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Une famille heureuse : Chapitre 1

CHAPITRE 1 : Comment tout a commencé !

Mon père, Jean, s’est remarié il y a trois ans après que notre mère nous ait quittés pour un autre homme et nous n’ayons plus beaucoup de ses nouvelles depuis. Mon père est plutôt bel homme et il n’a pas eu trop de difficultés à rencontrer une jolie femme de plusieurs années plus jeune que lui. Et elle s’appelle Angélique. Mon père a 43 ans, elle en a 32 et nous vivons très heureux depuis le remariage mon père, Angélique, mon frère cadet et moi-même.
Mon frère Jean a 16 ans et moi je viens tout juste d’en avoir 18 et je vais vous expliquer pourquoi la vie est si heureuse tous les quatre.

Nous habitons une jolie maison sur les hauteurs de Toulon car mon père est un homme qui a bien réussi dans les affaires. C’est une maison qui surplombe la mer avec une jolie piscine. Angélique est heureuse, elle a trouvé un travail comme serveuse dans un restaurant car elle n’a pas fait de très bonnes études. Mais elle est tellement fine, jolie et agréable qu’elle n’a eu aucune difficulté pour trouver ce type de travail. Elle a du sang des îles et européen également, un très beau mélange : 1m72 environ, la peu mate, très mince mais avec de beaux seins bien suspendus, des fesses bien rondes et une peau ambrée même en l’absence de soleil, ce qui est assez rare même là où nous habitons.

Mon frère et moi pensons qu’Angélique et mon père ont beaucoup d’atomes crochus et ils s’entendent très bien et d’après ce que nous entendons assez souvent le soir, le matin ou en journée depuis leur chambre, ils s’entendent très bien également pour le sexe. Mon père semble être un sérieux chaud Lapin avec elle et malgré les efforts qu’il faut pour ne pas faire trop de bruit nous entendons souvent des bruits de matelas et surtout les petits cris d’Angélique qu’elle essaye de contenir au maximum la nuit quand mon frère et moi essayons de nous endormir.

Angélique est une très jolie femme avec de longues jambes, des seins assez gros mais pas trop et qui visiblement se tiennent très bien et de longs cheveux couleur auburn, qui encadrent un visage et des beaux yeux verts : une vraie merveille dont le corps apparemment comble mon père, et qui est loin de nous laisser indifférent mon frère et moi. En effet, sans être déplacé, elle porte souvent des vêtements qui soulignent à la fois les formes de ses seins, et laissent apparaître un joli ventre bien plat et des longues jambes effilées. Elle doit être contente de sentir ces trois hommes, l’un mur qui la baise régulièrement et deux jeunes hommes bien bâtis et qui ont hérité par chance du beau visage de leur père, passant leur journée à la reluquer, surtout l’été quand elle se promène en short et en hauts talons. De plus, comme elle travaille comme serveuse ne dans un restaurant, cela lui donne l’occasion de se faire mater et draguer plus d’une fois aussi bien à midi en terrasse que le soir. Se sentir belle et désirée par tant d’hommes, elle doit être comblée !

Vu le nombre de fois (au moins une voire deux fois par jour) qu’elle se fait baiser par mon père nous pensions mon frère et moi que c’était sans doute une femme comblée également sur le plan sexuel.

Mais un jour le hasard a fait que nous étions mon frère et moi en train de chercher un livre de poche dans une librairie de Toulon, dans une petite rue, lorsque nous l’avons vu se garer avec sa petite voiture décapotable que lui avait acheté notre père, sur le trottoir d’en face. Nous nous sommes cachés et l’avons suivi des yeux, pas très loin, puisqu’elle est rentrée après quelques pas sous le porche d’un petit hôtel quatre étoiles dans le centre de la ville. Nous l’avons suivi avec maintes précautions et vu monter les escaliers directement dans une chambre du deuxième étage pourtant le numéro 12 car l’hôtel disposait d’une cour intérieure avec toutes les chambres qui donnaient sur cette cour.

