Nous n’avions jamais reçu de partenaires de jeux sexuels à notre domicile, elles se faisaient souvent à l’hôtel ou en sauna libertin.
Mais c’est à la suite d’une aventure décevante que nous avons décidé d’inviter un ancien compagnon de jeu chez nous. Je vous résume en quelques lignes notre déconvenue qui a provoqué cette décision.
Présent sur un site de rencontres libertines sur lequel nous avions fait quelques rencontres, j’avais pris contact avec un jeune homme d’une vingtaine d’années (nous avions la trentaine à l’époque). Courtois, physique agréable, il se disait généreusement pourvu.
Attisant ma curiosité, j’en parlais à ma compagne, celle-ci se montrait intéressée à son tour.
Un beau jeune homme avec une belle queue, ça ne se refuse pas ! Je lui donnais donc rendez-vous quelques jours plus tard dans l’hôtel où nous avions nos habitudes. Je réservais comme d’habitude une chambre du dernier étage, de celles qui possèdent une mezzanine.
Le jour J arriva, à 19h, nous prenons possession de la chambre, notre jeune ami devait nous rejoindre une heure plus tard, ce qui nous laissait un peu de temps pour nous préparer.
Syl s’enferma dans la salle de bain pour se changer, quant à moi, je montais à l’étage supérieur, la mezzanine avait deux lits « single » séparés que je collais ensemble, sur la table de chevet, je posais l’appareil photo pour pouvoir immortaliser les ébats.
Je tirai les rideaux, et redescendis pour attendre ma belle.
Au bout de quelques minutes, la porte de la SDB s’ouvrit, Syl sortit en porte-jarretelles, shorty, bas noirs, talons hauts, et un bustier assorti, elle s’était maquillée parfaitement, son parfum emplit la pièce immédiatement.
Elle était ultra sexy, à ne pas en douter, elle voulait marquer l’esprit du jeune étalon.
Je l’embrassais dans le cou en la complimentant.
Il était presque 20h, notre impatience était à son comble, comme d’habitude, lors de ce genre de RDV, l’appréhension d’un « lapin » nous vient à l’esprit (ça s’est déjà passé).
Le jeune que nous appellerons Nicolas, devait m’envoyer un SMS à son arrivée afin que je lui envoie le code pour entrer dans l’hôtel.
Après quelques minutes de retard, je reçois le message de Nicolas « Je suis en bas », je lui envoie le code d’accès, ma femme, comme prévu monte l’escalier afin d’attendre dans la mezzanine.
Elle monte lentement, afin que je profite de ce moment, et que je regarde son fessier grimper les quelques marches.
Alors que je lui demande si elle est bien installée (je ne sais pas quelle position elle a choisie, à ce moment-là, je sais juste qu’elle a posé un bandeau sur ses yeux afin de ne pas croiser le regard de son amant d’un soir), j’entends frapper à la porte de la chambre.
Je vais ouvrir, Nicolas se tient devant moi, une vingtaine d’années en effet, assez grand, propre, et tenue correcte (ce qui est assez rare malheureusement), je lui serre la main et le fait entrer.
Je sens son malaise lorsqu’il se rend compte que je suis seul dans la pièce, je le rassure de suite en lui indiquant que Syl est à l’étage supérieur : « Ma femme est en haut, elle t’attend, tu peux monter la rejoindre », intimidé, il pose un pied sur la première marche, puis grimpe lentement les autres jusqu’à la dernière, il me jette un dernier regard afin d’être sûr de mon approbation.
Je suis resté en bas en le regardant, je lui souris et fais un signe de la tête pour le rassurer.
Il tourne sa tête et adresse un bonsoir poli à celle qui l’attendais, j’entends un « bonsoir « en retour émanant de sa maîtresse du jour.
De là où je me tiens, je peux apercevoir Nicolas debout devant le lit, je vois les jambes de ma légitime, elle est assise sur le bord du matelas et ses bras la maintiennent en arrière. Je vois Nicolas se pencher pour embrasser la jolie brune dans le cou (je lui avais dit lors de nos échanges sur le tchat du site internet que nous ne voulions pas de baisers sur la bouche), il s’est décalé sur le côté, intentionnellement ou non, je ne peux plus voir ma femme.
J’en profite pour me déshabiller, l’oreille toujours tendue vers le haut de l’escalier, j’entends des petits gémissements féminins, ma coquine a l’air d’apprécier ce début de soirée. Lorsque je me retrouve en boxer, je décide de les rejoindre.
