, pendant nos ébats, elle m’a fait les poches et qu’elle s’est
tirée avec l’argent que j’avais retiré au DAB une heure plus tôt.
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