Nous sommes montés discrètement après avoir attendu un bon quart d’heure et nous avons discrètement mis l’oreille à la porte. Il n’a pas fallu très longtemps entendre les petits gémissements habituels que nous avions l’habitude depuis la chambre des parents. La coquine en plus de se faire baiser par mon père, eh bien elle avait un amant !
Je crois que mon frère et moi nous ne sommes pas trop bêtes et lorsque nous sommes retournés à la librairie nous avions bien sûr une idée très intéressante en tête : profiter de la situation en faisant un coquin chantage. Nous nous sommes même tapé dans les mains dans un grand éclat de rire. Et nous avons ri encore en nous frottant les mains tout en rentrant à la maison dans la voiture de mon frère. Deux jours plus tard notre plan s’est concrétisé. Mon père venait de partir vers neuf heures le matin et Angélique venait de prendre sa douche et de retourner dans sa chambre dans un joli peignoir en soie.

Elle était allé dans sa chambre il avait fermé la porte. Lorsque nous sommes rentrés Serge et moi sans frapper à la porte elle venait d’enfiler un string, son peignoir était ouvert et lorsqu’elle nous vit ouvrir la porte elle le referma le plus rapidement possible mais nous avions eu le temps de voir le galbe superbe de ses seins, ses longues jambes fines et bronzées et le merveilleux triangle que formait son string sur sa peu douce.
« qu’est-ce que vous faites là tous les deux ? »
« On a quelque chose à te dire » commença par dire Serge,
«voilà qui est l’air bien mystérieux » dit Joséphine avec à la fois l’air sérieux et un tout petit sourire tout à fait charmant sur les lèvres. Se doutait-elle de quelque chose ?
« N’étais-tu pas hier rues Martial à Toulon ? »  continua à mon frère.
Elle ne sourit plus et sembla comprendre tout de suite.
«heu, je ne sais pas j’ai pris la voiture en effet hier pour aller faire des courses ! ».
« Oui on peut appeler ça des courses !» continua Serge avec un petit sourire
« Mais la question c’est que nous t’avons suivi jusqu’à l’hôtel Rambuteau chambre 27 et que ce que nous avons entendu en collant l’oreille à la porte nous rappelle étrangement ce qui se passe dans la chambre de papa presque tous les soirs !
« Et où voulez-vous en venir ? » Demanda Joséphine?
« Oh ce qui se passe entre papa et toi nous regarde pas mais je pense qu’il ne serait pas du tout content d’apprendre que tu as un ou des amants que tu rencontres discrètement en ville pour te faire baiser. Je crois que tu aurais beaucoup à perdre s’il apprenait ça !»

En effet mon père, qui était donc assez riche, avait toujours dit que s’il apprenait un jour que Joséphine le trompait, il la déshériterait complètement. Elle ne souriait plus du tout et il y avait même des larmes qui lui montaient aux yeux.

«C’est terrible ce que vous faites là » dit-elle, des sanglots dans la voix !
« Vous savez bien tout ce qui m’unit à votre père, j’aurais le cœur brisé s’il l’apprenait, et s’il prenait la décision de me quitter je serais à la rue sans travail et sans revenus, c’est terrible ! ». On la fit marner un peu dans son jus de tristesse et de désespoir, mais elle faisait tellement triste à voir comme ça que nous avons décidé d’abréger son terrible tourment !

« Allez ne pleure pas Joséphine ! lui dis-je « On a une solution !»
« Ah bon et c’est quoi ? »
« Oh c’est très simple ! Tu as sans doute remarqué que mon frère et moi nous te reluquons régulièrement et tu as peut-être même sans doute remarqué que la fermeture éclair de nos jeans étaient souvent bien tendue alors que tu te promènes dans la maison sur tes hauts talons et en mini-short. Tu confirmes nous avoir vu bander pour toi ? »

Elle eut les joues qui rosirent un peu : « Euh oui peut-être, vous êtes jeunes c’est normal à votre âge de bander pour un oui ou pour un non je suppose ? »

« Tss tss tss » répondit mon frère, « je suis sûr que tu as regardé nos shorts en toile qu’on porte l’été quand il fait chaud, tendus plus d’une fois ! Tu es une femme très belle et très sexy, tu ne l’ignores pas et je suis sûr que tu aimes bien la queue des hommes ! »
Le rose de ses joues ne disparut pas bien au contraire.

