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Comité de jumelage

Pousser par me comprendre, Franck et sa sœur Karine, je décidais de les suivre dans le voyage qu’organisait le comité de jumelage.

Dans le bus qui nous transportait, il y avait plus de barbe
grise et de cheveux blancs que de jeunes de 23 ans comme nous.

Après avoir passé l’après-midi à visiter des monuments, nous avons été conviés au dîner avec la cérémonie de bienvenue, nous avons fait connaissance avec nos hôtes, qui allaient nous héberger pendant ces trois jours.

J’avais la chance d’être hébergé chez le maire du village. Une belle et grande maison très bien tenue. Ma chambre était splendide. il y avait deux chambres séparées par une salle de bain avec un accès direct.

En arrivant, je fais connaissance avec un autre français qui était hébergé comme moi. Vers 23 heures j’étais couché et j’ai regardé sur ma tablette le dernier film de James Bond
qui venait tout juste de sortir au cinéma, quand j’entends frapper à la porte, c’était Karim mon voisin de chambre qui venait voir si j’avais du gel douche à lui prêter.

Il me dit tu regardes le dernier James Bond, je peux le regarder avec toi je lui réponds bien sûr. J’ai attendu qu’il prenne sa douche et quand il est sorti de la salle de bain, il était vêtu d’un T-shirt .

Cela m’a surpris et directement il est venue se glisser sous la couette à côté de moi.

Pendant le film très doucement, je sentais son corps, se rapprocher du mien, jusqu’à ce que nos cuisses se touchent, je ne bougeais pas.

Et puis, au bout d’un moment très délicatement, il a posé sa main sur ma cuisse par un geste naturel, c’était étrange dérangeant, mais aussi terriblement sensuel, car même si
j’étais gêné à l’idée de le savoir sans caleçon à côté de moi, je trouvais cette situation aussi étrange qu’un petit peu excitante, il me demandait si j’avais une copine, je lui ai répondu que non et elle me demanda si je me masturbais des fois je me rappelle avoir marqué un silence car cette
question me gênait et je lui répondit que oui à ce moment-là il me dit tu as déjà été masturber, je lui ai répondu non jamais, il pose à sa main sur mon sexe, j’ai eu un sursaut mais à ma grande surprise cela m’excita encore plus et je sentis monter en moi une grosse chaleur.

Il glisse à sa main sous mon caleçon, et comment ça à me caresser doucement. C’était étrange, mais très
plaisant, je fermais les yeux par honte, pensant que, si je ne le voyais pas, lui me voyait pas non plus.

D’un geste ample, il découvre le drap qui était sur nous.

Je découvrais honteux mon sexe excité, et le sien dans le même état que moi. Il libéra mon corps de mon caleçon et s’installe là, à genoux entre mes jambes écartées.

Il était beau avec son sexe, épiler et en érection se caressant en même temps, j’étais aussi gêné par son regard.

Je n’osais pas le regarder dans les yeux.

Je n’osais pas le toucher pourtant j’en avais envie.

La position pour moi était aussi humiliante que
plaisante.

Je lui donnais la possibilité de découvrir toute mon intimité toute ma pudeur dans ma tête, c’était ébullition, c’était la confusion le plaisir la honte l’humiliation mais le plaisir physique qui était là, je sentais monter en moi le désir, l’envie de crier de gémir, mon corps frémissait tremblait.

Maintenant, maintenant je me retenais de ne pas exploser mes mains serraient très fortement les draps.

Sa respiration s’accéléra, ses petits gémissements aussi.

Aussitôt, je sentis un liquide chaud giclé sur mon visage sur mon ventre, j’en avais sur mes lèvres et à cet instant.

Moi aussi, j’ai éjaculé. Mon sperme, gicla fini aussi sur mon visage et sur mon ventre, j’en avais partout, c’était chaud.

Toujours entre mes cuisses, il me dit ces mots qui étonnamment m’ont beaucoup plus petite salope qui en a partout.

J’ai foncé sous la douche, et quand je suis revenu dans la chambre, il était parti et avait verrouillé sa porte.

J’ai mis un petit moment à m’endormir mais j’ai très bien dormi et je me demandais comment cela allait se passer quand j’allais le revoir demain au petit déjeuner.

Fin de la première partie.


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