En face d’elle fut placée une photo de son adoré.
Sur le sol fut étendu un tapis de velours.
Avec ses yeux mi-clos elle regarda la photo accolée contre le mûr. Elle sentait la présence de celui qui lui fit sentir « FEMME » depuis un certain temps.
En partant celui-ci était nu comme un verre lors de cette séance de prise de photo lors de la dernière sortie amoureuse.
A genoux sur le tapis, elle dénoua la serviette de bain de couleur bleue qui entourait son splendide corps.
Elle commença alors à caresser ses voluptueux seins.
Sans tarder elle prit un flacon contenant de l’huile de palme, elle versa quelques gouttes sur son pubis dépourvu de poils.
Elle fit glisser doucement cette huile sur sa vulve avec sa main droite.
De son vagin charnu et volumineux sortait déjà un liquide visqueux vers son périnée long de quelques millimètres. De la même main, elle frotta grande et petite lèvres.
Le liquide se malaxa avec l’huile de palme, composant alors une pâte de couleur blanchâtre qui ne cessa d’augmenter de volume au fur à mesure que la manœuvre se poursuivi.
Sur son visage se dessina un rictus décrivant un plaisir intense. Elle s’appuya contre le mûr situé en face de la photo.
De la main gauche, elle caressa ses seins en frottant suavement les mamelons à laide de se deux doigts et par moment souleva ses seins vers le haut comme si elle voulait les placer dans la bouche de son amoureux qui était physiquement absent mais virtuellement présent.
Cependant elle ne cessa point son manœuvre au niveau du bas ventre.
Elle se mit à frotter le clitoris avec son pouce tandis que les deux doigts voisins firent un va-et-vient permanent dans l’orifice vaginal. Elle varia le rythme.
Tantôt brusque, tantôt léger les deux procuraient chacun un plaisir propre à lui.
Dans sa tête, un seul désir revivre les bons moments passé au lit avec son champion. Elle se trémoussa maladroitement sur le tapis au rythme de ses doigts dans sa chatte.
La chambre fut emplie d’une odeur typique au sexe sans qu’elle ne se rendait même pas compte.
Son seul désir était de se satisfaire en pensant à celui qui ne cessa de lui plaire et qui était physiquement si loin de lui. C’est au bon milieu de cette danse solitaire que l’orgasme fit son apparition.
Elle se serra alors les jambes entre elles et en se fermant les yeux.
Elle serra les dents afin d’éviter de pousser le cri strident qui voulut sortir de ses entrailles.
Elle trembla de la tête au pied, elle frémissait d’une chair de poule de la tête aux pieds.
Du même coup, le tapis fut souillé du liquide blanchâtre qui sortait de sa chatte pendant que sa main droite fut complètement mouillée.
Comblé de fatigue, elle s’immobilisa quelques minutes sur le tapis avant de prendre la direction de la douche pour se laver.
JGA
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