De notre furtive retrouvaille aux Galeries Lafayette, tu m’as laissé électrisé, galvanisé.
Je rentre chez moi.
Défait, vidé, je pars boire un verre avec des potes, espérant pouvoir évacuer cette tension que tu crées en moi à chaque rencontre : Je ne sais plus qui je suis et pourquoi je te suis ma belle …
Je repense à nous dans la cafétéria :
A la transparence de ton chemisier en lin, laissant percevoir à travers la trame, l’empreinte de ton soutien-gorge apparaissant en filigrane à même ta peau nue.
Le scintillement de tes boucles plongeantes comme un appel à découvrir ton décolleté.
Je dépose ma tête entre tes seins, comme un guerrier vaincu par ton amour.
Je m’aventure entre tes courbes.
Je sens la douce chaleur de ton cœur qui bat la chamade bien malgré lui.
Je laisse ma langue s’égarer, effleurer le bout de tes seins qui pointent.
A ton corps qui s’agitent…
Tu me fais bander en t’imaginant soumise à mes caprices.
Je rêve de te prendre violemment en te plaquant contre le mur pour te pénétrer, mon sexe est dur, en érection prêt à défoncer ta chatte du désir que tu suscites en moi, j’ai envie de te remplir et faire vibrer tous tes sens.
Mais c’est toi qui me domine.
Tel un esclave, je ne suis que l’objet de tes phantasmes.
Tu joues avec mon sexe en m’ordonnant de te lécher, te caresser, te pénétrer avec mes doigts.
Je glisse ma tête entre tes jambes, entrouvre timidement tes lèvres avec délicatesse.
Je cherche amoureusement ton clitoris pour y déposer un baiser. Ton petit sexe en érection frétille d’excitation.
Je le caresse avec ma langue, m’enivrant de tes fragrances et je me noie en toi.
Je meurs d’envie de te pénétrer.
Tu as défait ma ceinture, dégrafé mon jean, poser tes mains sur mon caleçon, dernier rempart cachant l’émotion que tu as provoqué chez moi.
En bon élève obéissant, je ne rêve que d’apprendre à te faire du bien et je me laisse guider de tes conseils oscillant entre autorité et douceur exquise.
Tu prends mon sexe dans ta main, le caressant avec envie pour le diriger vers ta bouche.
Il glisse et s’enfile tout droit au fond de ta gorge. Je ne rêve que de jouir en toi. Te tenant fermement par ta chevelure de tigresse en chaleur, je m’entends te crier « petite salope, tu aimes ça. »
Soudain, un bruit de verrou raisonne de la porte des toilettes, … nous n’étions pas seul….
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