« Nous, nous n’avons pas trop le temps de nous occuper des filles avec nos études donc nous avons souvent les couilles bien pleines et dorénavant nous allons compter sur toi pour nous les vider régulièrement ! Sinon on dira tout à papa et tu peux être assurée, jaloux comme il est, que c’est le divorce et tu te retrouveras sans un sou à faire la tapin si tu veux survivre ! » Elle prit un air affolée, nous regardant alternativement l’un et l’autre, regarda par la fenêtre en essuyant avec son doigt une larme au coin de ses yeux. Puis, l’air résigné et penaud, elle nous regarda à nouveau et dit :
« Vous êtes sérieux là ? »
« Oui tout à fait ! » nous répondîmes quasiment d’une seul voix.
« Et je suppose que je n’ai pas le choix ? » répondit-elle
« Ben pas vraiment » répondit mon frère avec un petit sourire narquois, « si tu veux garder notre père et ta place plutôt envieuse dans cette superbe maison !»  Continua Serge.

Pour associer les gestes à la parole il se dirigea lentement vers elle  pour dénouer tout doucement la ceinture de son peignoir en admirant ses magnifiques seins et son ventre, et surtout son entrejambe qui formait un espace d’au moins 7 cm tellement elle était mince. Elle commença un peu à reculer, a croiser ses bras devant ses seins et a repousser mon frère, mais il fut très ferme avec elle, lui envoya même une petite gifle et lui dit
« tu n’as pas le choix ma petite tu vas avoir dorénavant trois paires de couilles à vider dans cette maison ! ».
Et nous nous regardâmes avec mon frère avec un beau sourire entendu. J’avais un short que je commençai à déboutonner et ça faisait un moment déjà que je bandais comme un âne en regardant son petit string et son gap vertigineux. Pendant ce temps-là mon frère lui avait mis les bras le long du corps et il fait glisser son peignoir par terre. Elle avait bien compris et ne se débattait plus. Mon frère lui caressait les seins tout doucement et moi je me positionnais derrière elle, mon sexe tendu comme un arc contre la raie de ses fesses et mes mains de chaque côté de sa taille pour lui caresser son ventre si doux et si plat.

Elle regardait les mains de mon frère qui lui plotaient les seins puis comprit que c’était maintenant et désormais un exercice ou un jeu auquel elle aurait à se plier. Elle porta son regard vers la fenêtre, ne bronchait pas et on crut mon frère et moi discerner un petit sourire sur ses lèvres. Mon frère enleva également son pantalon et se retrouva complètement nu avec un sexe qui en disait long sur ses intentions. Il la poussa sur le lit, écarta ses cuisses et commença à lui caresser la chatte qui se dilater à vue d’œil. Elle s’allongea complètement sur le lit, les cuisses largement écartées dans une position de soumission, et elle avait la tête penchée sur le côté ou se trouvait une grande armoire avec une glace sur toute la surface. Elle prit un air détaché et dit « allez-y puisque je dois visiblement y passer, faites ce que vous avez à faire !¨
Mon frère jouait avec son sexe, entrait le doigt dedans, allait et venait dans cette vulve désormais mouillée, et il me sembla qu’elle se mordait la lèvre inférieure pour ne pas gémir.

 

il n’eu aucune difficulté à la pénétrer, elle devait avoir le sexe déjà bien mouillé. Pendant qu’il allait en elle tout doucement d’abord une plus rapidement je me suis mis à côté de son visage à genoux, après m’être mis à nu également.

Je lui ai tourné doucement son visage et elle a tout de suite compris en ouvrant la bouche et en avalant mon sexe dans un doux mouvement de va-et-vient. Elle était décidément naturellement terriblement douée pour le sexe ; elle eut la gentillesse de caresser doucement mes testicules ce qui me mit la pression dans le rouge en 2 ou 3 secondes. Nous étions mon frère et moi extrêmement excités et la séance ne dura pas très longtemps.  Au bout de quelques minutes nous hurlâmes tous les deux et elle se prit une énorme décharge de chacun de nous à la fois dans le vagin et dans la bouche. Lorsqu’elle reçut les deux grosses et puissantes giclées de liquide chaud, elle poussa un petit gémissement à peine contrôlé que nous primes mon frère et moi pour un orgasme refoulé. C’était sans doute assez nouveau pour elle de se faire remplir la bouche et le sexe par deux jeunes gens vigoureux, qu’elle côtoyait tous les jours de surcroit.