Je monte lentement à mon tour les marches afin de ne pas effrayer notre jeune ami. Lorsque j’arrive sur la mezzanine, je vois Syl, assise sur le lit, la tête en arrière, ses mains posées sur la tête de Nicolas, celle-ci étant entre ses cuisses.
Nicolas à genoux, m’a entendu, il tourne la tête vers moi, son visage humide est couvert de cyprine, je lui fais signe de la main de continuer, il ne se fait pas prier et replonge sa langue dans la chatte de la belle qui gémit de nouveau.
Nicolas est jeune mais semble avoir de l’expérience, les lents mouvements de tête de ma femme semblent en témoigner. Je m’approche d’elle, je m’assois à ses côtés, je lui embrasse l’épaule, elle tourne la tête en ma direction, je l’embrasse à pleine bouche, ses mains caressent toujours la chevelure de Nicolas.
Il a posé ses mains sur les cuisses de cette femme impudique qui lui offre son intimité, elles remontent vers ses seins, et redescendent vers son fessier.
Syl a descendu mon caleçon et me branle, mon excitation est à son maximum quand le jeune mec se relève, il se déshabille à son tour, il se retrouve en slip, face à nous.
Ma femme aveuglée par son bandeau, ne peut voir ce que je devine derrière ce morceau de tissus.
Il prend les mains de la jolie coquine et les posent sur son slip, il se rapproche d’elle, toujours assise sur le lit, ses mains font glisser le sous-vêtement jusqu’aux pieds.
Ce que je devinais est bien réel, Nicolas à une belle queue, longue et bien dessinée, elle est dressée face à Syl qui remontent ses mains le long des jambes du bellâtre, comme si elle voulait faire durer le plaisir, sa main droite enserre la bite de Nicolas, je vois un sourire sur le visage de ma femme.
Elle le branle, sa main faisant de lents va-et-vient sur ce sexe prometteur.
Nicolas en veut plus, il le fait savoir, son braquemard n’étant qu’à quelques centimètres de la bouche de Syl, il pose une main sur sa tête et la guide, elle ouvre la bouche, passe la langue sur son gland violacé, puis enfourne cette tige de chair.
Nicolas lâche un râle de plaisir, une femme de 30 ans, sexy et gourmande le suce devant son mec, ça ne le gêne nullement.
Je regarde ma concubine, la bouche déformée par une bite de belle taille, je l’embrasse sur les seins et dans le cou, mes doigts se sont immiscés en elle, sa chatte est trempée, c’est sûr, cette queue lui fait de l’effet.
Elle veut en profiter, elle lâche son joujou, se relève, puis de façon ultra provocante, elle se met à quatre pattes sur le lit, ses mains me cherchent, je me rapproche d’elles, je me mets à genou face à elle, et me prend en bouche à mon tour. Elle se cambre au maximum afin de monter à son amant d’un soir sa salle de jeu, impudique, elle attend que Nicolas la possède.
Et c’est à ce moment là que tout s’est arrêté, il nous demande un préservatif, nous lui répondons que nous n’en avons pas et que la coutume veut que ce soit l’invité qui en amène.
Frustrés, nous ferons l’amour tous les deux devant lui, le laissant avec une érection prometteuse mais décevante.
C’est suite à cela que nous avons décidé d’appeler un ancien compagnon de jeu, nous savions que nous ne serions pas déçus.
Nous avions décidé de le faire venir chez nous.
Nous l’avions convié un samedi après-midi.
Je devais aller le chercher en voiture à la sortie du péage. Je pris donc la route, laissant ma femme se préparer.
Comme d’habitude j’arrivais en avance, et mon RDV avait du retard. Au bout d’un quart d’heure, il arrive enfin, il laisse sa voiture sur le parking et monte dans la mienne, je l’emmène.
Sur le chemin, il me confie qu’il a gardé un excellent souvenir de notre rencontre dans un sauna, et que ma femme est un « sacré coup ».
Quinze minutes plus tard, nous arrivons à notre domicile, nous logions dans un appartement situé au RDC d’un immeuble récent dans le sud de la France.
Nous passons le hall d’entrée, devant la porte de l’appartement, je ne sais comment va nous recevoir Syl, j’ouvre la porte, la grande pièce à vivre est plongée dans un noir presque total, seuls quelques filets de lumières traversent les lames des volets baissés pour l’occasion.
