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Laisse-toi faire, je t’ai offerte, ma salope!

Nous sommes dans la voiture, à l’arrêt, phares allumés, sur le bord de la route, garés dans un petit renfoncement, à peine visible. J’attrape sur la banquette arrière la laisse, le collier et le martinet. Je t’attache le collier autour du cou et noue la laisse. Je te caresse les cheveux pour que tu saches que je suis contente que tu te laisses faire.

Le téléphone est bien dans ma poche.

Une voiture arrive. Je te dis  » Regardes. » Je fais des appels de phares et la voiture se gare juste en face de nous, dirigeant ses pleins feux sur nous. Je sors de la voiture, je viens ouvrir ta portière et te dirige avec la laisse vers le capot. Je déboutonne ton jean, te renverse sur le capot en attrapant tes cheveux pour te plaquer le visage sur la carrosserie. Je baisse ton pantalon et ton ptit cul s’illumine, offert à la vue de l’homme resté dans sa voiture. Je dépose doucement mes doigts sur tes demi-lunes. Je touche, je caresse, j’effleure, je malaxe… Je glisse deux doigts dans ma bouche, les enduis de ma salive et vais déposer cette humidité dans l’embrasure de ta rondelle. Puis, de mes deux mains, je t’écarte les fesses et ton anus frétillant s’offre au regard de l’homme.

Tu entends une portière s’ouvrir, puis se refermer. Et les pas retentissent sur le sol, plus prés, toujours plus prés… Ma main dans tes cheveux, je te murmure de te laisser faire. Tout va aller bien. Tu me réponds juste  » D’accord ».
Tu entends le bip de la caméra que je viens d’activer. Puis tu sens la présence de l’homme derrière toi. Tu ne vois que moi, mes yeux, mes lèvres, ma main tenant le téléphone. Je m’adresse à l’inconnu:

« Tu aimes le cul de ma femelle? ».

Tu sens qu’il te caresse, doucement puis plus vigoureusement.

Je t’ordonnes:  » Utilises tes mains pour écarter tes fesses, salope ».

Puis je demande:  » Tu veux l’enculer? ».

Tu n’entends pas de réponse mais tu entends la boucle de sa ceinture qui se défait, et son jean qui glisse sur ses chevilles.

Puis tu le sens contre toi. Il glisse de haut en bas son pénis le long de ta raie. Il fait tourner son gland sur les rebords de ton ptit anneau. Tu gémis à peine. Moi, je me mords les lèvres.

Tout en tenant le téléphone, je te saisis par les cheveux, te tire et te retourne. Je te mets à genoux et approche ta bouche de sa queue. « Ouvre la bouche » je te dis. Puis je fais bouger ta tête d’avant en arrière, son pénis entre de plus en plus dans ta bouche de pucelle. L’homme veut te prendre la tête mais je lui dis:  » On ne touche pas! ».

Son pénis est très dur, alors je te replaque contre le capot et je dis à l’homme :  » Vas-y. Prends ma femelle et fais-en ta salope ». Je t’enduis ton petit anneau de vaseline et il entre. D’abord son gland, doucement. Tu pousses un râle.  » T’aimes ça ma salope! » je te dis. Tu ne réponds pas. Tu gémis juste. Je ne suis pas contente. Quand je te pose une question, tu dois me répondre. Donc je te tire violemment les cheveux et je te repose la question,  » Réponds! ». Tu dis de suite » Oui, oui, oui, j’aime ça! ».

Tu sens le pénis qui te pénètre de plus en plus. Tu gémis comme une pucelle, parfois tu cries, alors je suis obligée de te dire de « fermer ta ptite bouche de pute ».

Je sens que l’inconnu qui fourre ta pudeur va bientôt gicler.

Je lui dis  » Retire-toi. Tu vas aimer. »

Je tire sur la laisse et en te chopant la chevelure je te force à te mettre à genoux, les lèvres ouvertes devant la fente de l’homme. Tu sens la chaleur de son gland gonflé exciter tes sens. Il se secoue devant toi, juste devant toi… Il éjacule et son miel va directement sur ta langue. Je te dis » Avale. » Je te dirige ta bouche sur son pénis pour qu’il entre et sorte, entre et sorte… Il continue de gicler en grognant. Tout son jus est pour toi, rien n’est perdu. Puis c’est terminé. Je te dis de rester à genoux, et de me regarder moi. Tu as l’interdiction de détourner le regard. Tu entends l’homme se rhabiller, partir, claquer sa portière, démarrer et la lumière de ses phares caresse le paysage urbain que tu ne peux que distinguer vaguement pour finalement disparaître.

Je m’éloigne à peine pour poser le téléphone toujours en train de filmer, sur un « socle », de telle sorte qu’il nous film sans que j’ai à le garder dans la main. Je te fais te relever en tirant sur la laisse puis en te dirigeant de ma poigne sur ton crâne sur le capot, ta rondelle toute offerte. Tu me regardes toujours. Tu commences à avoir peur car que tu vois que je te regardes et que mon regard a changé. Il est devenu, froid et dur.

