Un soir étendue dans mon lit, seule dans une ambiance tamisée me caressant, je sens le plaisir monter. Doucement, je ferme les yeux et me plonge dans des pensées érotiques.
La porte sonne.
Je suis en petite tenue, mouillée et essoufflée. Sans vraiment y songer, j’ouvre la porte. Deux inconnus se tiennent devant la porte. Le regard d’un des inconnus se pose sur mon sein laissé nue par inadvertance. Sa main semble se diriger comme guidée par une force indépendante vers ce sein les regardant droit dans les yeux.
Le mouvement de sa main pousse mon corps d’un pas en arrière. Ils entrent sans même que je ne les invite à me rejoindre.
Mon excitation est palpable.
D’un geste je referme la porte comme pour confirmer l’initiative. Je respire fort et suis déjà mouille ….
Chacun m’empoigne un sein d’une main et une fesse de l’autre. Je sens leurs queue déjà toute dure se frotter à moi. Pendant que l’un poursuit sa langoureuse présentation avec mon corps en le caressant de toute part et en ne manquant pas d’accompagner ses caresses de sa langue, l’autre se précipite entre mes cuisses.
Il lève une jambe pour plus d’aisance. Je suis déjà quasiment nue. L’autre déchire le peu de tissu qui me couvrait encore, me maintient les mains de chaque côté de mon corps contre le mur et me lèche vigoureusement les seins.
En moins de quelques secondes je me retrouve totalement nue entre les mains et les langues de ces deux hommes. Leurs savoirs faire dépassent mon entendement. Les gestes semblent limite chorégraphiés.
Cette langue entre mes cuisses me fait tressaillir de plaisir si fort que le second doit maintenir mes mains tellement je bouge.
Le cercle infernal, puisque plus il maintient fermement mes mains plus ça m’excite. En plus des mouvements de langue millimétrés, des aspirations et de ses doigts. Je hurle mon excitation.
A ce moment, le second homme pose un doigt sur ma bouche comme pour m’inviter à plus de discrétion.
D’excitation je le saisis dans ma bouche et entame un simulacre de fellation à son doigt posé là pour tout autre chose. Il déboutonne alors son jeans et penche ma tête vers sa queue qui se présente tout fièrement à moi.
Il s’assure que le premier continue de me faire monter. La jouissance n’est clairement pas loin.
Je n’ai jamais pu résister à une belle queue et associer au fait que mon plaisir n’était pas mis de côté. Le premier me faisait monter en écartant mes cuisses et mes lèvres, son doigté et sa langue maintenaient mon plaisir au plus haut. D’une main il empoignait mes fesses et de l’autre il faisait sa magie, écartant mes lèvres avec ses doigts.
Son visage était couvert des traces de mon excitation.
Il entreprit de me lécher l’anus et de me cracher dessus avant de me prendre en levrette. Il empoignait mes fesses fermement et entreprit doucement de glisser son pouce vers mon anus tendu vers lui.
Je ne suis pas réellement une adepte de la sodomie mais associé aux mouvements de son bassin, mes jambes faiblissaient de plaisir.
Je ne pouvais hurler mon plaisir.
La bouche toujours pleine de l’organe du second, je m’afferais a tenter de transmettre le plaisir qui montait de plus en plus en moi. La queue du 1er en moi était douce et délicate. Les mains du second m’empoignaient les hanches et ses doigts tentaient de se frayer un chemin vers mon clito.
Je levais alors une jambe et posa mon pied sur la table basse pour l’y aider.
Prise en sandwich, l’un me prenant en levrette et l’autre le pénis dans ma bouche. Leurs mains sur mon dos et mes fesses, je ne pus résister au désir d’être pénétrée par ses 2 hommes, l’idée montait en moi.
D’un air de supplication, je regardais l’homme dont j’avais la queue dans la bouche et dit » je vous veux tous les deux en moi » tout en enroulant ma langue autour de son gland pour le titiller.
Il releva alors mon corps toujours empoigné par le second au niveau des hanches. Son regard noir trahissait un désir similaire mais une malice indiquait qu’il voulait faire monter le plaisir àson paroxysme.
Le 2nd était toujours en moi, il empoignait à présent fermement mes seins d’une main et titillait mon clitoris de l’autre, il léchait ma nuque par à-coups.
Le 1er se délectait de la scène. Ma cambrure l’excitait, il me caressait tout en se masturbant.
« C’est cette queue que tu veux en toi!? » « Je veux te voir jouir!!! »
Il demanda alors à son camarade de se retirer et de reprendre son cunni là où il en était.
Allongé alors sur le sol, il maintenait mes mains et mon corps pour éviter toute fuite possible. Les jambes écartées, je me tortillais d’excitation. L’un me maintenant les cuisses écartées aspirant et titillant mon clitoris, l’autre à cheval sur mon visage, tenant fermement mes mains, ma langue tentait vainement d’attraper ses testicules.
Je me sentais partir d’excitation.
Celui à cheval sur moi se pencha et remit sa queue dans ma bouche et fit un mouvement de va et vient comme s’il me pénétrait. Je ne pus m’empêcher de l’imaginer en moi. Le fruit de ma jouissance ne fus pas long à recouvrir celui entre mes cuisses. Il s’essuya fièrement la bouche et le second me lâcha.
Toujours la queue en berne, j’avais obtenu le droit de chevaucher la queue que j’avais tant aimé lécher. Une jambe de chaque côté de son corps, mes mouvements et ses mains sur mon corps me fit échapper des râlements de plaisir.
J’accentuais ma cambrure afin d’inviter le second a me prendre en levrette.
Ses 2 queues en moi me firent me tordre et me contracter. Celui sur lequel j’étais empoignait mes hanches et le second me prenait par le cul. Je me sentais pleine et prête à hurler ou à exploser tout mon plaisir.
Nos corps transpiraient et luisaient de plaisir.
Je conclus l’acte par une double fellation tout en continuant de me toucher pour maintenir mon excitation au plus haut.
Leur sperme sur mes seins et ma langue, j’allaitais devant eux encore pleine de fantasmes a assouvir…
Quand vous voulez leur dis-je, en léchant mon doigt recouvert de leur foutre…
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