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La campagne selon Mélinda

Melinda est serveuse dans un Pmu. Elle aimerait faire autre chose de sa vie, mais en attendant, elle passe ses journées à servir les joueurs de quinté et autres poivrots du village. Elle vit seule à quelques kilomètres de son travail. Elle a des petits amis et des amants mais elle ne s’attache pas.

Melinda est une belle jeune femme de 23 ans. Elle est brune, les cheveux courts, élancés, des petits seins fièrement dressés, un ventre plat, des hanches fines et féminines. Elle aime le regard des hommes sur elle, elle aime porter des jupes courtes et des bottes. Imaginez qu’au Pmu, elle se fait remarquer. Mais comme elle ne dit « pas touche à la marchandise ». Elle les voit bien loucher sur sa jolie paire de fesses. Ils sont pourtant mariés ces bougres. Qu’importe.
Parfois le soir quand elle rentre chez elle, Melinda se déshabille, jette des vêtements sur le carrelage et s’installe sur son canapé. Elle n’ose l’avouer mais elle fantasme sur les hommes mur, les vieux même, ceux qu’elle aime à traiter de pervers dans la journée.
Elle commence à penser à l’un d’eux, puis à chacun d’entre eux, et approche délicatement sa main sur son pubis impeccablement épilé. Elle caresse son clitoris avec délicatesse, et fait entrer un doigt en elle. Elle imagine ces hommes autour d’elle en train de se masturber pour elle. Plus elle y pense, plus elle gémit, et plus agité frénétiquement ses doigts. La fenêtre de son salon est ouverte mais Mélinda n’en a que faire, elle ouvre à présent des cuisses pour y enfoncer un gode imposant. Son plaisir monte, ses seins sont durs. Elle jouit vite.

Un après-midi ou elle se rend au pmu, elle aperçoit un de ses clients caché derrière un arbre, le pantalon baissé, et la main sur son sexe en érection. Elle détourne le regard gênée et choquée, mais ne peut s’empêcher de jeter un coup d’œil à nouveau. Elle avance vite et l’homme continue. Elle n’en croit pas ses yeux ! Cet homme a tout fait pour qu’elle le voit. Est-ce une invitation ?
Melinda se dit que c’est stupide, qu’elle vaut beaucoup mieux qu’un type comme lui.
Elle travaille tout l’après-midi. Aujourd’hui il fait beau, elle a mis une jupette légère et des sandales. Elle a un débardeur blanc dans lequel on voit apparaître ses tétons. Melinda n’a pas mis de sous vêtement aujourd’hui comme cela lui arrive souvent. Elle aime sentir l’air frais sur son sexe tout doux.
Les clients la regardent de haut en bas et ne manquent pas de lui glisser des insultes quand elle passe près d’eux « garce » ou « salope ». Malgré la honte qu’elle éprouve ces mots crus l’excitent à chaque fois. En nettoyant les verres, elle revoit l’image de cet homme le sexe à l’air. Elle sent sous sa jupe son sexe qui crie famine. Elle a une furieuse envie de se caresser.
17h, le service est fini, elle pose son tablier et se prépare pour rentrer chez elle. Elle hésite à changer de chemin mais la curiosité est trop forte, elle reprend exactement la même route.
L’homme n’est plus là. Melinda ressent comme une légère déception. Elle décide dans un élan de folie de lui laisser un petit mot griffonné rapidement : « reviens demain, je resterai ». C’était dit. Elle posa le papier au pied de l’arbre et s’en alla. Melinda n’en revenait pas d’avoir osé faire ça. Elle rentra chez elle et se m’as-tu à si fort qu’elle crut que les voisins l’entendirent.

Le lendemain, Mélinda ne travaillait pas, c’était son jour de congés. Elle s’habilla encore plus aguicheuse qu’à son habitude. Collant resille, short en jean et petit chemisier avec des talons hauts. Elle prétexta aller faire quelques courses pour passer devant l’arbre. L’excitation était très forte de son côté. Elle s’approchait de plus en plus. Le frottement du collant sur son sexe, la fit mouiller.
> Il était là. Comme la veille, en train de se masturber. Melinda resta à distance. Mais elle ne ratait rien du spectacle. L’homme accéléra son rythme quand il aperçut Mélinda. Elle fixait l’homme du regard. Et comme pour le défier, elle ôta un à un les boutons de son chemisier, laissant apparaître ses seins magnifiques. Le pervers se branla énergiquement de plus belle, il était comme hypnotisé.
Melinda en profita et ce petit jeu l’amusa beaucoup. Elle enleva son short, se tourna et montra son cul habillé de résille uniquement. L’homme profita de cette croupe généreuse, sa queue était rouge et raide. C’en était trop. L’homme fit un signe à Mélinda afin qu’elle s’approche. Elle se rhabilla à peine et traversa la rue. Elle fit face à lui. D’un geste autoritaire il la fit se mettre à genoux et déchargea son foutre épais sur son visage d’ange.  » Tu n’es qu’une Belle salope » conclue-t-il.
Melinda, surprise et choquée par ce qui vient de se passer, prenait enfin conscience que du sperme chaud lui coulait sur le visage. Ses cuisses dégoulinaient de mouille. Elle ne sut quoi dire, se rhabilla, s’essuya et partit.

