Voici un récit qui pourrait vous plaire.
Il pourrait m’arriver en tant que soumise d’être joueuse avec mon maître.
En effet, je pourrais parfaitement imaginer sortir de la douche uniquement vêtu d’une serviette, dans l’espoir d’attirer votre attention. Mais étant comme dit précédemment joueuse, je ferai en sorte que le tissu laisse apparaitre quelques parties de ma peau qui pourrait attirer votre regard.
Je me ferai ainsi désirer.
Néanmoins, ce qu’il ne faut pas oublier, c’est que chaque centimètres de ma peau vous appartient.
C’est pourquoi, ainsi vêtu et énervé par mon comportement d’aguicheuse, c’est avec une voix naturelle et sur d’elle que vous me demander :
« Retire ce que tu as sur toi, et mets toi à genoux au pied du lit ».
Surprise par votre comportement direct et dans l’hésitation de mes actes, je répondrai simplement :
« euhhh comment ça ».
Ce à quoi vous rétorquerez : » Tu attends quoi ! »
Sous un ton autoritaire de votre part je ne me pose plus de questions.
Je retire la serviette qui entoure mon corps et je m’exécute.
Je viens ainsi m’asseoir sur le bord du lit à genoux comme en indique la consigne.
Vous serez ainsi là, à me regarder satisfait de votre pouvoir.
Pendant un instant aucun bruit, et aucun mouvement ne résonne dans la pièce. Ce silence m’angoisse, ces quelques secondes me permettent d’imaginer ce qu’il va ensuite se passer.
Je suis là, exposé comme on expose un objet d’art et malgré mes yeux fermés je sens votre regard se poser sur mon corps.
Je dois l’avouer me sentir ainsi observé n’est pas sans me déplaire.
Je vous entends bouger mais n’ose pas ouvrir mes yeux.
Je sens un mouvement autour de ma tête et sent un morceau de tissu venir couvrir mes yeux.
Je sent, votre bouche frôler la peau de mou cou et votre souffle dans mon oreille. Vous me dites simplement :
« si tu fais ce que je te demande, tout ira bien ».
Je me mord alors délicatement les lèvres, je me surprends à être excitée par cette situation.
Un nouveau silence s’installe dans la pièce.
Avant d’entendre la boucle de votre ceinture s’ouvrir. Je comprends alors que vous êtes en train de vous déshabiller. Mon souffle s’accélère et la façon dont j’avale ma salive ne laisse aucun doute quant à mon excitation.
Je sens votre sexe se poser sur ma bouche. J’écarte alors délicatement mes lèvres et vous saisissez cette occasion pour enfoncer votre sexe directement au fond de ma gorge.
Vous effectuez ainsi plusieurs va-et-vient et à chacun d’eux je m’étouffe légèrement.
Entant que soumise je sais parfaitement quel est mon rôle dans ce genre de situation et quelle est la posture à adopter.
C’est pourquoi sans plus tarder et comprenant mon sort je place mes mains croisées dans le dos.
Je sais parfaitement qu’il est nécessaire de satisfaire mon maître, si j’ose espérer recevoir une récompense.
C’est pourquoi je m’applique parfaitement à entourer de mes lèvres votre queue et à effectuer des mouvements régulier.
La situation serait assez humiliante, je serai ainsi exposé et de la salive coulait tout le long de mon cou jusqu’à mes seins.
Vous entourer mon cou de vos mains pour accompagner mes vas et viens.
Je sentirai ainsi votre corps durcir en moi. Et secondes après secondes votre agressivité accroissante serait le reflet de votre excitation.
Il arrive alors de tourner la tête au moment où vous souhaitez remettre votre sexe dans ma bouche. Une simple petite gifle sur mes joues sert alors à me remettre en position de petite soumise.
Satisfait par mon comportement certes pas exemplaire mais correct, vous décidez de m’accorder une petite récompense.
Je profite de vos quelques secondes d’absence pour reprendre mon souffle.
Vous venez déposer un jouet entre mes cuisses et vous me demandez :
« assis toi dessus et ne bouge plus ».
Je ne reconnais pas l’objet en question.
Mais je comprends à la seconde où vous l’allumez qu’il s’agit d’un vibromasseur.