Sur le canapé situé au milieu de la pièce, ma femme nous attend, assise, elle porte des talons hauts, une jupe noire, un petit haut noir, une veste noire, et des bas que laisse entrevoir le croisement de ses jambes.
L’homme que nous appellerons Thomas, s’avance vers ma femme qui se lève, pour lui faire la bise, il la complimente sur sa tenue et lui dit qu’elle est très jolie, elle le remercie poliment.
Nous nous asseyons sur le canapé, Syl nous propose un café, nous discutons de choses et d’autres, le temps passe et rien ne se passe.
Intimidés d’être à domicile, peut- être, il faudra attendre une bonne heure avant que Thomas se rapproche de ma belle.
Il lui pose une main sur la cuisse et la caresse, comme prévu, elle sort un bandeau de la poche de sa veste et le pose sur ses yeux.
Elle se débarrasse de sa veste, l’homme en profite pour l’embrasser dans le cou, sa main est remontée sous la jupe, il la retrousse, Syl penche sa tête en arrière, la main de son amant écarte le string noir qu’elle porte pour l’occasion, Syl lâche un gémissement quand Thomas glisse un doigt dans son vagin.
Comme d’habitude, dans un premier temps, je reste spectateur, je me suis assis en face d’eux sur le fauteuil, je regarde ma dulcinée, se faire doigter, l’homme a relevé son petit haut et lui enlève, il passe sa bouche sur son cou, descend vers le soutien-gorge, avec sa main gauche, il lui retire, sa main droite étant toujours occupée à fouiller son intimité, il descend sa tête, sa langue parcourt le corps de ma belle, il lui lèche le ventre, embrasse son nombril, il continue sa descente, Syl a remonté légèrement ses cuisses qu’elle écartent un peu plus, je vois le lascar embrasser son « ticket de métro », puis, son vagin, avec ses doigts il écarte délicatement les lèvres de la coquine, et y met sa langue, tel un bonbon, il va la lécher pendant de longues minutes, titiller son clito, et la faire gémir.
J’en ai profité pour me déshabiller, je les rejoins alors, je me mets derrière ma jolie brune, lui embrasse le cou et lui susurre qu’elle est belle.
Thomas se redresse, il demande à sa maitresse du jour de se mettre légèrement de côté, elle s’exécute, il déboutonne son pantalon, sort un préservatif de sa poche, il descend son froc, son caleçon, et déroule la capote sur son sexe dressé. Il remonte une jambe de ma belle, devinant qu’il va la pénétrer, je présente mon sexe à l’entrée de la bouche de Syl, elle m’accueille goulument, je regarde Thomas, son sexe en main se présenter à l’entrée de l’orifice, il entre doucement, je vois sa queue disparaitre en ma femme, alors que le va-et-vient buccal s’était mis en pause, le temps de la pénétration, Syl reprend sa sucette en haletant.
Thomas prend appuis sur le canapé, il la possède, elle gémit.
Quelques minutes plus tard, Thomas sentant l’éjaculation arriver, décide d’arrêter, je demande à la coquine de se mettre à genoux sur le canapé face au dossier, elle se cambre, je me positionne derrière elle, je lui tiens les fesses, je présente à mon tour ma bite à l’entrée de son vagin, je sens qu’elle est trempée, j’entre en elle, c’est moins serré que d’habitude et plus chaud.
Son précédent occupant a fait le tour du canapé, il se retrouve face à Syl, il lui caresse les cheveux pour lui montrer sa présence.
Il embrasse ses seins, et lui chuchote dans l’oreille, ce que je devine aussitôt, car elle se penche, Thomas a retiré son préservatif, toujours aveuglée, il la guide vers son sexe, et le prend en bouche, il apprécie, je continue de la prendre en levrette, je sens la jouissance arriver, je la prends de plus en plus vite, elle continue de sucer son lascar.
Je l’entends lui aussi, haleter de plus en plus fort. Tout d’un coup, il gémit bruyamment, je comprends alors qu’il a éjaculé, je continue de la prendre, elle se retourne vers moi, du liquide blanchâtre s’écoule de sa bouche, je jouis à mon tour, du liquide blanchâtre s’écoulera de son vagin…
Thomas remerciera ma femme pour son « accueil exceptionnel ».
Sylrom