Mon frère et moi nous allongeâmes à côté d’elle pour nous reposer un peu, et elle tentât de se lever, mais mon frère la retint. « Où vas-tu dit-il ? »
« A la salle de bain pour prendre une douche et me nettoyer le sexe, je sens qu’il dégouline de sperme, tu devais avoir les couilles bien pleines mon grand, je suis inondée ! »

Il lui prit les épaules et lui fit comprendre qu’il était plus souhaitable de rester avec nous.
Elle n’insista pas et resta sur le dos entre nous. Je commençais à lui caresser ses seins qui étaient superbement fermes avec des têtons bien durs et bien dressés, pendant que mon frère caressait doucement sa chatte dégoulinante. Elle se laissa faire docilement. Après une dizaine de minutes de ce repos érotico-délassant, nous reprîmes tous deux une belle érection en hommage à notre jeune âge, et surtout à sa peau ambrée et si douce.

Mon frère la fit se tourner sur le ventre, se positionna derrière et lui prit les hanches pour la remonter sur ses genoux. Elle prit d’instinct une position bien cambrée et mon frère en profita pour la pénétrer assez vigoureusement. Il n’eut aucune difficulté, son sexe étant déjà bien plein de sa propre semence, avec une belle dose en plus.

Moi je le regardais lui astiquer la chatte avec sa bite, fasciné par le mouvement de ses seins qui allaient d’avant en arrière à chacun de ses coups de reins. Elle ne disait rien, pas un son ne s’échappait de sa bouche, mais j’eu l’impression qu’elle se mordait les lèvres. Au bout de 3 ou 4 minutes de ce petit jeu, mon frère se mis à pousser un grand cri, crispa ses mains sur les hanches de la belle épouse de notre père, et lâcha une seconde dose de foutre dans sa chatte. Il se retira assez prestement et, alors qu’il tomba comme une masse sur le lit, je profitais da la position bien cambrée d’Angélique pour la pénétrer également. Ca clapotait de sperme à chacun de mes allers-retours ! J’y ajoutai assez rapidement ma large contribution alors qu’elle poussait un petit cri ! Nous retombâmes elle et moi à côté de mon frère déjà étendu, à moitié inconscient tellement il s’était vidé ! Des flots de sperme chaud s’écoulaient du sexe béant de la belle Angélique !

Nous restâmes un bon moment comme ça à côté d’elle, anéantis.
Puis Angélique se leva la première pour passer sous la douche ; elle en avait bien besoin, mon frère et moi-même pouvions constater que notre sperme coulait sur l’intérieur de ses cuisses, elle devait mettre sa main sur sa chatte pour que cela ne coule pas partout sur la moquette de la chambre. Nous passâmes mon frère et moi également dans la seconde salle de bain pour nous rafraichir, enfiler un jean et un chandail. A travers la porte Angélique nous dit « il est déjà presque 20 h, vous devez avoir faim les garçons, je vais préparer un diner, votre père a téléphoné il ne rentrera de son voyage en Allemagne que vers 23h car son avion a du retard ! ». Mon frère et moi nous échangeâmes un large sourire et une tape complice dans la main en sortant de la douche. « Super hein notre idée et quelle est bonne la femme de notre père n’est-ce pas ! »

Le dîner s’est passé à raconter des choses banales au sujet de nos études au lycée, nous nous mimes tous les trois un peu devant la télévision puis Angélique dit « je vais me changer, redescendre vous faire la bise et vous souhaiter bonne nuit, puis me coucher et lire en attendant le retour de Jean ». Et effectivement, nous qui pensions qu’elle cacherait au maximum son corps dorénavant en notre présence pour calmer nos ardeurs, elle redescendit avec un magnifique déshabillé en dentelle qui laissait entrevoir par transparence ses magnifiques seins bien tendus et une petite culotte bleue qui moulait à la perfection ses jolies fesses bien rondes et bien fermes. À faire bander un mort ! Elle nous fit la bise, mon frère et moi étant vautrés dans le canapé devant la télé, et nous pûmes avoir une belle vue plongeante sur son décolleté. Elle fit volte-face et nous pûmes voir par transparence son corps gracile lorsqu’elle s’éloignât vers les escaliers. Mon frère et moi avions du mal dans les minutes qui suivirent à nous concentrer sur le film.

