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Je suis gay ! Ca fait du bien de le dire

Je suis gay ! Ca fait du bien de le dire

Salut à tous ! Moi c’est Jeremy, j’ai 23 ans et je vis du côté de Bordeaux. Je suis gay !

Ca fait du bien de le dire, car je n’ai pas encore fait officiellement mon coming out. D’ailleurs, je n’envisage pas de le faire ailleurs que dans mon cercle d’amis proches.

Ma famille est assez traditionnelle, j’ai eu une éducation assez sévère, suivi une scolarité en école jésuite… Je pense que si ma famille apprenait mon attirance pour les hommes, je serai destitué sur le champ de tout espoir d’héritage.

La peur du rejet, c’est galère au quotidien. Heureusement j’ai une copine sympa qui connait et comprend la situation. Elle est d’accord pour me servir de « petite amie » lors des repas familiaux et des sorties en public.

A terme, elle est même d’attaque pour envisager un « mariage blanc » histoire de brouiller totalement les pistes. Cela l’arrange autant que moi car elle est lesbienne, dans une situation similaire à la mienne. Voilà pour le contexte.

Si je ne vis pas d’expériences homosexuelles au grand jour, cela ne veut pas dire que je n’en vis pas. Bien au contraire. Au hasard d’un surf sur le net, j’ai découvert que pas mal de lieux discrets en extérieur servaient de terrain de jeux aux hommes qui aiment les hommes.

On y retrouve des gays amateurs d’exhibition en plein air, mais aussi des gars qui comme moi ont du mal à assumer leur homosexualité au grand jour.

Pour contenter tout le monde, on y rencontre aussi des hétéros curieux, qui trouvent chez les homos un moyen rapide de se vider à l’abri des regards. C’est vrai qu’on est bien moins compliqués que les filles pour le passage à l’action.

J’ai sélectionné l’endroit le plus proche de chez moi puis y suis allé une première fois en semaine, en fin d’après-midi. Il y avait pas mal de voitures garées sur le parking adjacent, mais le sous-bois semblait désert.

Un peu intimidé, sachant que je me ferai directement cramé comme intéressé en me baladant seul en ce lieu, j’ai pris mon courage à deux mains. Je me suis aventuré dans la verdure, mon petit sac à dos ne contenait qu’une serviette, du lubrifiant et des capotes… On sait jamais, même si l’objectif restait la découverte, pas le passage à l’action.

Au détour d’un sentier, mon attention a été captée par des râles de mâles en pleine copulation. C’était beaucoup plus excitant que dans les vidéo pornos que je matais habituellement.

Pour information, je n’étais plus puceau, aussi actif que passif. Mais mon expérience se limitait à une petite dizaine de rapports, toujours en plan sexe rapide chez de parfaits inconnus rencontrés sur le web.

Au grand jour, et surtout entouré d’autres coquins, c’était une totale nouveauté ! Je me suis donc approché discrètement… et j’ai pu apprécier le spectacle.

Un petit mec au crâne rasé, tout fin, étais penché en avant.

Il portait un simple tee-shirt et son jean était baissé aux chevilles. Il était agripé à un arbre, le cul cambré, en train de se faire sodomiser.

Derrière lui, un mec mur remuait du bassin en mode marteau piqueur. Il était bedonnant, tout rouge dans l’effort !

Il pilonnait comme un beau diable, visiblement aussi excité que pressé de décharger dans le cul de son partenaire. Le gars en train de se faire enculer a croisé mon regard ! Il n’a rien dit, m’a souri et m’a dévoré des yeux jusqu’à ce que le type en train de lui prendre le fion jouisse dans un dernier grognement.

L’actif s’est hâtivement netoyé le gland avec un kleenex, s’est rembrayé et a disparu vers le parking sans même échangé un mot avec le passif qu’il venait de défoncer.

Ce dernier n’a pas bronché. Le sperme de l’inconnu coulait de son cul, le long de ses jambes… Il continuait de sourire, m’a fait un signe de la tête pour que je vienne le rejoindre.

– Salut… je t’ai jamais vu ici, t’as plutôt une belle gueule !

J’étais grave intimidé ! Le type me faisait la discussion le cul encore en bombe, comme s’il n’était qu’un trou à prendre, posé là pour le « tout-venant ».

– Heu… ben oui, c’est la première fois.

La situation était sordide, mais sacrément excitante.

– Tu le connais le type qui vient de te défoncer bareback et qui t’a giclé entre les fesses ? Ca craint pas ?