Thierry, 57 ans, marié depuis 30 ans a toujours vécu au village. Brun, bedonnant, les épaules carrées et solides, il a été sportif mais les excès de bonne chair lui ont fait perdre son charisme. Il s’ennuie avec sa femme. Elle non plus n’a plus l’éclat des premiers jours. Il rêve de la petite Melinda, la serveuse. C’est comme ça qu’un jour lui est venu l’idée. Il a vu qu’elle avait des vues sur certains hommes du bar. Il avait le sentiment d’avoir flairé la salope du village. Il s’est donc installé non loin du Pmu pour se branler en espérant que cette garce le voit. Quand il a lu son message, son sexe n’a fait qu’un bond. Ce soir-là, il a fait l’amour à sa femme comme il y a longtemps.
17h30. Il se rhabille lui aussi en voyant le cul de Melinda balancer sur ses talons et disparaître. S’il n’était pas si vieux, il aurait remis ça de suite.
Elle a accepté de se faire éjaculer sur le visage. Sa femme ne l’a jamais toléré. Thierry n’a qu’une envie, la prendre contre cet arbre. Elle n’y échappera pas cette petite pute.
Melinda rentra chez elle, dans un état second. Enfin, elle réalisait un de ses fantasmes. Et loin de la dégoûter, elle avait une furieuse envie de recommencer.

Thierry, quant à lui, avait envie de partager sa découverte avec quelques amis, Georges et Pascal. Il alla boire un verre avec eux. Les deux hommes ne le crurent pas. Alors Thierry leur proposa : « demain à la fin de son service, on la chope et on l’enferme, vous allez voir si je mens. » Georges et Pascal, acceptèrent sans rechigner.

Melinda se prépare pour une nouvelle journée. Elle ne sait pas si elle va recroiser Thierry. Elle est un peu gênée et s’habille plus sobrement, en pantalon en cuir moulant et un pull rose. Elle ne se rend pas compte mais ce pantalon moule son cul à la perfection. Elle se dirige vers le bar. Thierry n’est pas là, elle est presque soulagée. Elle est dans ses pensées et oublie certains clients.
Vers 16h30, Georges et Pascal arrivent, commandent une bière, l’air de rien. Ils matent et la traitent de petite garce comme d’habitude. Puis Thierry arrive. Melinda leur annonce que le bar va bientôt fermer. Ils ne sont plus que tous les quatre. Thierry se lève alors et se dirige vers le bar, il passe derrière et pousse violemment Melinda vers la cuisine.  » mais qu’est-ce que vous faites ? »
Les deux compères suivent derrière. Melinda commence à avoir peur et regrette son aventure de la veille.
À peine entrés dans la cuisine, Pascal bloque la porte et sort son sexe pour commencer à se branler. Georges fait la même chose. Thierry s’approche. « alors ma petite salope, on montre plus son cul, on fait sa timide, montre à mes amis comme tu es une bonne chienne ». Il attrape la jeune femme et lui ligote les mains et la plaque le ventre sur le plan de travail.
Pascal s’approche alors et baisse son pantalon. Le cul parfait de Melinda apparaît. Melinda lâche une larme. Pascal lui donne une violente fessée. « alors comme ça on ne fait pas partager aux copains ? »
Georges, tout en continuant de se branler, pose ses doigts sur la chatte de Melinda toujours plaquée. « oh mais tu mouilles, tu vois que tu aimes ça ». Melinda est apeurée et excitée par la situation. Elle écarte légèrement plus les jambes.  » voilà, c’est bien, tu sais qu’on va te baiser tous les trois ? »

Melinda fait un signe de tête qui acquiesce.
 » t’as raison Thierry c’est une vraie salope »
Sans attendre, Pascal s’enfonce en Melinda. Melinda gémit de plaisir. La peur disparaît petit à petit. Georges la pousse à quatre pattes sur le sol et pendant que Pascal la baise, Georges enfonce son sexe dans la bouche chaude de la coquine. Thierry regarde le spectacle avec délectation. Pascal lui laisse la place. Ses deux trous sont bien ouverts. Il commence par la chatte puis lui enfonce des doigts dans l’anus.
Melinda adore la sodomie, elle aime souffrir tout en ayant du plaisir.
 » regardez-moi cette chienne en chaleur ‘, ce n’est pas notre femme qui nous donnera son cul, allez prend ça »
Des grands va et vient, Melinda pleure de douleur mais lâche des torrents de siprine. Les trois hommes ont la queue raide et se mettent face à elle, à genoux, le maquillage coulant sur ses joues. Ils se branlent énergiquement. Chacun jouit à son tour en lui remplissant son visage de sperme.  Melinda jouit et avale une bonne quantité, elle étale le reste sur ses seins et sa chatte lisse.
> » tu as aimé ça ?
> Oui.
> On recommencera, on invitera d’autres amis »


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