Je te dis  » Ma salope, tu n’as pas fait tout ce que je voulais que tu fasses. Tu l’as mal fait. Je suis très en colère. Donc je vais te corriger pour que la prochaine fois tu sois parfaite. « . Je saisis le martinet, je te le montre. Puis je fais glisser les lanières sur ton visage, puis sur ta nuque, le long de ton dos puis le long de ta raie pour aller chatouiller tes jolies boules de noël. Tu tressautes mais n’ose pas gémir car tu sais que sinon, tu auras plus mal encore. Soudainement et vivement, je te mets 5 coups sur ton ptit cul à peau de pêche.

 » Dis-moi merci, chienne en chaleur! »

« Merci… Oui, je suis ta chienne… en chaleur. »

Silence, puis les graviers crissent, la lumière vient se mettre sur ton cul de déesse offert à qui veut, si JE le décide. Et j’ai décidé.

Je te caresse, t’écarte d’une main, glisse mon autre main sur mon clito. Tu entends 2 portières claquées et deux paires de pas s’approcher. Un pas est assuré et presque lourd, l’autre est langoureux et claque contre le sol, délicatement.

Je leur demande:  » Il vous plait? C’est moi qui offre. ».

Silence et 4 mains viennent titiller la peau de ton cul de femelle, 2 doigts jouent presque innocemment avec ton anneau bien, bien écarté.

Je prends la femme par la main, lui suce les doigts et lui demande:  » Et moi? Tu me veux? « . Elle enlève ses mains de ton ptit cul pour me saisir un sein, mettre sa langue dans ma bouche et glisser sa main dans ma culotte. Je regarde son homme et lui dis de te prendre. Tu sens ta rondelle qui s’ouvre sous la pression de son pilier qui t’empale. Tu gémis, tu serres les points et tu te cambre. Tu n’as d’yeux que sur moi qui enroule ma langue autour de la langue de la femme. Je tiens toujours ta laisse, alors comme elle est en minijupe, je lui enlève sa culotte, et je joue avec le cuir de ton statut de chienne contre sa chatte chaude et humide. J’entre mes doigts en elle, je lui soulève la jupe et lui écarte les jambes pour que tu puisses bien voir mes doigts aller et venir dans son con. Elle commence à gémir. Toi aussi tu gémis. En fait, tu gémis de plus en plus fort alors je dépose mon index sur ta bouche pour que tu comprennes que tu dois fermer ta gueule de pucelle offerte. Le regard rivé sur la chatte ouverte de la femme qui se prends régulièrement l’assaut de mes doigts, tu sens la queue qui te prend se durcir en toi. Il commence à soupirer. Je lâche donc la fleur et t’ordonnes de te mettre à genoux. Je dis à l’homme  » Prends-lui la bouche et crache dans son gosier. ». En te caressant les fesses, je viens te susurrer de te laisser faire, et d’avaler. Cette fois, c’est l’homme qui est presque assis sur le capot pendant qu’il te prend le visage et te fais le sucer doucement puis de plus en plus fort. Tu respires de plus en plus fort. Lui aussi. Moi, je place la femme à côté de son homme, sur le capot, de telle sorte à ce que tu vois tout de ce que je vais lui faire. Je lui écartes les jambes, lui déboutonne sa chemise pour que ses tétons durcis soient caressés par l’air frais. Je me mets à genoux, à côté de toi. Puis pendant que tu regardes en te faisant prendre la bouche, goûtant le miel de lhomme; je fais jouir de ma langue et de mes lèvres l’intimité de cette femme. Elle gémit fort, profondément, longuement; en même temps, son homme grogne violemment . Puis l’accalmie revient. Eux, sont essoufflés et soulagés. Moi, je viens mettre mes lèvres enduites et salées contre les tiennent; et nous nous faisons goûter l’un à l’autre la saveur de nos partenaires. On s’embrasse très longuement. On entend les inconnus se rhabiller, partir et nous laisser avec nos seuls phares pour éclairage; mais on ne s’arrête pas de s’embrasser.

Enfin, je te dis:  » Vas dans la voiture ma ptite salope, je vais te donner une récompense. Tu l’as mérité ».

Une fois installés, je démarre et pars en direction de chez nous. Tu ne comprends pas. Tu croyais que tu aurais ta récompense une fois dans la voiture. Tu me fixes, en attente. Je n’aime pas ça. Je te mets une claque et te dis  » Regardes la route et sois patiente, petite pucelle ouverte ». Enfin on rentre chez nous. On pénètre dans la chambre. Je te détache, je te déshabille puis te dis d’attendre, de rester debout et de regarder ce que je fais. Je me déshabille et me vêts d’une nuisette blanc cassé en soie. Le tissu coule sur ma peau. Je dispose sur le bas du lit le martinet, nos deux godes, des boules de geisha, un oeuf vibrant, la laisse et le collier et le téléphone. Ensuite, je me bande les yeux avec le bandana, puis je prends la corde que j’avais posé prés de moi et me noue les poignets ensembles. Je m’allonge, offerte sous la lumière tamisée de la lampe de chevet, je relève mes mains liées au dessus de ma tête et te dis:  » Maintenant tu peux prendre ta récompense. Tu choisis l’objet, tu choisis le trou, tu choisis quand et comment. Tu peux aussi me donner des ordres. Fais TOUT ce que tu veux de moi. Fais TOUT ce que tu veux avec les objets à ta disposition. »


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