Non, il m’encule régulièrement, j’adore quand un bon père de famille me remplit les fesses.

C’est mon côté altruiste, je soulage les hommes mariés frustrés qui ne couchent plus avec leur femmes. Les pauvres… Lui, il est clean ! Moi, je suis sous prep, je peux prendre tout le jus que je veux sans risque, c’est mon gros kif.

Bordel ! Une baise bareback entre mecs. Je fantasmais grave sur le sexe non protégé entre gays, mais c’était inconcevable de prendre des risques avec un parfait inconnu.

– Tu m’as l’air d’un mec bien sage. T’as des préservatifs ? Tu veux m’enfiler direct ? J’ai le trou bien ouvert et encore tout chaud, tu devrais en profiter.

J’ai pas su quoi répondre. J’ai regardé sa queue : il bandait. Ce gars là était clairement autoreverse et ce dont j’avais le plus envie, c’est de sa bite, pas de son fion déjà souillé.

– Elle te plait ma queue ? Ben fais-toi plaisir alors, par contre pas de capote pour la pipe, t’es ok ?

Pour la fellation nature, moi ça m’allait. Le risque est presque inexistant. A cet instant, je suis passé en mode suceur docile.

Je me suis agenouillé devant sa tige et j’ai commencé à suçoter son gland en palpant ses bourses.

Il bandait fort le salaud, sa queue n’était pas très longue, mais bien large. Il m’a laissé le sucer sans rien dire, puis a appuyé sur ma nuque pour que je le bouffe en gorge profonde.

J’ai glissé une main derrière ses fesses et planté un doigt dans son rectum éclaté.

Bordel, il avait pris cher ! Son trou était toujours humide de semence, mais il était aussi hyper distendu.

– Avec le nombre de gars qui me défoncent ici, ma chatte anale est toujours dilatée. J’ai même pas besoin de lubrifiant. Ca fait du bien de temps en temps d’inverser les rôles ! T’es un bon téteur de zob, je ne te crois pas quand tu me dis que t’es débutant.

Je ne pouvais pas répondre, j’astiquais sa queue comme un fou. Je bandais comme un dingue, c’en était presque douloureux ! Mais je ne voulais pas qu’il touche à ma bite.

Pas pour une première fois. je voulais garder des cartouches pour la suite de mes aventures.

Il a continué à me baiser la bouche sans un mot, m’a demandé s’il pouvait me jouir à la gueule. Je n’ai répondu que par des gargouillis, n’ai pas eu le temps de lui rétorquer que je préféré qu’il jute entre mes lèvres !

Splash ! Une puissante éjaculation m’a explosé en plein visage.

J’étais accroupi, souillé comme une slope soumise à son maitre. Ce dernier était visiblement satisfait. Il s’est penché vers mon visage et m’a embrassé avec fougue.

Nos langues se sont mêlées, j’avais le goût de sa queue et du foutre plein la gueule, c’était un délice.

Après ce baiser baveux, j’ai demandé s’il voulait qu’on s’échange nos numéros pour se voir chez lui, à l’abri des regards. Il m’a dit préférer faire ça dehors et qu’il espérait bien me revoir le lendemain à la même heure !

Il m’a bien précisé également que ce coup-ci, il comptait sur moi pour également lui remplir la bouche.

Avant ça, je devrais jouer les voyeurs et le mater se faire enfiler par deux ou trois types de passage, qu’il adorait s’exhiber pour ses amants préférés… et que visiblement, j’avais tout le potentiel pour en devenir un.

Voilà comment a débuté ma première relation suivie avec un autre gay.

Il est mon initiateur !

Celui qui m’a repoussé dans mes retranchements et fait réaliser des fantasmes dont je ne soupçonnais pas l’existence.

On se voit régulièrement depuis quelques mois. Toujours aux mêmes heures, dans le même coin de nature.

Il a bien compris que je préférais baiser avec capote mais cela ne semble pas lui poser de problème. Il continue toujours à se faire prendre le cul et remplir par de parfaits inconnus.

Le scénario est toujours le même : je le mate en me branlant pendant qu’il se fait démonter par des types de passage, puis je le suce. La nouveauté, c’est qu’il ne se finit pas sur ma frimousse ! Je prends sa place contre le tronc d’arbre pour qu’il me baise à fond.

A ce qu’il parait, je suis le seul gars avec qui il se montre actif. Alors j’en profite, et ce n’est pas près de s’arrêter.


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