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Rando Lotoise

Un matin, de bonne heure, aprés lui avoir prodigué sa fellation matinal et pris mes vitamines masculine, nous partons en rando pour un petit circuit de châteaux et vieilles demeures.

Il fait un temps radieux, même si le matin est encore un peu frais.

Pour la rando, je porte un mini short et un top en tout et pour tout.

Le chemin est désert et nous profitons des odeurs et du chant des oiseaux.

Nous sommes seules au monde dans ce cadre idyllique.

Aprés une heure de marche, nous entrons dans des ruines médiévales. Je regarde mon homme en souriant légèrement. Je suis luisante de transpiration et je vois bien qu’il me mate avec une envie certaine.

Je sens mes désirs remonter en moi.

Alain glisse sa main dans la mienne et me bloque contre un mur mousseux sentant fort l’humus, m’empêchant de m’enfuir. Comme si j’en avais l’intention.

Je suis délicieusement prise au piège et sens la raideur de ses envies contre mon ventre.

Dans ce cadre médiéval en ruine, je joue l’ingénue qui doit se plier aux désirs du seigneur des lieux. Je vais être sienne à nouveau, encore une fois et mon imagination divague.

Je sens l’excitation m’envahir sans aucune pudeur.

Pourquoi en aurais-je d’ailleurs ?

Et puis il n’y a pas âme qui vive ici.

Peut-être juste des fantômes voyeurs ou autre ecclésiastiques vicieux.

Mon mari me fouille et me débarrasse du peu de vêtement que je porte pour ensuite calés contre ce mur me couvrir de baiser.

Il me serre tellement fort que je sens son sexe en érection alors qu’il me malaxe frénétiquement mes seins qu’il embrasse avec une sorte de sauvagerie qui colle avec ces lieux.

Les suçons dans mon cou et sur mes seins m’électrisent.

Il se fou à poil et je ne me lasse pas d’admirer sa tige tendue pour moi.

Ses mains empoignent mes fesses pour rapprocher ma vulve en feu de son pénis gonflé de sang. Je suis déterminée à le laisser prendre son droit de cuissage.

Je vais m’offrir à lui sans restriction. Je sais que dans ces ruines notre corps à corps charnel va être exceptionnel.

Dès que je sens son souffle sur ma chatte humide, je poussais un cri de plaisir et je me cambre pour présenter mon clitoris à sa langue agile.

Plus sa langue joue avec, plus ses doigts s’enfoncent dans mon intimité juteuse, plus j’ai envie de sa bite en moi.

Un cri plus aiguë dans mes râles lui fait comprendre que je viens de jouir sur sa bouche.

Il se redresse et frotte son sexe tendu entre mes lèvres charnues.

La pénétration semble imminente et je le supplie de me pourfendre comme un rustre.

Mais il me prend les cheveux et me force à me courber pour que je prenne sa grosse bite dans ma bouche.

Je joue l’oie blanche effarouchée et ça l’amuse.

Alors en mâle dominant, il force l’entrée et je me met à le pomper avec un plaisir sans nom.

Je le prend en entier dans ma bouche salivante, puis le met entre mes gros seins pour une cravate de notaire avant de le reprendre dans ma bouche pour une savante gorge profonde en malaxant ses grosses couilles de taureau en rut.

Je joue avec ma langue qui courre le long de sa hampe puis mes lèvres aspirent son gland turgescent.

Mais il se retire de ma bouche pulpeuse pour ne pas jouir trop tôt et en me retournant, je me cambre et prend appuie contre les pierres ancestrales attendant le bon vouloir du Maître pour la pénétration de sa femelle en chaleur.

Toute excitée d’être à sa merci comme pouvaient l’être les servantes du seigneur de ces lieux, j’écartes plus mes jambes pour qu’il entre plus facilement en moi.

Sa pénétration est à la hauteur de mes espérances dans des va et vient bestiaux. Ses coups de boutoir sont accompagnés de claque qui résonne en ces murs et me chauffe divinement les fesses.

Gémissante, criant, je griffe la pierre dans une jouissance qui monte en moi.

« Défonce moi bien mon salop ! J’adore ta queue qui me remplie si bien ! »

Mes mamelles se balance en tout sens sous sa saillie bestiale.

Je ne suis plus qu’une chienne en chaleur qui veut se faire engrosser par son mâle. Peut importe qu’on nous entende, le plaisir est trop intense.

Je suis en transe, en sueur, mes hurlement envoûtent cette ruine castrale à l’arrivée d’un puissant orgasme.

Je suis prise de spasme comme en transe sexuelle lorsque j’atteins le 7ème ciel.

Dans un état second, comme par un automatisme de bonne femelle, je sens qu’il va jouir.

Je me dégage presque à regret de sa grosse queue prête à cracher son jus pour la prendre dans ma bouche et la masturber comme une folle.

Presque instantanément, il éjacule dans un grognement libérateur et force ma tête à le prendre plus profond en moi.

Sa jouissance est extrême.

Il gicle une telle quantité de sperme que j’ai bien du mal à endiguer tout ce flot crémeux.

Nous restons quelques instant sans nous parler, haletant lorsque nous entendons des voix non loin de nous.

Nous nous réajustons en vitesse et reprenons notre randonnée les jambes en coton.

J’adore ce genre de rando.


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