Nous nous sommes regardés, puis nous avons regardé notre montre : il était presque 22h et ça nous laissait un peu de temps avant que notre père ne rentre, mais pas beaucoup. Nous avons souri à la même idée, nous nous sommes donné une tape dans la main et nous sommes montés précipitamment dans la chambre conjugale. Angélique était là, étendue sur son lit, les draps ouverts (avait-elle ouvert le lit en nous entendant monter ??) en train de lire le nez dans son livre, les jambes repliées et l’une d’elle balançant nonchalamment de droite à gauche, laissant une vue magnifique sur sa culotte bleue. Mon frère s’assit à côté d’elle, regarda par-dessus son livre le beau visage d’Angélique qui continuait à lire comme si de rien n’était, et commença à lui caresser les seins.

« Qu’est-ce que vous faites, vous n’y pensez pas, Jean va rentrer dans moins d’une heure, il a téléphoné de l’aéroport il est en train d’attendre sa valise à l’arrivée »
« Il va donc falloir être rapide ! « dit mon frère en se déshabillant, tout comme moi d’ailleurs. En moins d’une minute mon frère lui avait enlevé sa petite culotte et l’avait prise en missionnaire. Résignée (ou finalement bien contente ?) elle avait facilement ouvert ses cuisses et mon frère hurla en moins de temps qu’il ne fallait pour dire ouf ! Il se dégageât et je pris immédiatement sa suite, dans la même position. Le sexe d’Angélique était à nouveau plein de sperme et je n’eus aucune difficulté pour y pénétrer. Cette douceur, cette humidité et cette chaleur de son sexe étaient si agréables, les mouvements d’ondulation d’Angélique (qui ne cachait  désormais plus son plaisir) et ses petits cris de moins en moins contenus étaient si excitants, que je ne mis pas longtemps également à jouir dans de grandes pulsations et de grands jets de sperme.

C’est à ce moment que nous entendîmes la porte d’entrée s’ouvrir puis se fermer. Mon frère et moi primes rapidement nos affaires et déguerpîmes en urgence dans notre chambre qui était la pièce juste à côté. Nous avons aperçu Angélique prendre un mouchoir en papier pour s’essuyer l’entre-jambes avant de fermer la porte.

Notre père monta les marches 4 à 4, pénétra dans la chambre nuptiale et ferma doucement la porte. Ce que nous avons pu entendre avec mon frère à travers la cloison nous fit penser que notre père, privé de sexe depuis 3 jours, avait grand besoin de se vider les couilles également. Les bruits qui traversaient la cloison ne nous laissèrent aucun doute là-dessus.

« Mais tu es bien mouillée ma chérie dis-donc ! »

« Oui je pensais à toi et j’étais en train de me caresser ! » dit-elle

« Oh mais plus besoin ma chérie, regarde ce que je te rapporte, une verge bien grosse et bien pleine ! »

Le lit se mit à grincer 5 bonnes minutes puis nous entendîmes le râle de notre père qui ne pouvait plus attendre et vidait ses bourses dans la douce chatte d’Angélique.

Les jours, les semaines et les mois qui suivirent furent un paradis pour nous deux, nous la baisions au moins deux fois par jour lorsque notre père était au travail. La belle se faisait également baiser par notre père au moins tous les soirs. Elle se fit très bien à ce rythme soutenu et semblait comblée ! Ceci tout en faisant la moue chaque fois que nous lui sautions dessus, mais c’était vraisemblablement par pure forme. Elle chantonnait souvent dans la journée et semblai en fait bien épanouie. Il y avait de quoi, elle se faisait baiser au moins 4 ou 5 fois par jour. Elle était devenue le vidoir de sperme de ses trois étalons !

Une famille heureuse en somme !


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