Vous me demandez alors de ne pas être distraite par celui-ci et de reprendre correctement mes actes. Je reprends alors ma fellation mais je ne peux ignorer cette sensation entre mes jambes.
Je m’applique alors à exécuter correctement mes gestes, mais chaque va et vient est plus difficile que le précédent et je peine à rester en place.
Me voir ainsi en difficulté vous satisfait et vous décidez de remonter l’intensité de ce jouet avant d’ajouter :
« ne jouis pas, je suis claire ? … »
« Ne mets pas ton maître en colère, tu pourrais le regretter ».
J’ai de plus de mal à exercer mes mouvements et mes cuisses se mettent à trembler sans que je puisse les contrôler.
Je ne suis plus moi-même envahie par cette chaleur qui traverse tout mon corps.
J’arrive à peine à garder la bouche ouverte.
Malgré les gifles que vous m’infligez je ne suis plus là et je n’arrive plus à reprendre ma concentration.
Mon unique pensée va vers mon objectif de ne pas jouir.
Insatisfaits par la situation, vous décidez de tout arrêter. Il est difficile pour une soumise de ne pas jouir lorsqu’on en a envie mais il est encore plus difficile de devoir tout arrêter d’un coup et de voir que l’on déçoit son maître.
Vous me demandez alors de m’allonger sur le lit et d’écarter les jambes. Mon visage, aux yeux toujours masqué, pend dans le vide.
Quelques coups de cravache viennent alors se poser sur mon corps. À chaque fois c’est la même sensation, je ne peux distinguer la douleur de l’excitation.
Les coups qui s’abattent sur moi ne cessent pas.
Et vous décidez de me prendre par surprise et d’enfoncer, une fois de plus, votre sexe au fond de ma bouche.
Vous me redonnez le jouet et me dites :
« les consignes sont claires. Je te laisse utiliser le jouet à ta guise. Mais par contre tu jouis uniquement quand j’ai jouis »
« Mon plaisir passe avant le tien ».
Cette fois-ci c’est encore plus difficile que la fois précédente.
Et pour une fois c’est moi qui contrôle mes gestes puisque c’est moi qui détient l’objet entre mes mains.
Alors à chaque fois que je suis sur le point d’atteindre l’orgasme. Je dois tout arrêter le temps de reprendre ma respiration.
Me voir ainsi ruiner chacun de mes orgasmes moi-même vous permet d’admirer à quel point je suis docile. Je ne peux pas m’empêcher de gémir malgré ma bouche occupée.
Vous décidez alors de retirer le bandeau de mes yeux pour voir à quel point mon regard de petite chienne se pose sur votre corps.
Mon regard vers vos yeux et celui d’une soumise humiliee et dévoué.
Cette fois-ci je n’en peux plus. Malgré mes arrêts répétitifs, je ne peux pas me retenir longtemps.
À chaque fois que je repose le jouer sur mon corps il ne me faut pas plus de 3 ou 4 secondes pour être sur le point d’atteindre l’orgasme.
Malgré l’interdiction de bouger, je ne peux me contenir en place.
Mon regard vers vous implore de la pitié.
Je ne parle pas, mais mon corps lui, parle. Et vous comprenez vite qu’il ne me reste pas longtemps avant de bravir l’interdit.
Vous utilisez alors ma bouche comme un simple jouet.
Voir même comment vous utiliseriez mon sexe. Vos vas et viens sont toujours plus profonds. Et vos mains entourent toujours mon cou comme pour me rappeler, une fois de plus, qui domine ici.
Votre sexe sort de ma bouche et je comprends alors que je pourrais bientôt avoir ma réponse.
Je sens chaque va-et-vient de votre main sur votre queue. Et les secondes qui me séparent de la jouissance me paraissent longues.
Mais je sens enfin vôtre liquide couler tout le long de mon visage. Je ne peux m’empêcher d’ouvrir la bouche.
Au moment même ou la première goutte coule sur mon visage. J’atteins l’orgasme.
Je ne peux être discrète et mon corps bouge dans tous les sens.
Je me sens enfin libérée et envahie d’une sérénité inégalable.
Mes yeux restent fermés et je sens votre corps venir se poser contre le mien.
Nous sommes fatigués alors personne ne parle.
Il nous faudra quelques minutes avant de reprendre notre esprit
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