Nous étions un couple trentenaire, vivant dans le sud de la France, amoureux et sexuellement épanouis.
Avant de me mettre en couple avec Syl, j’avais eu pas mal d’aventures et quelques expériences échangistes.
Nous étions assez libres dans nos conversations, et dans nos jeux sexuels en privé: yeux bandés, menottes, sex-toys et autres pimentaient nos ébats.
Syl connaissait mon passé, mais je ne savais pas si elle était assez coquine pour me suivre dans mes fantasmes. Je n’allais pas tarder à le savoir.
Un après-midi, alors que nous étions en ballade près de Narbonne, je me souvins qu’il y avait pas loin, un sauna libertin, et le dimanche, l’endroit était mixte.
Je proposai à Syl de nous y rendre afin de nous détendre, elle accepta.
L’entrée du lieu était à l’abri des regards indiscrets.
On sonne, la porte s’ouvre, on entre. Nous payons, on nous donne serviettes, paréo pour madame, clef pour vestiaire et quelques explications sur l’endroit.
Syl écoute mais ne bronche pas, nous nous rendons au vestiaire qui est mixte, nous nous déshabillons, je me rends compte que ma femme est moins timide que je ne le craignais.
Elle enfile son paréo, moi la serviette autour de la taille et nous retrouvons quelques mètres plus loin, au bar du sauna.
Là des hommes, une ou deux femmes seules et deux ou trois couples discutent, boivent un verre dans une ambiance tranquille.
Après avoir bu un jus d’orange offert par la maison, nous décidons de visiter les lieux.
Au RDC, se trouvent le sauna, le hammam et un jacuzzi ainsi que les douches.
Nous déambulons tels des touristes dans un musée, Syl ne semble pas gênée par la vision de ces corps nus, jeunes ou vieux, beaux ou moches, hommes ou femmes.
Nous montons à l’étage, un long couloir en haut des escaliers, des portes de part et d’autres, parfois fermées, parfois ouvertes, notre attention se porte sur l’une des des pièces devant laquelle plusieurs hommes se tiennent debout, nous passons devant, les bruits qui en sortent sont explicites.
Nos regards fouillent l’obscurité de la salle, une femme allongée prend du plaisir avec plusieurs partenaires masculins.
Syl regarde quand certaines auraient détourné le visage.
Nous continuons notre visite, bien sûr, les hommes que nous croisons ont tous un regard insisté sur Syl, superbe brune aux cheveux longs, des petits seins, mais une croupe divine, là, sur une petite piste de danse qui est vide, un jeune homme interpelle ma femme et lui demande si elle a du feu (nous pouvions encore fumer à l’intérieur à l’époque), elle lui tend son briquet et le jeune reprend sa route.
Nous aussi, nous arrivons sur un dernier petit couloir avec quelques pièces pour autres coquineries.
Devant l’une des portes, je demande à Syl:
« C’est sympa, non ? »
« Oui, très » me répond-elle.
« As-tu vu des choses intéressantes ? » lui demande-je
« Oui, quelques unes »
« ha bon ? Laquelle par exemple » Syl a piqué ma curiosité.
« Le jeune à la cigarette était assez mignon » me dit-elle sans sourciller, je lui pose alors la question
« Tu veux que j’aille le chercher ? »
« Oui, si tu veux »…
Surpris par sa réponse, je me mets en quête du jeune inconnu, malheureusement, sans résultat, celui-ci a dût quitter l’établissement, je reviens bredouille vers Syl, mais très excité par la situation, je la pousse dans l’une des pièces que je ferme à clef, et nous faisons l’amour bestialement, imprégnés par les odeurs de sexe qui nous entourent…
Ayant compris que Syl pouvait être une vraie coquine, je décidais de retourner avec elle dans sauna quelques semaines plus tard.
La surprise n’étant plus de mise, nous nous y rendons un dimanche toujours pour la mixité du lieu, et en début d’après-midi, afin d’en profiter un maximum.
Même schéma, nous reprenons le même chemin, mais cette fois, nous profitons du hammam et du jacuzzi, la chaleur, la vapeur, les corps nus transpirent, luisent, et ne se cachent pas.
Syl paraît très à l’aise, malgré les regards qui se portent sur elle, les hommes que nous croisons espèrent tous un clin d’oeil, un mouvement de la tête qui insinueraient un acquiescement de notre part.
Nous nous rendons à l’étage, l’heure tourne, et la fermeture de l’établissement approchant, je prends le taureau par les cornes.
Devant l’une des pièces qui peut se verrouiller de l’intérieur, je demande à ma femme:
« As-tu vu quelque chose d’intéressant ? »,
elle me répond: « Oui, en bas, il y a un type pas mal ».
Je lui propose alors: « Vas le chercher, si tu veux »
« T’es sûr ? » me demande-t-elle;
« Oui, oui » lui dis-je.
Là, sans un mot, je la vois me tourner le dos et descendre les escaliers.
Quelques secondes plus tard, je la vois remonter, suivi de près par un homme que je n’avais pas remarqué avant.
Elle passe devant moi, entre dans la pièce, toujours suivi par l’homme, j’entre à mon tour, je ferme la porte derrière moi et tourne le verrou.
La pièce est petite, il y a simplement un matelas rouge suspendu et un miroir, la lumière est tamisée.
L’homme se tient au fond de la pièce et attend sagement.
Ma femme est montée sur le matelas, elle a sorti de sa poche un bandeau qu’elle avait prévu au cas où…
Elle le pose sur ses yeux, se met à genoux.
L’homme la regarde, je la regarde, nous la regardons, elle paraît maitrisé parfaitement ce moment.
Elle dénoue la ceinture de son paréo, l’écarte et le laisse tomber.
Ma femme est à genoux sur un matelas, nue, les yeux bandés et observés par un inconnu.
Celui-ci murmure à mon intention « Je peux la toucher ? », d’un hochement de la tête, je lui donne la permission.
Il monte sur le matelas à son tour, ma femme ne bouge pas, s’approche d’elle, tend une main qu’il pose sur son épaule, il la descend vers sa poitrine, Syl reste immobile, il est maintenant tout proche, sa deuxième main est posée sur ses hanches, elle caresse ses fesses, la première est descendue quant à elle sur son pubis, un ticket de métro, je reste spectateur, agréablement surpris du comportement érotique de ma belle.
L’inconnu décide de fouiller l’intimité de la jolie brune, elle se cambre afin de lui faciliter la tâche, il l’embrasse dans le cou, sur les épaules, ses seins, sa main gauche caresse toujours son fessier, tandis que la droite fait de lents va-et-vient dans son vagin.
Ma femme prend alors le sexe de son amant en main, elle le caresse à son tour et se penche en avant, elle approche sa bouche de la tige de chair, ma présence ne la gêne nullement, elle enfourne cette queue sans attendre.
Je vois pour la première fois ma femme, avec le sexe d’un autre homme entre les lèvres.
L’homme en question a l’air d’apprécier, c’est à ce moment là que je décide de les rejoindre.
Je monte moi aussi sur le matelas, je suis très excité par la situation et surtout par ma jolie brune qui n’a pas froid aux yeux (ni ailleurs)…
Je me positionne derrière ma femme afin de la lécher, sa chatte est humide, elle aussi semble apprécier la situation.
Mais l’homme, lui aussi veut goûter au fruit défendu de sa maîtresse d’un jour, il demande à Syl de se tourner, elle s’exécute.
C’est à mon tour d’avoir droit à une fellation, Syl me prend en main, joue avec mes testicules, lèche, et suce mon chibre dressé pour elle.
L’inconnu, quant à lui, a entrepris un cunnilingus, sa tête entre les cuisses de ma belle. Il lui tient les fesses pendant qu’elle continue de me donner du plaisir.
Au bout de quelques minutes, il se redresse; je le vois attraper un préservatif qui est à disposition dans une coupelle posée à même le matelas, à côté de l’essuie-tout.
Il déchire l’emballage, ma femme continue de me se sucer, il pose la capote sur son sexe, elle continue de me sucer, il déroule le plastique sur sa queue, elle continue de me sucer, il l’agrippe par les fesses, elle continue de me sucer, sa main gauche lui tient les hanches, sa main droite dirige sa bite à l’entrée de son vagin, elle continue de me sucer.
Elle se cambre pour faciliter l’introduction, l’homme la pénètre, elle lâche un râle de satisfaction, sa bouche se serre autour de mon sexe, les coups de boutoir de son amant la font haleter; je regarde l’homme qui la prend, sa queue disparaitre au fond de son intimité, elle est cambrée au maximum, sa bouche continuant de me sucer.
Je décide de changer de position, je m’allonge sur le matelas et demande à ma légitime de venir sur moi, je la guide, elle m’enjambe, prend mon sexe et le glisse en elle, ainsi, l’homme peut la voir effectuer un mouvement qui la rend excessivement désirable, sa cambrure, sa longue chevelure, sa bouche pulpeuse…
L’homme se met debout et tend sa queue à ma belle, il prend sa main et la pose sur son chibre, elle le prend en main puis de nouveau en bouche.
De dessous, je peux voir, cette tige de chair entrer et sortir de la bouche de Syl, alors qu’elle continue de faire son va et vient sur moi, je sens la jouissance venir, dans une communion à trois, ma femme a un orgasme lorsque je me répands en elle, l’homme quant à lui, prend sa bite en main, et éjacule sur les seins de son amante.
Nous reprenons nos esprits, nous sortons tous les trois de la pièce, quelques hommes qui écoutaient derrière la porte, sourient en nous voyant et envient l’homme chanceux, partenaire de notre partie de jambes en l’air débridée.
Nous nous rendons aux douches, puis au bar.
Et c’est à ce moment là, que nous lui avons demandé son prénom…
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